Publié le 16/12/2016 - Au lendemain d’un penalty accordé avec l’arbitrage vidéo ayant déjà suscité la controverse, le deuxième but du Real Madrid jeudi contre le Club América a mis un temps fou avant d’être validé. Une preuve de plus qu’il est déjà temps d’arrêter les frais avec cette fausse bonne idée.
Tout ça doit bien faire rire Michel Platini. Ardent pourfendeur de l’usage de l’assistance vidéo dans le football, l’ancien président de l’UEFA n’aurait certainement pas laissé passer ça s’il avait pris la tête de la FIFA, comme cela lui semblait destiné. Mais deux millions d’euros sont passés par là et Gianni Infantino n’a pas affiché les mêmes réticences que son ancien mentor au moment d’encourager les tests pour l’arbitrage vidéo. Force est de constater que les deux utilisations qui en ont été faites depuis le début de la Coupe du Monde des clubs n’ont pas été réellement concluantes. Un penalty a été accordé aux Kashima Antlers mercredi contre l’Atlético Nacional (3-0) en dépit d’un hors-jeu du joueur bénéficiant de la faute. Le règlement depuis 2010 donne raison aux arbitres, puisqu’une position illicite ne doit être signalée qu’au moment de la réception du ballon et qu’une faute pendant la trajectoire de celui-ci doit être sifflée. Mais pour la compréhension des spectateurs et des téléspectateurs, il y a mieux.
Tout ça doit bien faire rire Michel Platini. Ardent pourfendeur de l’usage de l’assistance vidéo dans le football, l’ancien président de l’UEFA n’aurait certainement pas laissé passer ça s’il avait pris la tête de la FIFA, comme cela lui semblait destiné. Mais deux millions d’euros sont passés par là et Gianni Infantino n’a pas affiché les mêmes réticences que son ancien mentor au moment d’encourager les tests pour l’arbitrage vidéo. Force est de constater que les deux utilisations qui en ont été faites depuis le début de la Coupe du Monde des clubs n’ont pas été réellement concluantes. Un penalty a été accordé aux Kashima Antlers mercredi contre l’Atlético Nacional (3-0) en dépit d’un hors-jeu du joueur bénéficiant de la faute. Le règlement depuis 2010 donne raison aux arbitres, puisqu’une position illicite ne doit être signalée qu’au moment de la réception du ballon et qu’une faute pendant la trajectoire de celui-ci doit être sifflée. Mais pour la compréhension des spectateurs et des téléspectateurs, il y a mieux.
Zidane : « Cela peut causer de la confusion »
Même constat ce jeudi. Cristiano Ronaldo a scellé.....
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