Trente-sept cartons jaunes et trois rouges - tout trois à l’encontre de l’équipe de Nesle qui a donc terminé à huit face à Chantilly : les arbitres ne sont pas passés inaperçus sur les terrains de DH ce week-end.
Sur la troisième marche du podium, à égalité avec six avertissements distribués, Messieurs Halleur et Pouillier, qui ont officié respectivement lors d’Abbeville-Breteuil et Chambly (b) - Beauvais (b). Une marche au-dessus figure M. Evrard, arbitre fédéral qui a distribué sept cartons lors d’Ailly-Compiègne et sifflé un penalty discutable en faveur d’Ailly à la dernière minute, permettant à Demetz d’égaliser (2-2). Le coach aillygeois Laurent Mortel ne souhaitait pas s’étendre sur l’arbitrage central. Encore moins sur un juge de ligne aux décisions bien souvent contestables sur les hors jeu...
La pression liée aux superviseurs
Mais le vainqueur toutes catégories du week-end reste M. David Lannois, qui a dirigé Nesle-Chantilly dimanche. Il a porté la main à sa poche à onze reprises, pour huit cartons jaunes et donc trois rouges au cours d’un match loin d’être une bataille de chiffonniers. « L’arbitre n’a fait preuve d’aucune psychologie, regrettait le coach neslois David d’Ascenzo. Il n’a fait que ‘‘cartonner’‘ durant tout le match. C’est révoltant ! Il n’est pas le seul à faire ça, malheureusement. » En cause notamment selon d’Ascenzo, une « pression » directe ou indirecte, en raison de la présence de trop nombreux « supérieurs ». Sans compter les coûts engendrés. Des sommes que la Ligue pourrait certainement mieux utiliser. « Pour le match contre Chantilly, il y avait les trois arbitres, le délégué principal, un autre délégué plus deux observateurs. Comment un arbitre peut-il être serein dans ces conditions ? » C’est, en effet, un fait avéré : quel que soit le niveau du match, un arbitre supervisé ou observé livre trop souvent une prestation ratée. Demandez donc aux Amiénois (National) qui ont terminé à neuf face à Boulogne lors d’un match où M. Leleu était justement supervisé...
Sur la troisième marche du podium, à égalité avec six avertissements distribués, Messieurs Halleur et Pouillier, qui ont officié respectivement lors d’Abbeville-Breteuil et Chambly (b) - Beauvais (b). Une marche au-dessus figure M. Evrard, arbitre fédéral qui a distribué sept cartons lors d’Ailly-Compiègne et sifflé un penalty discutable en faveur d’Ailly à la dernière minute, permettant à Demetz d’égaliser (2-2). Le coach aillygeois Laurent Mortel ne souhaitait pas s’étendre sur l’arbitrage central. Encore moins sur un juge de ligne aux décisions bien souvent contestables sur les hors jeu...
La pression liée aux superviseurs
Mais le vainqueur toutes catégories du week-end reste M. David Lannois, qui a dirigé Nesle-Chantilly dimanche. Il a porté la main à sa poche à onze reprises, pour huit cartons jaunes et donc trois rouges au cours d’un match loin d’être une bataille de chiffonniers. « L’arbitre n’a fait preuve d’aucune psychologie, regrettait le coach neslois David d’Ascenzo. Il n’a fait que ‘‘cartonner’‘ durant tout le match. C’est révoltant ! Il n’est pas le seul à faire ça, malheureusement. » En cause notamment selon d’Ascenzo, une « pression » directe ou indirecte, en raison de la présence de trop nombreux « supérieurs ». Sans compter les coûts engendrés. Des sommes que la Ligue pourrait certainement mieux utiliser. « Pour le match contre Chantilly, il y avait les trois arbitres, le délégué principal, un autre délégué plus deux observateurs. Comment un arbitre peut-il être serein dans ces conditions ? » C’est, en effet, un fait avéré : quel que soit le niveau du match, un arbitre supervisé ou observé livre trop souvent une prestation ratée. Demandez donc aux Amiénois (National) qui ont terminé à neuf face à Boulogne lors d’un match où M. Leleu était justement supervisé...
Source : Le Courrier Picard
