Publié le 09/03/2015 - Arbitrer, pour que le football reste un jeu
Après avoir entraîné depuis la rentrée scolaire les jeunes de l'école de foot des Trois-Cités dans le cadre de son service civique, Toura Diaby leur proposait mercredi dernier de vivre toute une journée consacrée à l'arbitrage. Il a profité des vacances et d'un frais soleil printanier, pour réunir 16 jeunes (dont 3 filles) âgés de 11 à 13 ans, dès 8 h 45, au stade Jean-Luc-Gaboreau.
Pour ces jeunes, la passion du foot sert parfois d'exutoire aux contraintes et frustrations de la vie quotidienne. Pour que le jeu reste un jeu, Toura Diaby a choisi de consacrer les derniers moments de son contrat avec le club au « vivre ensemble » et à l'arbitrage, en conjuguant exigences éthiques et connaissance des règles du jeu.
Profitant de la création par la fédération de football de deux postes de « conseiller technique arbitrale », il a invité l'un d'eux, Jordan Riché, à venir l'assister tout au long de cette journée. À travers des ateliers comme un biathlon, les enfants doivent, en situation et par équipes de deux, répondre à des questions techniques sur les actions autorisées ou non. Une approche plus théorique leur était également proposée en salle avec des QCM. Au final, les jeunes ont pu prendre la mesure de la complexité du travail de l'arbitre.
Ils ont perçu, concrètement, qu'il y avait toujours une possibilité de discussion et qu'au bout du compte, l'arbitre, garant du bon déroulement du match, « n'a pas le même maillot mais partage bien la même passion » que les joueurs.
Grâce à l'intervention de ce conseiller technique, Toura Diaby espère que cette première initiation à l'arbitrage pourra, à long terme, inciter les jeunes à devenir à leur tour arbitres bénévoles pour pallier le manque d'accompagnateurs lors des tournois entre clubs. A court terme, il attend surtout de cette journée de formation où les jeunes auront partagé jeux, discussions et repas offert par le club, un peu plus de fair-play sur le terrain.
Source : LA NOUVELLE REPUBLIQUE
Après avoir entraîné depuis la rentrée scolaire les jeunes de l'école de foot des Trois-Cités dans le cadre de son service civique, Toura Diaby leur proposait mercredi dernier de vivre toute une journée consacrée à l'arbitrage. Il a profité des vacances et d'un frais soleil printanier, pour réunir 16 jeunes (dont 3 filles) âgés de 11 à 13 ans, dès 8 h 45, au stade Jean-Luc-Gaboreau.
Pour ces jeunes, la passion du foot sert parfois d'exutoire aux contraintes et frustrations de la vie quotidienne. Pour que le jeu reste un jeu, Toura Diaby a choisi de consacrer les derniers moments de son contrat avec le club au « vivre ensemble » et à l'arbitrage, en conjuguant exigences éthiques et connaissance des règles du jeu.
Profitant de la création par la fédération de football de deux postes de « conseiller technique arbitrale », il a invité l'un d'eux, Jordan Riché, à venir l'assister tout au long de cette journée. À travers des ateliers comme un biathlon, les enfants doivent, en situation et par équipes de deux, répondre à des questions techniques sur les actions autorisées ou non. Une approche plus théorique leur était également proposée en salle avec des QCM. Au final, les jeunes ont pu prendre la mesure de la complexité du travail de l'arbitre.
Ils ont perçu, concrètement, qu'il y avait toujours une possibilité de discussion et qu'au bout du compte, l'arbitre, garant du bon déroulement du match, « n'a pas le même maillot mais partage bien la même passion » que les joueurs.
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| Les jeunes participants au stage encadrés par leurs animateurs, Toura Diaby (à droite sur la photo) et Jordan Riché. - dr |
Grâce à l'intervention de ce conseiller technique, Toura Diaby espère que cette première initiation à l'arbitrage pourra, à long terme, inciter les jeunes à devenir à leur tour arbitres bénévoles pour pallier le manque d'accompagnateurs lors des tournois entre clubs. A court terme, il attend surtout de cette journée de formation où les jeunes auront partagé jeux, discussions et repas offert par le club, un peu plus de fair-play sur le terrain.
Source : LA NOUVELLE REPUBLIQUE
