Publié le 24/01/2017 - Ramzi Khenissi et son compatriote Ismaïl Boualloucha sont les seuls arbitres arabes et africains à officier au 25e Championnat du monde de handball en France (11 au 29 janvier).
Pour El Watan et avec l’autorisation de la Fédération internationale de handball (IHF), Khenissi, le directeur de jeu tunisien de 39 ans, a accepté de nous parler de sa première expérience au plus haut niveau.
- Vous participez à votre premier Championnat du monde de hand. Quelles sont vos impressions ?
Cela se passe très bien pour le moment. Nous avons arbitré trois matches en phase de poule. Le feed-back est positif. On va continuer à travailler en vue des prochaines rencontres. On ne sait pas si on sera désignés, mais on est là pour donner le meilleur de nous-mêmes.
- Est-ce difficile d’arbitrer le très haut niveau?
Non. Les règles du jeu sont les mêmes qu’en Afrique. Il suffit de bien les appliquer sur le terrain.
- Il n’est pas toujours évident de siffler des fautes imperceptibles. Comment arrivez-vous à limiter les erreurs d’appréciation ?
C’est un sport de contact. L’intelligence de l’arbitre consiste à laisser l’avantage pour ne pas casser le rythme du jeu. Quand les accrochages sont dangereux et portent atteinte à l’intégrité physique du joueur, là on doit sanctionner.
- Comment se passe la notation des arbitres ?....
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