Publié le 15/11/2015 - Les arbitres corses ont pris la décision de se mettre en grève pour les deux prochains week-end dans tous les niveaux amateurs de football, lors d'une réunion de crise à Corte suite aux agressions récentes de deux arbitres.
La décision a été décidée à l'unanimité, lors de la réunion de crise de samedi à Corte, sous l'égide du syndicat majoritaire l'Union Nationale des Arbitres de Football (UNAF). À partir du week-end prochain, les arbitres corses se mettent en grève pour au moins deux journées et ce dans tous les niveaux amateurs de football.
Cette mesure intervient quelques semaines après deux agressions, l'une sur un arbitre âgé de seulement 16 ans, l'autre envers un directeur de jeu de 25 ans.
"Cette décision peut-être reconductible, si dans les 10 jours à compter d'aujourd'hui, une table ronde n'est pas mise en place sur initiative de la Ligue pour convoquer les présidents de clubs et nous même dans le but de discuter de ces problèmes inhérents à l'arbitrage et la fonction de l'arbitre" explique José Marchetti, représentant régional de l'UNAF.
Les hommes en noir disent ne pas avoir le choix face à ce qu'ils considèrent comme une urgence.
La décision a été décidée à l'unanimité, lors de la réunion de crise de samedi à Corte, sous l'égide du syndicat majoritaire l'Union Nationale des Arbitres de Football (UNAF). À partir du week-end prochain, les arbitres corses se mettent en grève pour au moins deux journées et ce dans tous les niveaux amateurs de football.
Cette mesure intervient quelques semaines après deux agressions, l'une sur un arbitre âgé de seulement 16 ans, l'autre envers un directeur de jeu de 25 ans.
"Cette décision peut-être reconductible, si dans les 10 jours à compter d'aujourd'hui, une table ronde n'est pas mise en place sur initiative de la Ligue pour convoquer les présidents de clubs et nous même dans le but de discuter de ces problèmes inhérents à l'arbitrage et la fonction de l'arbitre" explique José Marchetti, représentant régional de l'UNAF.
Les hommes en noir disent ne pas avoir le choix face à ce qu'ils considèrent comme une urgence.
Source : FRANCE3
