Publié le 07/03/2016 - En réunion à la maison du football à Fort-de-France, ce dimanche 6 mars, présidents de clubs, dirigeants et quelques arbitres ont tenté d'apporter des solutions pour sortir du conflit des hommes en noir. La partie n'est pas complètement terminée. Les arbitres jouent les prolongations.
Après trois semaines sans arbitres sur les terrains de football, la ligue a organisé ce dimanche (6 mars) une réunion sur plusieurs thématiques (déontologie, arbitrage, sécurité des rencontres, prévention des incivilités). Des propositions concrètes ont été faites, elles passeront prochainement par la validation du comité directeur en présence des arbitres. Une charte de bonne conduite sera votée en assemblée générale, et concernera les dirigeants de clubs, les joueurs et les arbitres.
Il n'y a pas de décision de prises sur des sanctions et des mesures fortes pour enrayer la montée de la violence dans le football, et c'est le point d'achoppement avec les arbitres. Yoan Linerol, le représentant des arbitres, n'a pas assisté à cette réunion.
Après trois semaines sans arbitres sur les terrains de football, la ligue a organisé ce dimanche (6 mars) une réunion sur plusieurs thématiques (déontologie, arbitrage, sécurité des rencontres, prévention des incivilités). Des propositions concrètes ont été faites, elles passeront prochainement par la validation du comité directeur en présence des arbitres. Une charte de bonne conduite sera votée en assemblée générale, et concernera les dirigeants de clubs, les joueurs et les arbitres.
Il n'y a pas de décision de prises sur des sanctions et des mesures fortes pour enrayer la montée de la violence dans le football, et c'est le point d'achoppement avec les arbitres. Yoan Linerol, le représentant des arbitres, n'a pas assisté à cette réunion.
Les dirigeants souhaitent que les rencontres reprennent. Félix Chauleau, ancien président de la ligue de football président de la commission d'éthique et de la morale sportive, estime que "le football doit être considéré comme l'oeuvre sociale mise en place à l'égard des jeunes. Si le football ne fonctionne plus, c'est une catastrophe pour la société martiniquaise. Nous avons une perspective intéressante à mener à condition que chacun y mette du sien". La balle est maintenant dans le camp des arbitres, qui sont attendus mardi prochain (8 mars) pour diriger les rencontres de coupe de Martinique.
Source : MARTINIQUE 1ère
Source : MARTINIQUE 1ère