Publié le 04/05/2016 - Léo et François faisaient partie des six premiers élèves de la filière arbitrage de Fourier. C’était il y a dix ans. Souvenirs.
Ses Pyrénées-Orientales et sa petite commune de Matemale ont vite manqué à Léo lorsqu'il a intégré, il y a 10 ans, la première promotion de la filière arbitrage du lycée Fourier d'Auxerre. « Le sport études, c'était des pleurs. Mais aussi des grandes compétitions, des amitiés, des moments privilégiés », se souvient-il. Avec d'autres élèves – les plus anciens comme les actuels – ils ont organisé hier une soirée pour les 10 ans de la filière.
Léo se souvient du regard amusé d'Alexandre Perreau-Niel, toujours enseignant au lycée et cheville ouvrière de la filière, lorsqu'il l'a observé, « dans ma grande naïveté ! » s'amuse-t-il, mettre… des protège-tibias. Il se souvient des expressions cultes de son professeur. « La porte est ouverte » ; « On n'est pas venus vous chercher ! »
Mais comme son ami François, il est surtout conscient d'avoir côtoyé « des personnes convaincantes, charismatiques. On a tellement appris… » avoue François.
Au contact d'Alexandre Perreau-Niel, qui avait du mal à reconnaître certains anciens élèves, hier soir. « Wouah, je prends une claque ! » souriait-il.
Ses Pyrénées-Orientales et sa petite commune de Matemale ont vite manqué à Léo lorsqu'il a intégré, il y a 10 ans, la première promotion de la filière arbitrage du lycée Fourier d'Auxerre. « Le sport études, c'était des pleurs. Mais aussi des grandes compétitions, des amitiés, des moments privilégiés », se souvient-il. Avec d'autres élèves – les plus anciens comme les actuels – ils ont organisé hier une soirée pour les 10 ans de la filière.
Plus qu'un savoir-faire, transmettre un savoir être
Léo se souvient du regard amusé d'Alexandre Perreau-Niel, toujours enseignant au lycée et cheville ouvrière de la filière, lorsqu'il l'a observé, « dans ma grande naïveté ! » s'amuse-t-il, mettre… des protège-tibias. Il se souvient des expressions cultes de son professeur. « La porte est ouverte » ; « On n'est pas venus vous chercher ! »
Mais comme son ami François, il est surtout conscient d'avoir côtoyé « des personnes convaincantes, charismatiques. On a tellement appris… » avoue François.
Au contact d'Alexandre Perreau-Niel, qui avait du mal à reconnaître certains anciens élèves, hier soir. « Wouah, je prends une claque ! » souriait-il.
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