Publié le 01/04/2015 - Les footballeurs pluzunetois contestent avoir agressé l'arbitre et avoir cherché à forcer la porte de son vestiaire. Le district de football tranchera jeudi prochain.
Nous avons rapporté lundi soir sur Internet, le témoignage de l’arbitre du match joué dimanche à Pluzunet, expliquant pourquoi il avait dû faire appel à la gendarmerie pour quitter les vestiaires dans lesquels il s’était réfugié après avoir été agressé par des joueurs locaux.
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Le club de Pluzunet donne, lui, une autre version des faits en mettant en cause l’impartialité de l’arbitre. Ce dernier, selon l’un des responsables du club, « officie pour le club de Pédernec, club évoluant dans notre championnat et que nous devons affronter le week-end prochain. Étant mal positionné au classement comme nous, il était donc judicieux de nous faire perdre le match de ce week-end et en prime d’exclure des joueurs de chez nous afin qu’ils ne puissent pas jouer contre Pédernec ». En outre, « aucun joueur ni supporter ne l’a poursuivi. De même, nous n’avons jamais tenté de forcer la porte du vestiaire arbitre pour la simple et bonne raison qu’il ne ferme pas de l’intérieur. À notre défaveur, je reconnais simplement l’agacement accumulé par notre gardien, qui a légèrement poussé l’arbitre, suite à son arbitrage à sens unique ».
Il va donc revenir à la justice, l’arbitre ayant porté plainte, et au district de football, de déterminer ce qu’il s’est exactement passé. Ce qui est sûr, c’est que l’arbitre a bien appelé les gendarmes à l’aide, alors qu’il se trouvait dans le vestiaire avec une autre personne dont le témoignage a été recueilli. Et que les gendarmes sont intervenus peu après 17 h pour l’accompagner à sa sortie.
Le district de football des Côtes-d’Armor doit décider des suites à donner à cette affaire, ce jeudi 2 avril, lors de sa réunion hebdomadaire. Le club de Pluzunet compte, pour sa part, porter plainte contre l’arbitre.
Nous avons rapporté lundi soir sur Internet, le témoignage de l’arbitre du match joué dimanche à Pluzunet, expliquant pourquoi il avait dû faire appel à la gendarmerie pour quitter les vestiaires dans lesquels il s’était réfugié après avoir été agressé par des joueurs locaux.
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Le club de Pluzunet donne, lui, une autre version des faits en mettant en cause l’impartialité de l’arbitre. Ce dernier, selon l’un des responsables du club, « officie pour le club de Pédernec, club évoluant dans notre championnat et que nous devons affronter le week-end prochain. Étant mal positionné au classement comme nous, il était donc judicieux de nous faire perdre le match de ce week-end et en prime d’exclure des joueurs de chez nous afin qu’ils ne puissent pas jouer contre Pédernec ». En outre, « aucun joueur ni supporter ne l’a poursuivi. De même, nous n’avons jamais tenté de forcer la porte du vestiaire arbitre pour la simple et bonne raison qu’il ne ferme pas de l’intérieur. À notre défaveur, je reconnais simplement l’agacement accumulé par notre gardien, qui a légèrement poussé l’arbitre, suite à son arbitrage à sens unique ».
Il va donc revenir à la justice, l’arbitre ayant porté plainte, et au district de football, de déterminer ce qu’il s’est exactement passé. Ce qui est sûr, c’est que l’arbitre a bien appelé les gendarmes à l’aide, alors qu’il se trouvait dans le vestiaire avec une autre personne dont le témoignage a été recueilli. Et que les gendarmes sont intervenus peu après 17 h pour l’accompagner à sa sortie.
Le district de football des Côtes-d’Armor doit décider des suites à donner à cette affaire, ce jeudi 2 avril, lors de sa réunion hebdomadaire. Le club de Pluzunet compte, pour sa part, porter plainte contre l’arbitre.
Source : OUEST-FRANCE
