Publié le 03/02/2016 - Originaire de Saint Pierre en Faucigny, où il est vit toujours, Willy Delajod est devenu vendredi dernier le plus jeune arbitre professionnel de l'histoire de la Ligue 2.
Il s'appelle Willy Delajod, il habite Saint Pierre en Faucigny, et il est devenu ce vendredi soir le plus jeune arbitre professionnel de l'histoire du foot français en Ligue 2. Ce haut savoyard qui vient de fêter ses 23 ans a donné le coup d'envoi de Valenciennes/Red Star, pour le compte de la 23e journée du championnat. Une vocation pour ce Saint Pierrois qui avoue avoir seulement "tapé dans le ballon" jusqu'à ses 13 ans, avant d'intégrer un sport-étude arbitrage à 15 ans, et de gravir les échelons à vitesse grand V.
Joint dans le train pour Valenciennes, un peu en retard parce qu'il avait "oublié ses oreillettes", Willy Delajod reconnaît "un petit stress" avant de se lancer dans le grand bain, mais aussi une certaine impatience : "J'ai tout fait pour être prêt, physiquement et mentalement, mais comme toute première, elle est génératrice d'un petit stress. Je suis surtout impatient d'être à 20h pour donner mon premier coup de sifflet".
Il s'appelle Willy Delajod, il habite Saint Pierre en Faucigny, et il est devenu ce vendredi soir le plus jeune arbitre professionnel de l'histoire du foot français en Ligue 2. Ce haut savoyard qui vient de fêter ses 23 ans a donné le coup d'envoi de Valenciennes/Red Star, pour le compte de la 23e journée du championnat. Une vocation pour ce Saint Pierrois qui avoue avoir seulement "tapé dans le ballon" jusqu'à ses 13 ans, avant d'intégrer un sport-étude arbitrage à 15 ans, et de gravir les échelons à vitesse grand V.
Un petit stress
Joint dans le train pour Valenciennes, un peu en retard parce qu'il avait "oublié ses oreillettes", Willy Delajod reconnaît "un petit stress" avant de se lancer dans le grand bain, mais aussi une certaine impatience : "J'ai tout fait pour être prêt, physiquement et mentalement, mais comme toute première, elle est génératrice d'un petit stress. Je suis surtout impatient d'être à 20h pour donner mon premier coup de sifflet".
Être le plus jeune, c'est "plutôt anecdotique" estime le haut savoyard, qui reconnaît malgré tout sa fierté d'entrer dans la cour des grands : "Ça n'enlève aucune caractéristique à ma fonction, je vais devoir faire le même travail que mes collègues. Les joueurs se moqueront bien de mon âge, ce qui compte c'est qu'on parle le moins possible de moi. Personnellement, c'est vrai que c'est une fierté, mais je ne compte pas m'arrêter là".
Source : FRANCE BLEU PAYS DE SAVOIE