Bédimo se confesse sur le pénalty non sifflé
Au terme d’une action impeccable comme l’OL n’a pas pu en placer beaucoup pendant son déplacement à Bastia, Henri Bédimo aurait pu bénéficier d’un pénalty en première période. Sollicité après un décalage de Lacazette, le Camerounais était le premier sur le ballon, qu’il a poussé devant lui, avant de se faire rudement sécher par Drissa Diakité, en retard sur l’action. Le tout sous les yeux de l’arbitre, qui n’a pas bronché, indiquant qu’il n’y avait pas de faute. Les Lyonnais n’en sont pas revenus, mais le latéral rhodanien n’a pas crié au scandale, se montrant compréhensif avec M. Bastien.
« A la place de l’arbitre, je ne siffle pas. Parce que bon, c’est un peu délicat. Je pousse le ballon, il vient me taper dessus. Sincèrement, je ne crie pas au scandale, après si l’image démontre qu’il y avait penalty, je me mets à la place de l’arbitre. Siffler aurait un été un peu difficile, je le comprends », a souligné, dans les colonnes du Progrès, un Henri Bédimo qui ne cherche clairement pas à entretenir la polémique, alors que son président n’a pas hésité à évoquer un « pénalty oublié » dans son analyse d’après match.
Au terme d’une action impeccable comme l’OL n’a pas pu en placer beaucoup pendant son déplacement à Bastia, Henri Bédimo aurait pu bénéficier d’un pénalty en première période. Sollicité après un décalage de Lacazette, le Camerounais était le premier sur le ballon, qu’il a poussé devant lui, avant de se faire rudement sécher par Drissa Diakité, en retard sur l’action. Le tout sous les yeux de l’arbitre, qui n’a pas bronché, indiquant qu’il n’y avait pas de faute. Les Lyonnais n’en sont pas revenus, mais le latéral rhodanien n’a pas crié au scandale, se montrant compréhensif avec M. Bastien.
« A la place de l’arbitre, je ne siffle pas. Parce que bon, c’est un peu délicat. Je pousse le ballon, il vient me taper dessus. Sincèrement, je ne crie pas au scandale, après si l’image démontre qu’il y avait penalty, je me mets à la place de l’arbitre. Siffler aurait un été un peu difficile, je le comprends », a souligné, dans les colonnes du Progrès, un Henri Bédimo qui ne cherche clairement pas à entretenir la polémique, alors que son président n’a pas hésité à évoquer un « pénalty oublié » dans son analyse d’après match.
Source : FOOT01
NOTE DE LA RÉDACTION : C'est le genre de propos d'après-match qu'un arbitre apprécie, et en ces temps plutôt difficile où chaque action, chaque faute sifflée ou non sifflée donne lieu à d'innombrables polémiques et débat stérile (suivez mon regard....), il était temps qu'un joueur professionnel donne l'exemple en saluant la décision de l'arbitre, quitte à se mettre son Président de Club à dos. Merci Monsieur BEDIMO.
