mardi, septembre 09, 2014
FUTSAL - DIVISION 1 - DESIGNATIONS ARBITRES - JOURNEE 2 [20/09/2014]
Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans ACTUALITÉS, ARBITRE, DÉSIGNATIONS ARBITRES, DIVISION 1, FOOTBALL, FUTSAL
FOOTBALL - NATIONAL - DESIGNATIONS ARBITRES - JOURNEE 7 [19/09/2014]
Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans ACTUALITÉS, ARBITRE, CHAMPIONNAT NATIONAL, DÉSIGNATIONS ARBITRES
Cameroun/Côte d’Ivoire : Suspicion de fraude... et pression sur les officiels !!
Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans ACTUALITÉS, ARBITRE, CAMEROUN, CAN, COTE D'IVOIRE
La Fédération ivoirienne accuse la Fédération camerounaise de football (Fecafoot) de chercher à soudoyer les officiels de la rencontre prévue mercredi le 10 septembre au stade Ahmadou Ahidjo de Yaoundé, par les soins de son homme de main, Landry Tchadjouo.
La deuxième journée des éliminatoires de la Coupe d’Afrique des nations (Can) de football Maroc 2015 s’annonce explosive dans le groupe D. Les Camerounais champions d’Afrique en 1984, 1988, 2000 et 2002 et les Ivoiriens dont l’unique sacre remonte à 1992 au Sénégal s’affrontent le 10 septembre prochain au stade Ahmadou Ahidjo. Les deux sélections ont remporté leur premier match, respectivement face à la République démocratique du Congo (Rdc) à Lubumbashi et de la Sierra Leone à Abidjan samedi dernier. Cameroun-Côte d’Ivoire est donc logiquement un match à grand enjeu.
Car, le vainqueur, en attendant la suite des matches de qualifications, prendra provisoirement la tête du groupe. Et même, à défaut d’une victoire, les Camerounais, dont l’équipe nationale de football fanion a été remaniée à plus de 80% au lendemain du fiasco de la 20e édition de la Coupe du monde jouée du 12 juin au 13 juillet 2014 au Brésil, pourraient, en cas de match nul se maintenir à la première place, grâce à une meilleure différence de buts marqués.
Les Ivoiriens dont la dernière rencontre à Yaoundé date de 2005 dans le cadre des éliminatoires de la Coupe du monde 2006 en Allemagne avec une victoire camerounaise 2-0, entendent cette fois jouer grandement leurs chances face au Cameroun privé de son attaquant vedette Samuel Eto’o, et des doyens Jean II Makoun, Assou-Ekotto, Alexandre Song, Achille Webo…
Toutefois, les Eléphants conduits par le Ballon d’or africain Yaya Touré redoutent sérieusement l’arbitrage. Pour les Eléphants, la Fédération camerounaise de football chercherait depuis plusieurs jours à corrompre les officiels de la rencontre. Il se dit, dans les milieux ivoiriens, que la Fecafoot a mis en mission un agent nommé Landry Tchadjouo pour corrompre le trio arbitral désigné par la Caf et dont La Météo a préféré garder secrète l’identité. Cette information qui semble irréaliste, est pourtant prise au sérieux par la Fédération ivoirienne de football qui appelle à la vigilance et en même temps, demande à ses supporters de rester en communion avec leur équipe nationale.
Du côté du Cameroun, l’on préfère garder le silence et se concentrer sur l’objectif N°1 qui est la victoire ce mercredi en vue d’une probable qualification pour la phase finale de la Coupe des nations prévues prévue au Maroc du 17 janvier au 8 février 2015, après avoir manqué les deux dernières éditions, en 2012 au Gabon et en Guinée équatoriale et Afrique du Sud 2013. Mais, au-delà de cette bataille psychologique, Lions indomptables du Cameroun et Eléphants de Côte d’Ivoire, deux équipes qui se recrutent parmi les meilleures du continent malgré leurs prestations médiocres au Mondial brésilien (élimination des deux pays dès le premier tour et surtout la dernière place occupée par le Cameroun) vont certainement offrir au public un spectacle à la hauteur de leur renommée.
Les Éléphants n’ont pas pour but la simple qualification au prochain stade de la compétition. Ils rêvent de remporter le trophée africain. Hervé Renard, le nouveau sélectionneur de la Côte d’Ivoire, a lui-même annoncé que son objectif est de remporter la Can Maroc 2015. Successeur de Sabri Lamouchi après l’élimination de la coupe du monde 2014, le technicien français, en compagnie de Patrice Beaumelle, tentera de reproduire son exploit avec la Zambie (vainqueur de l’édition 2012 au dépend de la Côte d’Ivoire).
L’arrivée d’Hervé Renard a bien donné de l’espoir à tout le monde pour faire oublier l’échec du mondial. Mais la mission est loin d’être facile, surtout après le départ d’un gros cadre de la sélection ivoirienne: Didier Drogba. Même s’il ne joue pas, l’attaquant de Chelsea était toujours présent pour partager son expérience avec ses coéquipiers. La soif de remporter un nouveau trophée va sans doute motiver les finalistes des éditions 2006 et 2012.
Pendant ce temps, la Rdc et la Sierra Leone, les deux vaincues de la première journée, auront à cœur de se rattraper, question de garder intactes leurs chances de qualification pour la prochaine Can. Selon le règlement de la Caf, les deux premiers de chaque poule rejoindront d’office le Maroc qualifié d’office en tant que pays organisateur. Rien n’est donc joué d’avance.
La deuxième journée des éliminatoires de la Coupe d’Afrique des nations (Can) de football Maroc 2015 s’annonce explosive dans le groupe D. Les Camerounais champions d’Afrique en 1984, 1988, 2000 et 2002 et les Ivoiriens dont l’unique sacre remonte à 1992 au Sénégal s’affrontent le 10 septembre prochain au stade Ahmadou Ahidjo. Les deux sélections ont remporté leur premier match, respectivement face à la République démocratique du Congo (Rdc) à Lubumbashi et de la Sierra Leone à Abidjan samedi dernier. Cameroun-Côte d’Ivoire est donc logiquement un match à grand enjeu.
Car, le vainqueur, en attendant la suite des matches de qualifications, prendra provisoirement la tête du groupe. Et même, à défaut d’une victoire, les Camerounais, dont l’équipe nationale de football fanion a été remaniée à plus de 80% au lendemain du fiasco de la 20e édition de la Coupe du monde jouée du 12 juin au 13 juillet 2014 au Brésil, pourraient, en cas de match nul se maintenir à la première place, grâce à une meilleure différence de buts marqués.
Les Ivoiriens dont la dernière rencontre à Yaoundé date de 2005 dans le cadre des éliminatoires de la Coupe du monde 2006 en Allemagne avec une victoire camerounaise 2-0, entendent cette fois jouer grandement leurs chances face au Cameroun privé de son attaquant vedette Samuel Eto’o, et des doyens Jean II Makoun, Assou-Ekotto, Alexandre Song, Achille Webo…
Toutefois, les Eléphants conduits par le Ballon d’or africain Yaya Touré redoutent sérieusement l’arbitrage. Pour les Eléphants, la Fédération camerounaise de football chercherait depuis plusieurs jours à corrompre les officiels de la rencontre. Il se dit, dans les milieux ivoiriens, que la Fecafoot a mis en mission un agent nommé Landry Tchadjouo pour corrompre le trio arbitral désigné par la Caf et dont La Météo a préféré garder secrète l’identité. Cette information qui semble irréaliste, est pourtant prise au sérieux par la Fédération ivoirienne de football qui appelle à la vigilance et en même temps, demande à ses supporters de rester en communion avec leur équipe nationale.
Du côté du Cameroun, l’on préfère garder le silence et se concentrer sur l’objectif N°1 qui est la victoire ce mercredi en vue d’une probable qualification pour la phase finale de la Coupe des nations prévues prévue au Maroc du 17 janvier au 8 février 2015, après avoir manqué les deux dernières éditions, en 2012 au Gabon et en Guinée équatoriale et Afrique du Sud 2013. Mais, au-delà de cette bataille psychologique, Lions indomptables du Cameroun et Eléphants de Côte d’Ivoire, deux équipes qui se recrutent parmi les meilleures du continent malgré leurs prestations médiocres au Mondial brésilien (élimination des deux pays dès le premier tour et surtout la dernière place occupée par le Cameroun) vont certainement offrir au public un spectacle à la hauteur de leur renommée.
Les Éléphants n’ont pas pour but la simple qualification au prochain stade de la compétition. Ils rêvent de remporter le trophée africain. Hervé Renard, le nouveau sélectionneur de la Côte d’Ivoire, a lui-même annoncé que son objectif est de remporter la Can Maroc 2015. Successeur de Sabri Lamouchi après l’élimination de la coupe du monde 2014, le technicien français, en compagnie de Patrice Beaumelle, tentera de reproduire son exploit avec la Zambie (vainqueur de l’édition 2012 au dépend de la Côte d’Ivoire).
L’arrivée d’Hervé Renard a bien donné de l’espoir à tout le monde pour faire oublier l’échec du mondial. Mais la mission est loin d’être facile, surtout après le départ d’un gros cadre de la sélection ivoirienne: Didier Drogba. Même s’il ne joue pas, l’attaquant de Chelsea était toujours présent pour partager son expérience avec ses coéquipiers. La soif de remporter un nouveau trophée va sans doute motiver les finalistes des éditions 2006 et 2012.
Pendant ce temps, la Rdc et la Sierra Leone, les deux vaincues de la première journée, auront à cœur de se rattraper, question de garder intactes leurs chances de qualification pour la prochaine Can. Selon le règlement de la Caf, les deux premiers de chaque poule rejoindront d’office le Maroc qualifié d’office en tant que pays organisateur. Rien n’est donc joué d’avance.
Bon signe ? C’est l’arbitre mauricien Rajindraparsad Seechum que la CAF a
envoyé à Yaoundé pour diriger le match Cameroun contre Côte d’Ivoire
comptant pour la deuxième journée de la phase des éliminatoires de la
CAN 2015. Cet arbitre international depuis onze ans, revient à Yaoundé
moins d’un an après avoir dirigé le 17 novembre 2013, le match décisif
Cameroun contre la Tunisie comptant pour le dernier tour des
éliminatoires de la Coupe du monde Brésil 2014. Les Lions Indomptables
avaient gagné ce match sur le score sans appel de 4 buts à 1, obtenant
du coup leur passeport pour le Brésil.
Rajindraparsad Seechum, âgé de 43 ans, va-t-il encore porter bonheur aux Camerounais cette fois-ci ? En attendant de le savoir, «le Chauve» sera assisté de ses compatriotes Balkrisha Bootun et Vivian Vally. L’arbitre de réserve, lui aussi mauricien, a pour nom Parmendra Nunkoo. Le Commissaire du match, Massa Diarra, est quant à lui de nationalité mauritanienne. Tous ces officiels sont attendus à Yaoundé demain lundi alors que les Eléphants de Côte d’Ivoire sont annoncés mardi dans la capitale camerounaise par vol spécial.
Après la première journée de ces éliminatoires disputée ce week-end, le Cameroun et la Cote d’ivoire partagent la tête du groupe D avec trois points chacun alors que les deux vaincus de la journée inaugurale à savoir la RD Congo et la Sierra Leone ferment la queue. L’issue de la deuxième journée prévue mercredi prochain à Lubumbashi et à Yaoundé, pourrait permettre de voir clair sur la hiérarchie dans ce groupe.
Rajindraparsad Seechum, âgé de 43 ans, va-t-il encore porter bonheur aux Camerounais cette fois-ci ? En attendant de le savoir, «le Chauve» sera assisté de ses compatriotes Balkrisha Bootun et Vivian Vally. L’arbitre de réserve, lui aussi mauricien, a pour nom Parmendra Nunkoo. Le Commissaire du match, Massa Diarra, est quant à lui de nationalité mauritanienne. Tous ces officiels sont attendus à Yaoundé demain lundi alors que les Eléphants de Côte d’Ivoire sont annoncés mardi dans la capitale camerounaise par vol spécial.
Après la première journée de ces éliminatoires disputée ce week-end, le Cameroun et la Cote d’ivoire partagent la tête du groupe D avec trois points chacun alors que les deux vaincus de la journée inaugurale à savoir la RD Congo et la Sierra Leone ferment la queue. L’issue de la deuxième journée prévue mercredi prochain à Lubumbashi et à Yaoundé, pourrait permettre de voir clair sur la hiérarchie dans ce groupe.
Source : CAMER.BE et CAMEROON.INFO
FOOTBALL - LIGUE 2 - DESIGNATIONS ARBITRES - JOURNEE 7 [19-20/09/2014]
Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans ACTUALITÉS, DÉSIGNATIONS ARBITRES, FOOTBALL, LIGUE 2
lundi, septembre 08, 2014
FOOTBALL - LIGUE 1 - DESIGNATIONS ARBITRES - JOURNEE 6 [19-20-21/09/2014]
Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans ACTUALITÉS, DÉSIGNATIONS ARBITRES, LIGUE 1
"Nous les avons tant aimés" - Gérard BIGUET : L'intégrité à l'état pur !!
Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans "Nous les avons tant aimés", ACTUALITÉS, ARBITRE, FFF, FOOTBALL, Gérard BIGUET, SOUVENIR, ZOOM
Il a recueilli un compliment de Sir Cantona him self : « Qu’est-ce que vous pouvez galoper aujourd’hui ! » Il s’est brouillé avec le bouillant Luis Fernandez durant une rencontre: « "Je ne te parle plus !" A vrai dire, j’étais plutôt content d’avoir la paix jusqu’à la fin du match… » Il a regagné le rond central de Geoffroy-Guichard en conversant avec le numéro 10 des Verts de l’époque, un certain Michel Platini, au terme d’une action typiquement stéphanoise : « Je lui ai dit : le foot, c’est simple parfois. » Il a été témoin du génie de Diego Maradona dans son jardin napolitain du stade San Paolo, là où des supporters voyaient en un petit homme presque un demi-dieu : « Ce jour-là, sur sa première action, il a réalisé une passe en coup du foulard… » Il a assisté aux prémices du plasticage à la mode corse en essuyant quelques bombes agricoles dans la furie du stade Furiani de Bastia : « Les joueurs visiteurs devaient avoir le coeur bien accroché. » N’importe quel porteur du virus du ballon rond voit son état s’aggraver en la présence de Gérard Biguet. Car rien ne prépare au choc de la rencontre.
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C’est au sein du domicile familial, situé à Conflans, que l’homme échappait à la pression de son activité. |
A son domicile de Conflansen-Jarnisy, l’ex-arbitre n’exhibe pas cette vie passée sur les plus beaux théâtres de verdure de la planète. Seuls quelques vestiges subsistent, comme ce fanion d’une finale de Coupe de France incrusté de son nom et épinglé anonymement à côté d’un tableau égyptien. Une photo l’immortalisant en action traîne négligemment près du téléviseur. Une longue poésie à la gloire de l’arbitrage (« Le cadeau d’une voisine ») interpelle tout au plus l’œil. Lorsqu’on lui demande quelques clichés de son activité passée, dix bonnes minutes s’écoulent avant de les débusquer.
Tel père, tel fils
Ce voile de pudeur colle finalement bien à la personnalité du "premier" Gérard Biguet : « Plus jeune, et même maintenant encore, j’ai toujours été plutôt effacé. Lorsque je passais à la télé, des amis demandaient à ma mère si c’était bien leur fils qui arbitrait. » Il s’en amuse. Il se connaît. Arbitre davantage porté « sur le dialogue que sur la répression », il a toujours eu l’image d’un homme droit. Un certain Bernard Tapie, du temps de sa forme olympienne à l’OM, ne le portait pas dans son coeur. Plutôt bon signe : « Il a tout fait pour que je n’arbitre pas un Paris-Marseille. D’ailleurs peut-être avait-il raison puisque son équipe s’est inclinée 2-1 avec un penalty pour le PSG… »
En décortiquant le parcours de ce natif de Briey, il était écrit qu’il siffloterait sur les pelouses de l’élite. « Mon père était arbitre au plus haut niveau régional, j’ai donc toujours baigné dans ce milieu. » L’acte de naissance de sa carrière se révèle toutefois plus exotique que cette simple filiation naturelle : « Un jour, alors que je jouais en district à Jarny, je fus expulsé. Après ça, j’ai troqué mes crampons de joueur pour ceux d’homme en noir. » Gérard Biguet a 21 ans et débute à Briey au plus bas de l’échelon. Le football rural fleure alors bon l’authenticité.
Il y fait ses armes, apprend patiemment son métier tout en gravissant les échelons : de 1974 à 1980, les portes de la D4, D3 et D2 s’ouvrent. En 1979, les premiers pas dans l’élite. Un Laval-Nice qui restera à jamais gravé dans sa mémoire («Même avec Alzheimer, on s’en souviendrait »). Les premières intimidations. Le Niçois Bousdira, un poète, le tance : « Je le rappelle à l’ordre. A la fin du match, il me demande : "C’est votre premier match ? Et bien je peux vous dire que ce ne sera pas le dernier". »
San Siro, le Nou Camp
Un joli compliment de footeux. Mieux, une prophétie : jusqu’en 1992 et un Euro en Suède, Gérard Biguet a officié comme arbitre central en France et à l’étranger. Des matches de Coupe d’Europe inoubliables dans lesplus belles enceintes de la planète : « J’ai arbitré à San Siro (Milan), au Nou Camp cinq fois (Barcelone) mais aussi à Wembley (Londres), le vrai Wembley, l’authentique. » Il fouille sa mémoire, un vrai trésor. Il en ressort un joyau : « La finale des Jeux Olympiques à Séoul, un formidable Brésil-URSS. Les Jeux, quelle ambiance ! »
Dans ce listing vertigineux manque une Coupe du monde. Lui préfère s’attarder sur une anomalie géographique : « Un Metz-Nancy. J’étais inscrit au crayon de papier mais un autre nom, écrit au stylo, a finalement recouvert le mien. A l’époque, on ne pouvait pas arbitrer des équipes de son secteur. » Une autre époque, où l’on conversait avec des présidents de clubs humains comme Claude Bez, Loulou Nicollin. Et non avec des consortiums qataris ou des veuves de milliardaires. Une autre époque où l’on parlait de francs, « où l’arbitrage ne menait pas à la fortune. Au maximum, on touchait 2 500 francs avec lesquels il fallait régler ses frais de déplacement et d’hébergement… » Rien à voir avec la dizaine de milliers d’euros des arbitres d’aujourd’hui : « Mais ma plus grande richesse, c’est celle d’avoir dirigé des matches aux quatre coins du monde. L’arbitrage m’a permis de me construire. Sans cela, je n’aurais pas fait carrière dans le milieu bancaire. Arbitrer des rencontres où la pression est énorme a révélé une autre facette de ma personnalité. » Le "deuxième" Gérard Biguet, en somme…
Entretien de Jean-Michel Cavalli
Source : LE RÉPUBLICAIN LORRAIN
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Sa réputation d’arbitre intègre lui a toujours collé à la peau. D’où l’animosité nourrie à son égard par quelques modèles de probité comme Bernard Tapie, du temps de sa forme olympienne |
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Gérard Biguet tout sourire avec à ses côtés Rudi Völler, l’artificier en chef de la Mannschaft. Que de souvenirs pour cet arbitre originaire du Pays-Haut. |
San Siro, le Nou Camp
Un joli compliment de footeux. Mieux, une prophétie : jusqu’en 1992 et un Euro en Suède, Gérard Biguet a officié comme arbitre central en France et à l’étranger. Des matches de Coupe d’Europe inoubliables dans lesplus belles enceintes de la planète : « J’ai arbitré à San Siro (Milan), au Nou Camp cinq fois (Barcelone) mais aussi à Wembley (Londres), le vrai Wembley, l’authentique. » Il fouille sa mémoire, un vrai trésor. Il en ressort un joyau : « La finale des Jeux Olympiques à Séoul, un formidable Brésil-URSS. Les Jeux, quelle ambiance ! »
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En cette époque post-olympique, signalons que Gérard Biguet a arbitré la finale des Jeux de Séoul. |
Entretien de Jean-Michel Cavalli
Source : LE RÉPUBLICAIN LORRAIN
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