Publié le 26/05/2015 - On associe souvent les tournois internationaux de la Pentecôte aux équipes de prestiges et aux futures stars du ballon rond. Seulement, on a tendance à oublier que la qualité d’un tournoi se mesure aussi à la qualité de l’arbitrage. Et au tournoi U17 de Saint-André (remporté par Newcastle face à Bruges), il a été d’un très bon niveau.
« Sans un bon arbitrage, on n’a pas de bonne rencontre. » Laurent Govaert, arbitre du district Flandres, est très clair. Pour lui, l’arbitre se doit d’être à la hauteur de l’événement. D’ailleurs, au tournoi international de Saint-André, tous les arbitres ont des notions d’anglais, d’espagnol, d’italien, voire d’allemand. Car, qui dit « international », dit forcément polyglotte. « C’est indispensable. Il y a plusieurs années c’était plus dur de se faire comprendre, on utilisait beaucoup la gestuelle. Mais aujourd’hui, tous nos jeunes arbitres sont en études, et manient vraiment bien l’anglais. » Tous les matchs sont arbitrés en anglais, et dans une ambiance plutôt sereine. « On ne se ferme pas. On est ouvert aux critiques, aux réclamations. La manière d’arbitrer est bien plus souple ici. »
« Sans un bon arbitrage, on n’a pas de bonne rencontre. » Laurent Govaert, arbitre du district Flandres, est très clair. Pour lui, l’arbitre se doit d’être à la hauteur de l’événement. D’ailleurs, au tournoi international de Saint-André, tous les arbitres ont des notions d’anglais, d’espagnol, d’italien, voire d’allemand. Car, qui dit « international », dit forcément polyglotte. « C’est indispensable. Il y a plusieurs années c’était plus dur de se faire comprendre, on utilisait beaucoup la gestuelle. Mais aujourd’hui, tous nos jeunes arbitres sont en études, et manient vraiment bien l’anglais. » Tous les matchs sont arbitrés en anglais, et dans une ambiance plutôt sereine. « On ne se ferme pas. On est ouvert aux critiques, aux réclamations. La manière d’arbitrer est bien plus souple ici. »
Lorsque l’on interroge Laurent Govaert sur les différences entre l’arbitrage d’un match national et d’une rencontre internationale, ce dernier exulte. « Ici, on arbitre ‘’à l’anglaise’’ ! Pour le match Bruges - Copenhague, les deux coachs sont venus me voir pour me demander de laisser jouer. Ils veulent du spectacle, du contact, un vrai affrontement. Les deux équipes voulaient vraiment jouer leur jeu jusqu’au bout, ils ne sont pas là pour faire de la figuration. D’ailleurs, l’entraîneur de Copenhague est venu me voir à la fin du match pour me remercier. Cela prouve qu’on a bien fait notre travail. J’en ressors satisfait. »
Plus de contacts, plus de combats, plus de fautes ? « Pas du tout ! Le climat ici est hyper sain. Tout le monde se respecte, sur, et en dehors du terrain. » À entendre Laurent Govaert, le corps arbitral du tournoi est une « véritable famille. On mange ensemble, on débriefe ensemble, on vit ensemble ».
Plus de contacts, plus de combats, plus de fautes ? « Pas du tout ! Le climat ici est hyper sain. Tout le monde se respecte, sur, et en dehors du terrain. » À entendre Laurent Govaert, le corps arbitral du tournoi est une « véritable famille. On mange ensemble, on débriefe ensemble, on vit ensemble ».
Son responsable technique, Frank Sergent, est là pour le confirmer : « Quand je recrute les arbitres, je juge leurs compétences bien sûr, mais aussi, et surtout, leur manière de se comporter en groupe. La convivialité est très importante ici. Si le groupe s’entend bien, ça se verra forcément sur le terrain. Je veux une équipe soudée, et pas un ensemble d‘individualités. » Au tournoi international de Saint-André, il n’y a pas que les joueurs qui ont pu se mettre en valeur.
Source : LA VOIX DU NORD