Le jeune Breton va diriger sa première rencontre de Pro A
A défaut de posséder une équipe au sommet hexagonal, la Bretagne pourra compter sur Thomas Kerisit, vendredi soir. Le jeune arbitre (26 ans), originaire de Douarnenez, dirigera en effet sa première rencontre de Pro A, à savoir Asvel-Bourg. A quelques jours de son baptême du feu, le Finistérien ne ressent pas de pression particulière. « Il faut garder les pieds sur terre. Ça reste un match de basket. »
L'international en ligne de mire
Membre de la génération montante de l'arbitrage français, qui rêve d'imiter Joseph Bissang et Eddie Viator (officiels durant le Mondial en Espagne), l'intéressé considère ce moment comme une simple étape. « J'espère m'installer dans cette division, affirme Kerisit. Une fois cette nouvelle marche franchie, on regardera devant, et pourquoi pas viser l'international d'ici quelques années. » Le Breton, diplômé depuis (déjà) 2003, aura entre cinq et dix rendez-vous, cette saison, pour faire ses preuves. A Villeurbanne, il demandera conseil à Mathieu Hosselet et Fabrice Canet, deux arbitres rompus au plus haut niveau. « Il y a également toute une préparation en amont. J'échange avec d'autres collègues, notamment sur la gestion du contexte lié à ce match-là. »
Aujourd'hui basé à Paris (il est responsable événementiel pour une marque de boisson énergisante), Thomas Kerisit avoue sa fierté de «porter l'étendard breton en Pro A ». Mais tient à sa discrétion. « Les stars, ce sont les joueurs, pas les arbitres. Le bon arbitre, c'est celui qu'on ne voit pas. »
A défaut de posséder une équipe au sommet hexagonal, la Bretagne pourra compter sur Thomas Kerisit, vendredi soir. Le jeune arbitre (26 ans), originaire de Douarnenez, dirigera en effet sa première rencontre de Pro A, à savoir Asvel-Bourg. A quelques jours de son baptême du feu, le Finistérien ne ressent pas de pression particulière. « Il faut garder les pieds sur terre. Ça reste un match de basket. »
L'international en ligne de mire
Membre de la génération montante de l'arbitrage français, qui rêve d'imiter Joseph Bissang et Eddie Viator (officiels durant le Mondial en Espagne), l'intéressé considère ce moment comme une simple étape. « J'espère m'installer dans cette division, affirme Kerisit. Une fois cette nouvelle marche franchie, on regardera devant, et pourquoi pas viser l'international d'ici quelques années. » Le Breton, diplômé depuis (déjà) 2003, aura entre cinq et dix rendez-vous, cette saison, pour faire ses preuves. A Villeurbanne, il demandera conseil à Mathieu Hosselet et Fabrice Canet, deux arbitres rompus au plus haut niveau. « Il y a également toute une préparation en amont. J'échange avec d'autres collègues, notamment sur la gestion du contexte lié à ce match-là. »
Aujourd'hui basé à Paris (il est responsable événementiel pour une marque de boisson énergisante), Thomas Kerisit avoue sa fierté de «porter l'étendard breton en Pro A ». Mais tient à sa discrétion. « Les stars, ce sont les joueurs, pas les arbitres. Le bon arbitre, c'est celui qu'on ne voit pas. »
Source : 20MINUTES