Publié le 03/03/2015 - Un match entre deux équipes situées au plus bas de l'échelle sportive a dégénéré, dimanche après-midi. L'équipe visiteuse a préféré appeler la police à la mi-temps.
Même au plus bas niveau de l'échelle footballistique, la quatrième division de district, les tensions entre joueurs, arbitres et supporteurs gangrènent la pratique de ce qui n'est qu'un jeu.
Dimanche après-midi, à Nantes, au stade de la Roche, dans le quartier Malakoff, le FC Beaulieu recevait l'ASPTT Nantes. Le match s'est très mal passé, puisqu'aux contestations incessantes des décisions prises par les arbitres bénévoles des deux camps, ont succédé des insultes, puis des coups, selon les témoins.
Après la mi-temps, les joueurs de l'ASPTT ont refusé de reprendre la partie. Un de leurs dirigeants a appelé la police et les CRS sont intervenus pour "sécuriser" le stade. Dans chaque équipe, on déclare que un ou plusieurs joueurs ont été blessés par des adversaires.
La commission sportive du district de Loire-Atlantique va examiner l'affaire. Et, le cas échéant, saisir sa commission de discipline.
Même au plus bas niveau de l'échelle footballistique, la quatrième division de district, les tensions entre joueurs, arbitres et supporteurs gangrènent la pratique de ce qui n'est qu'un jeu.
Dimanche après-midi, à Nantes, au stade de la Roche, dans le quartier Malakoff, le FC Beaulieu recevait l'ASPTT Nantes. Le match s'est très mal passé, puisqu'aux contestations incessantes des décisions prises par les arbitres bénévoles des deux camps, ont succédé des insultes, puis des coups, selon les témoins.
Après la mi-temps, les joueurs de l'ASPTT ont refusé de reprendre la partie. Un de leurs dirigeants a appelé la police et les CRS sont intervenus pour "sécuriser" le stade. Dans chaque équipe, on déclare que un ou plusieurs joueurs ont été blessés par des adversaires.
La commission sportive du district de Loire-Atlantique va examiner l'affaire. Et, le cas échéant, saisir sa commission de discipline.
Source : OUEST-FRANCE
