Le match de football entre Durlinsdorf et Lutterbach n’a pas pu aller à son terme, samedi soir. Suite à une décision arbitrale, une bagarre générale a éclaté. Un joueur du club local a dû être transporté à l’hôpital d’Altkirch.
On a beau ressortir le sempiternel couplet qui dit que les mauvais gestes et les affrontements n’ont rien à faire sur les terrains de sport, mais ces mauvais comportements sont malheureusement devenus fréquents. Et la bagarre générale qui a éclaté, samedi soir, lors du match de football entre l’AS Durlinsdorf et Lutterbach, laissera certainement des traces du côté du club sundgauvien.
Lors de cette rencontre qui comptait pour la 8e journée du championnat de Division 1, la tension accumulée tout au long de la partie a finalement éclaté à la 70e minute (alors que le score était de 2-2, mais est-ce bien là le plus important ?) lorsque l’arbitre décidait d’expulser deux joueurs (un de chaque équipe) qui s’étaient vigoureusement expliqués. Une décision qui a eu de lourdes conséquences puisqu’une bousculade, une bagarre générale et un envahissement de terrain ont suivi dans la foulée, obligeant l’arbitre à arrêter le match et à s’enfermer dans son vestiaire pour ne pas être pris à partie.
L’affrontement entre joueurs et spectateurs des deux équipes s’est soldé par bon nombre de coups portés, entraînant des blessures et l’évacuation d’un footballeur du club local, âgé de 26 ans et domicilié à Carspach, transporté à l’hôpital d’Altkirch par les pompiers de Seppois-le-Bas, « après avoir été roué de coups alors qu’il était au sol » , selon le président de l’AS Durlinsdorf, Lionel Brand, lui aussi victime d’un coup au nez. Un autre joueur de Durlinsdorf a été soigné sur place par les pompiers après avoir été blessé à la lèvre.
On a beau ressortir le sempiternel couplet qui dit que les mauvais gestes et les affrontements n’ont rien à faire sur les terrains de sport, mais ces mauvais comportements sont malheureusement devenus fréquents. Et la bagarre générale qui a éclaté, samedi soir, lors du match de football entre l’AS Durlinsdorf et Lutterbach, laissera certainement des traces du côté du club sundgauvien.
Lors de cette rencontre qui comptait pour la 8e journée du championnat de Division 1, la tension accumulée tout au long de la partie a finalement éclaté à la 70e minute (alors que le score était de 2-2, mais est-ce bien là le plus important ?) lorsque l’arbitre décidait d’expulser deux joueurs (un de chaque équipe) qui s’étaient vigoureusement expliqués. Une décision qui a eu de lourdes conséquences puisqu’une bousculade, une bagarre générale et un envahissement de terrain ont suivi dans la foulée, obligeant l’arbitre à arrêter le match et à s’enfermer dans son vestiaire pour ne pas être pris à partie.
L’affrontement entre joueurs et spectateurs des deux équipes s’est soldé par bon nombre de coups portés, entraînant des blessures et l’évacuation d’un footballeur du club local, âgé de 26 ans et domicilié à Carspach, transporté à l’hôpital d’Altkirch par les pompiers de Seppois-le-Bas, « après avoir été roué de coups alors qu’il était au sol » , selon le président de l’AS Durlinsdorf, Lionel Brand, lui aussi victime d’un coup au nez. Un autre joueur de Durlinsdorf a été soigné sur place par les pompiers après avoir été blessé à la lèvre.
Des jeunes en larmes qui ne veulent plus jouer au football
Le temps que les gendarmes du peloton de surveillance et d’intervention de la gendarmerie d’Altkirch arrivent sur les lieux, les esprits s’étaient, en grande partie, calmés. Et même si le joueur transporté par les sapeurs-pompiers est sorti, hier, de l’hôpital, (il souffre de blessures aux côtes et à la gorge), le bilan moral est, lui, bien plus grave, à en croire le président de l’AS Durlinsdorf : « On a dû se barricader dans le club-house et appeler la police parce que ça partait dans tous les sens. Des jeunes du club étaient en larmes et ils ne veulent plus remettre les pieds sur un terrain de foot. Mes joueurs et moi, on ne va pas sur un terrain pour prendre des coups. J’ai vécu beaucoup de choses dans le foot, mais là c’est le summum. Ca a peut-être duré dix minutes mais on a eu l’impression d’être en pleine guerre. »
Source : L'ALSACE