Publié le 04/04/2016 - Alors que l'Olympique et le SCK se démenaient pour une place en demi-finale, un but est refusé à vingt minutes de la fin. Bagarre générale, un jeune assistant giflé, un autre le crâne ouvert, match arrêté. À qui la faute ?
Entre l'Olympique de Cayenne et le SC Kourou, c'était une belle opposition annoncée entre deux bonnes équipes de la catégorie U 17 samedi. Malheureusement, aucun arbitre officiel n'était présent au coup d'envoi. Et comme le règlement le stipule, dans pareil cas, charge aux deux équipes de trouver un arbitre et deux assistants.
C'est donc Emerson, dans le camp de l'Olympique qui s'est porté volontaire pour diriger la partie, assisté de deux jeunes de chaque club. Un exercice pas du tout évident pour ce trio bénévole, surtout quand leurs décisions sont contestées au fil des minutes.
Tout avait pourtant bien commencé. Alan Siméon est l'auteur du premier but du match pour l'Olympique à la 25e minute. La fusée Jimi Nalie a égalisé trois minutes plus tard. Et avant la mi-temps, sur un coup franc de Victor Lima Ribeiro, Alan Siméon, un attaquant d'avenir, a inscrit de la tête le second but de l'Olympique.
LE FOOT LAISSE PLACE À LA BOXE THAÏ
À vingt minutes de la fin, sur une attaque du SCK, l'arbitre ne suit pas son assistant qui signale un hors-jeu.
L'action se poursuit et le SCK égalise. Un but justement refusé car le hors-jeu est réel. Pour le SCK, c'est la goutte d'eau qui fait déborder le vase. Le jeune assistant de l'Olympique est giflé, ce qui provoque une vive riposte des Olympiens et une bagarre générale incontrôlable, à coups-de-poings et de pieds. Une horreur pour les quelques parents présents qui à ce moment craignent le pire pour leurs rejetons. Avec raison, car dans un stade envahi par des bagarreurs venus de toutes parts, aucune sécurité n'était assurée....
L'action se poursuit et le SCK égalise. Un but justement refusé car le hors-jeu est réel. Pour le SCK, c'est la goutte d'eau qui fait déborder le vase. Le jeune assistant de l'Olympique est giflé, ce qui provoque une vive riposte des Olympiens et une bagarre générale incontrôlable, à coups-de-poings et de pieds. Une horreur pour les quelques parents présents qui à ce moment craignent le pire pour leurs rejetons. Avec raison, car dans un stade envahi par des bagarreurs venus de toutes parts, aucune sécurité n'était assurée....
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