La découverte de ce mondial 2014, la petite vedette c’est une bombe aérosol, un spray que les arbitres utilisent pour faire respecter la distance réglementaire du mur lors des coups francs.
Modernisation
Avec l’introduction de « la goal line technology » et de « 915 fair play », la FIFA accepte une dose de modernisation pour favoriser le jeu, et surtout l’esprit du jeu. Le spray est déjà utilisé en Amérique du sud depuis plusieurs années, mais pas en Europe c’est donc une découverte pour une bonne partie des joueurs. C’est un outil à la disposition des arbitres, il n’y a aucune obligation à l’utiliser. Certains arbitres sont encore rétifs, ils estiment qu’il est difficile d’avoir un aérosol accroché dans le dos, d’autant qu’ils ont déjà un boîtier qui vibre lorsque l’arbitre assistant lève son drapeau, un autre pour l’oreillette, et désormais le spray. Comme toute évolution il faut un peu de temps avant qu’elle ne soit acceptée.
Un pas vers la vidéo
Pour le moment l’UEFA n’a pas décidé d’importer le procédé en Europe. Le débat sera sans doute relancé après la compétition, les arbitres du Vieux continent qui opèrent actuellement au Brésil pourront faire pencher la balance. Sans doute l’Euro 2016 verra l’apparition officielle de cette petite bombe ! Dans le football moderne 40% des buts, sont marqués sur coups de pied arrêtés. C’est exactement le pourcentage relevé lors de ce mondial brésilien, à propos de l’augmentation du nombre de buts avec l’utilisation du spray. On voit bien l’effet direct que peut apporter une ouverture des dirigeants du football au monde moderne, et à la technologie. On imagine aisément ce que la vidéo pourrait apporter dans le jeu, et un effet positif qui serait la limitation des possibilités de contestation. Nul doute que le football en serait transformé, et vivrait une nouvelle évolution sportive.
Modernisation
Avec l’introduction de « la goal line technology » et de « 915 fair play », la FIFA accepte une dose de modernisation pour favoriser le jeu, et surtout l’esprit du jeu. Le spray est déjà utilisé en Amérique du sud depuis plusieurs années, mais pas en Europe c’est donc une découverte pour une bonne partie des joueurs. C’est un outil à la disposition des arbitres, il n’y a aucune obligation à l’utiliser. Certains arbitres sont encore rétifs, ils estiment qu’il est difficile d’avoir un aérosol accroché dans le dos, d’autant qu’ils ont déjà un boîtier qui vibre lorsque l’arbitre assistant lève son drapeau, un autre pour l’oreillette, et désormais le spray. Comme toute évolution il faut un peu de temps avant qu’elle ne soit acceptée.
Un pas vers la vidéo
Pour le moment l’UEFA n’a pas décidé d’importer le procédé en Europe. Le débat sera sans doute relancé après la compétition, les arbitres du Vieux continent qui opèrent actuellement au Brésil pourront faire pencher la balance. Sans doute l’Euro 2016 verra l’apparition officielle de cette petite bombe ! Dans le football moderne 40% des buts, sont marqués sur coups de pied arrêtés. C’est exactement le pourcentage relevé lors de ce mondial brésilien, à propos de l’augmentation du nombre de buts avec l’utilisation du spray. On voit bien l’effet direct que peut apporter une ouverture des dirigeants du football au monde moderne, et à la technologie. On imagine aisément ce que la vidéo pourrait apporter dans le jeu, et un effet positif qui serait la limitation des possibilités de contestation. Nul doute que le football en serait transformé, et vivrait une nouvelle évolution sportive.
Maintenir l’espritNaturellement il ne s’agit de subordonner l’arbitre à la technologie. Le garant du bon déroulement d’un match reste l’homme en noir, et sa capacité d’interprétation, tel que défini par le règlement, ne pourra jamais être remis en cause, c’est une capacité exclusivement humaine. Il faut réfléchir à une articulation intelligente entre l’arbitre, le sifflet et la nécessaire modernisation du football.
Source : TSA