Le Championnat d'Europe des moins de 19 ans de l'UEFA offre à certains des talents émergents en Europe une opportunité de démontrer leurs compétences, tout comme c'est le cas pour les arbitres en Hongrie.
"C'est une grande opportunité pour moi de démontrer mes compétences d'arbitrage", a confié le Norvégien Tore Hansen, l'un des 17 arbitres sélectionnés pour la phase finale. "Je suis absolument ravi d'être ici."
Alors que certains ont déjà fait leurs preuves sur la scène nationale et gagné une précieuse expérience lors de rencontres de l'UEFA, les arbitres franchissent un nouveau palier lors de la phase finale. "Tout est parfaitement organisé ici", a ajouté l'Albanais Enea Jorgji. "Nous nous entraînons le matin, puis nous avons des réunions, et nous recevons les commentaires des observateurs. L'UEFA nous aide vraiment beaucoup."
En plus de la tutelle de l'UEFA, les arbitres s'entraident également. "C'est comme une famille pour nous", a expliqué Hansen. "Nous adorons avoir le soutien que nous pouvons avoir, et il n'y a rien de mieux que lorsqu'il provient de nos collègues arbitres."
"Il y a une immense différence culturelle d'un pays à l'autre, donc chacun d'entre nous a ses propres expériences", a ajouté Hansen. "Nous avons un groupe fantastique. J'ai déjà rencontré certains des arbitres lors de mini-tournois, mais nous nous fondons tous dans le groupe et nous passons de super moments ensemble. Nous pouvons parler de tout et nous sommes ici pour nous soutenir. Nous apprenons tout le temps de chacun d'entre nous et des observateurs."
Marcher sur les traces de l'arbitre italien Nicola Rizzoli, qui a récemment dirigé la finale de la Coupe du Monde de la FIFA, est une ambition commune. Rizzoli avait déclaré à l'issue de la rencontre qu'il n'y a rien de mieux qu'arbitrer, et aussi difficile que soit cet exercice, ce sentiment est partagé.
"Arbitrer est absolument fantastique", a déclaré Hansen. "Cela vous fait progresser en tant que personne. Bien sûr, c'est très difficile. On apprend tellement sur la façon de travailler avec les gens. Il est difficile d'imaginer quelque chose de plus compliqué qu'être arbitre. Il y a une énorme pression, mais je pense que nous la supportons bien et que nous aimons ça."
Enea a également préféré l'arbitrage au jeu et c'est un choix que l'homme de 29 ans ne regrettera jamais. "J'ai joué au football quand j'étais jeune, mais en raison de mes études, je n'ai pas pu continuer à jouer, donc mon entraîneur m'a dit 'et si tu essayais d'être arbitre ?'. De cette manière, je pouvais continuer à évoluer dans le football. Au début, c'était assez amusant, mais étape après étape, année après année, j'ai aimé de plus en plus l'arbitrage, et désormais c'est ma vie. Je ne m'attendais vraiment pas à être là où je suis maintenant."
Les arbitres attendent désormais de voir où l'arbitrage va les emmener ensuite. Et Hansen de conclure : "C'est une véritable aventure pour moi et j'attends vraiment la prochaine étape avec impatience."
Source : UEFA
"C'est une grande opportunité pour moi de démontrer mes compétences d'arbitrage", a confié le Norvégien Tore Hansen, l'un des 17 arbitres sélectionnés pour la phase finale. "Je suis absolument ravi d'être ici."
Alors que certains ont déjà fait leurs preuves sur la scène nationale et gagné une précieuse expérience lors de rencontres de l'UEFA, les arbitres franchissent un nouveau palier lors de la phase finale. "Tout est parfaitement organisé ici", a ajouté l'Albanais Enea Jorgji. "Nous nous entraînons le matin, puis nous avons des réunions, et nous recevons les commentaires des observateurs. L'UEFA nous aide vraiment beaucoup."
En plus de la tutelle de l'UEFA, les arbitres s'entraident également. "C'est comme une famille pour nous", a expliqué Hansen. "Nous adorons avoir le soutien que nous pouvons avoir, et il n'y a rien de mieux que lorsqu'il provient de nos collègues arbitres."
"Il y a une immense différence culturelle d'un pays à l'autre, donc chacun d'entre nous a ses propres expériences", a ajouté Hansen. "Nous avons un groupe fantastique. J'ai déjà rencontré certains des arbitres lors de mini-tournois, mais nous nous fondons tous dans le groupe et nous passons de super moments ensemble. Nous pouvons parler de tout et nous sommes ici pour nous soutenir. Nous apprenons tout le temps de chacun d'entre nous et des observateurs."
Marcher sur les traces de l'arbitre italien Nicola Rizzoli, qui a récemment dirigé la finale de la Coupe du Monde de la FIFA, est une ambition commune. Rizzoli avait déclaré à l'issue de la rencontre qu'il n'y a rien de mieux qu'arbitrer, et aussi difficile que soit cet exercice, ce sentiment est partagé.
"Arbitrer est absolument fantastique", a déclaré Hansen. "Cela vous fait progresser en tant que personne. Bien sûr, c'est très difficile. On apprend tellement sur la façon de travailler avec les gens. Il est difficile d'imaginer quelque chose de plus compliqué qu'être arbitre. Il y a une énorme pression, mais je pense que nous la supportons bien et que nous aimons ça."
Enea a également préféré l'arbitrage au jeu et c'est un choix que l'homme de 29 ans ne regrettera jamais. "J'ai joué au football quand j'étais jeune, mais en raison de mes études, je n'ai pas pu continuer à jouer, donc mon entraîneur m'a dit 'et si tu essayais d'être arbitre ?'. De cette manière, je pouvais continuer à évoluer dans le football. Au début, c'était assez amusant, mais étape après étape, année après année, j'ai aimé de plus en plus l'arbitrage, et désormais c'est ma vie. Je ne m'attendais vraiment pas à être là où je suis maintenant."
Les arbitres attendent désormais de voir où l'arbitrage va les emmener ensuite. Et Hansen de conclure : "C'est une véritable aventure pour moi et j'attends vraiment la prochaine étape avec impatience."
Source : UEFA