Publié le 20/02/2015 - La décision d'ouvrir aux femmes le stage d'hiver d'arbitrage de l'UEFA porte ses fruits et montre l'intérêt de l'instance pour le football féminin.
La semaine dernière à Athènes, c'était la troisième fois que des officielles de match se joignaient aux hommes pour ce stage. Cela reflétait non seulement l'attention que l'UEFA souhaite donner à l'arbitrage féminin, mais aussi l'épanouissement constant de ce dernier dans les années qui viennent de s'écouler.
Deux membres de la Commission des arbitres de l'UEFA, Dagmar Damková, ancienne arbitre internationale de nationalité tchèque, et Bo Karlsson, arbitre de la finale 1991 de la Coupe des vainqueurs de coupe de l'UEFA, ont dirigé le stage.
Les nouvelles arrivantes et les arbitres d'élite ont effectué des tests physiques et ont suivi des ateliers afin de les aider à développer non seulement leur cohérence dans la prise de décision, mais également leurs capacités athlétiques, le football féminin gagnant toujours plus en vitesse et en précision technique.
Pour les arbitres d'élite, des missions cruciales sont à venir dans les phases finales de l'UEFA Women's Champions League et en Coupe du Monde Féminine de la FIFA, cet été au Canada.
"Les cours sont vraiment bénéfiques pour nos arbitres", dit Damková, qui officia en finale des JO 2008, du Championnat d'Europe féminin de l'UEFA 2009 et de la finale 2011 de la Champions League féminine. "C'est la preuve qu'il est très important pour les jeunes arbitres de se réunir avec leurs collègues femmes d'élite, et d'échanger des conseils et des expériences avec les hommes."
Les tests physiques en particulier s'avèrent vitaux pour les femmes arbitres. "Les filles savent qu'elles doivent être au plus haut niveau et les exercices sont exigeants", explique Damková. "Le football féminin est en progrès et vous devez être préparé." Le travail de groupe dans les séances s'appuyait sur l'étude de vidéos relatives à des questions telles que les mains et la gestion des joueuses sur le terrain.
Damková et Karlsson soulignent sans cesse la nécessité de se dévouer à sa passion pour atteindre les plus hauts niveaux. "Aujourd'hui, être un arbitre de haut niveau – homme ou femme – nécessite de consacrer sa vie à son arbitrage, sinon vous ne pouvez pas réussir", disent-ils. Les femmes arbitres ont été informées au cours de l'hiver des responsabilités à la fois vis-à-vis de leur pays et de l'UEFA qu'implique d'arbitrer au niveau international, et des conseils sont également donnés sur comment agir par rapport aux médias sociaux.
Comme tous les membres de la Commission des arbitres, Damková est ravie d'avoir la possibilité de transmettre sa vaste expérience. "Je me sens vraiment heureuse d'avoir cette chance de continuer dans l'arbitrage, et de rendre quelque chose à l'arbitrage", dit-elle.
Les femmes arbitres sont heureuses d'avoir à leur tête Damková et Karlsson, un duo qui s'entend bien. "Nous sommes en accord sur la plupart des choses", dit Damková à propos de son collègue. "Nous nous partageons les rôles. Je suis à l'aise avec l'instruction, en tant qu'ancienne enseignante, et Bo s’occupe des domaines tels que la préparation des vidéos et des entretiens. Nous sommes parfaitement complémentaires."
La semaine dernière à Athènes, c'était la troisième fois que des officielles de match se joignaient aux hommes pour ce stage. Cela reflétait non seulement l'attention que l'UEFA souhaite donner à l'arbitrage féminin, mais aussi l'épanouissement constant de ce dernier dans les années qui viennent de s'écouler.
Deux membres de la Commission des arbitres de l'UEFA, Dagmar Damková, ancienne arbitre internationale de nationalité tchèque, et Bo Karlsson, arbitre de la finale 1991 de la Coupe des vainqueurs de coupe de l'UEFA, ont dirigé le stage.
Les nouvelles arrivantes et les arbitres d'élite ont effectué des tests physiques et ont suivi des ateliers afin de les aider à développer non seulement leur cohérence dans la prise de décision, mais également leurs capacités athlétiques, le football féminin gagnant toujours plus en vitesse et en précision technique.
Pour les arbitres d'élite, des missions cruciales sont à venir dans les phases finales de l'UEFA Women's Champions League et en Coupe du Monde Féminine de la FIFA, cet été au Canada.
"Les cours sont vraiment bénéfiques pour nos arbitres", dit Damková, qui officia en finale des JO 2008, du Championnat d'Europe féminin de l'UEFA 2009 et de la finale 2011 de la Champions League féminine. "C'est la preuve qu'il est très important pour les jeunes arbitres de se réunir avec leurs collègues femmes d'élite, et d'échanger des conseils et des expériences avec les hommes."
Les tests physiques en particulier s'avèrent vitaux pour les femmes arbitres. "Les filles savent qu'elles doivent être au plus haut niveau et les exercices sont exigeants", explique Damková. "Le football féminin est en progrès et vous devez être préparé." Le travail de groupe dans les séances s'appuyait sur l'étude de vidéos relatives à des questions telles que les mains et la gestion des joueuses sur le terrain.
Damková et Karlsson soulignent sans cesse la nécessité de se dévouer à sa passion pour atteindre les plus hauts niveaux. "Aujourd'hui, être un arbitre de haut niveau – homme ou femme – nécessite de consacrer sa vie à son arbitrage, sinon vous ne pouvez pas réussir", disent-ils. Les femmes arbitres ont été informées au cours de l'hiver des responsabilités à la fois vis-à-vis de leur pays et de l'UEFA qu'implique d'arbitrer au niveau international, et des conseils sont également donnés sur comment agir par rapport aux médias sociaux.
Comme tous les membres de la Commission des arbitres, Damková est ravie d'avoir la possibilité de transmettre sa vaste expérience. "Je me sens vraiment heureuse d'avoir cette chance de continuer dans l'arbitrage, et de rendre quelque chose à l'arbitrage", dit-elle.
Les femmes arbitres sont heureuses d'avoir à leur tête Damková et Karlsson, un duo qui s'entend bien. "Nous sommes en accord sur la plupart des choses", dit Damková à propos de son collègue. "Nous nous partageons les rôles. Je suis à l'aise avec l'instruction, en tant qu'ancienne enseignante, et Bo s’occupe des domaines tels que la préparation des vidéos et des entretiens. Nous sommes parfaitement complémentaires."
Source : UEFA
