Publié le 24/01/2016 - Suite à la défaite du SC Bastia face à Guingamp (1-0), le club corse indique dans une lettre ouverte que "Monsieur Lesage, arbitre de cette rencontre, a en réalité fait ce qui lui était demandé de manière ouverte et sans se cacher. Il a offert la victoire à ceux qui le lui avaient tout simplement demandé. Aujourd’hui, il convient de l’avouer, plus personne n’a confiance en l’arbitrage français."
Le SC Bastia ajoute que les arbitres "sont aujourd’hui rémunérés et demandent d’ailleurs depuis des semaines le doublement de leur rémunération. Mais cela veut-il dire qu’ils sont véritablement professionnels ? Si oui, pourquoi sont-ils gérés par le monde amateur ? C’est donc une réforme obligatoire qui doit très rapidement s’ouvrir. A la baguette de ce fiasco, un seul homme : le patron de l’arbitrage français, qui semaine après semaine, s’enterre dans un mutisme suicidaire."
La défaite suite à un penalty accordé dans les ultimes secondes à Guingamp par l'arbitre, Monsieur Lesage, est pointé du doigt. Le club corse précise que le "constat est acerbe, noir, mais l’espoir demeure. De nombreux dirigeants de clubs veulent se mettre autour de la table pour faire évoluer les choses. Les solutions existent et chacun devra désormais assumer ses responsabilités. En ce qui nous concerne, nous prendrons notre part de travail afin que ces dérives ayant entrainé un fort sentiment de honte lors du match d’hier soir ne se reproduisent plus".
Lors de la conférence de presse d'après-match, Ghislain Printant avait également déclaré : "ça a pleuré énormément tout au long de la semaine. Je n'ai pas voulu polémiquer dessus, mais il est bien évident que ce soir je suis dégoûté par la tournure des événements".
L'entraîneur du SCB visait, sans les nommer, Jocelyn Gourvennec et le président de Guingamp Bertrand Desplat qui avaient regretté cette semaine une série d'erreurs d'arbitrages contre leur équipe lors des derniers matches de championnat.
Le SC Bastia ajoute que les arbitres "sont aujourd’hui rémunérés et demandent d’ailleurs depuis des semaines le doublement de leur rémunération. Mais cela veut-il dire qu’ils sont véritablement professionnels ? Si oui, pourquoi sont-ils gérés par le monde amateur ? C’est donc une réforme obligatoire qui doit très rapidement s’ouvrir. A la baguette de ce fiasco, un seul homme : le patron de l’arbitrage français, qui semaine après semaine, s’enterre dans un mutisme suicidaire."
La défaite suite à un penalty accordé dans les ultimes secondes à Guingamp par l'arbitre, Monsieur Lesage, est pointé du doigt. Le club corse précise que le "constat est acerbe, noir, mais l’espoir demeure. De nombreux dirigeants de clubs veulent se mettre autour de la table pour faire évoluer les choses. Les solutions existent et chacun devra désormais assumer ses responsabilités. En ce qui nous concerne, nous prendrons notre part de travail afin que ces dérives ayant entrainé un fort sentiment de honte lors du match d’hier soir ne se reproduisent plus".
Lors de la conférence de presse d'après-match, Ghislain Printant avait également déclaré : "ça a pleuré énormément tout au long de la semaine. Je n'ai pas voulu polémiquer dessus, mais il est bien évident que ce soir je suis dégoûté par la tournure des événements".
L'entraîneur du SCB visait, sans les nommer, Jocelyn Gourvennec et le président de Guingamp Bertrand Desplat qui avaient regretté cette semaine une série d'erreurs d'arbitrages contre leur équipe lors des derniers matches de championnat.
Source : FRANCETVINFO