Publié le 21/12/2016 - Depuis que Vadim Vasilyev a allumé la mèche dimanche après la défaite monégasque contre l’OL (1-3), tout le monde ne parle que de ça. Résultat, il pleut des vieilles histoires et des casseroles. « Jean-Michel Aulas fiche les arbitres », « Jean-Michel Aulas va dans le vestiaire des arbitres » font partie de ces anecdotes entourant le président lyonnais évoquées en début de semaine.
Aulas pas content que Monaco se plaigne de l'arbitrage, menace de porter plainte ?? Ce type est sans limite !— Daniel Riolo (@DanielRiolo) 19 décembre 2016
« On ne s’adresse pas de la même manière à un Gilles Vessière, une star de l’arbitrage ayant une forte personnalité, qu’à un jeune arbitre. »
Autrement dit, on taquine voire influence plus facilement un François Letexier qu’un Pierluigi Collina. On ne peut pas vraiment parler de scoop mais cette déclaration a le mérite de soulever une question : comment apprend-on aux jeunes arbitres en voie de professionnalisation à gérer la pression de tel ou tel dirigeant, de tel ou tel entraîneur ? Le travail de la commission fédérale des arbitres en la matière peut se diviser en trois axes majeurs :
- Sensibilisation aux pressions pouvant être exercées par « x » ou « y » dirigeant/entraîneur
- Formations à la résistance au stress
- Mise en confiance des jeunes arbitres avant de les jeter dans le grand bain
« On les sensibilise aux polémiques »
Eric Borghini, président de ladite commission fédérale contacté par 20 Minutes, met un bémol en préambule. « Les apprentissages particuliers n’existent pas », explique-t-il....
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