mardi, septembre 02, 2014

FOOTBALL - NATIONAL - DESIGNATIONS ARBITRES - JOURNEE 6 [12/09/2014]

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FUTSAL - DIVISION 2 - DESIGNATIONS ARBITRES - JOURNEE 1 [13/09/2014]

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FOOTBALL : La mauvaise idée des ECRANS GEANTS en test....

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , ,

FOOTBALL - En Ligue 1, des «stades-test» diffusent les rencontres en intégralité sur les écrans géants, ayant des conséquences directes sur les acteurs, notamment les arbitres…

C’est une des nouveautés de la Ligue 1 version 2014-2015. Dans certains «stades-test», comme au Parc des Princes à Paris ou au stade Chaban-Delmas à Bordeaux, les écrans géants placés dans les stades diffusent les matchs en intégralité, y compris les ralentis montrant des actions litigieuses.

«Nous avons été désigné par la LFP comme un club pilote, explique Alain Deveseleer, directeur général des Girondins de Bordeaux. C’est simplement pour faire un test et savoir ce que cela peut amener de plus en termes d’animation de stade. Nous, dans la perspective de l’entrée dans le nouveau stade, nous avons été d’accord pour voir si on peut faire évoluer les choses.»
«Parfois, on incite l’arbitre en lui disant ‘’regardez, regardez!!!’’»

Problème, l’arbitrage vidéo n’étant pas autorisé dans le football, le corps arbitral se trouve englué dans une situation intenable. Comment, les trois arbitres de terrain ainsi que le quatrième, peuvent-ils demeurer les seuls à ne pas avoir le droit de regarder des images qui sont devant leur nez? «Soit on met la vidéo soit on ne la met pas, s’agace Bruno Derrien, ancien arbitre international. Ça peut être dangereux car cela fragilise l’arbitre et le met en difficulté. Il peut être tenté de créer des différences. Ca peut le perturber dans sa gestion.»

Un sentiment partagé par le joueur bordelais, Nicolas Maurice-Belay, qui a avoué avoir pris connaissance de la main de son coéquipier, Nicolas Pallois, contre Bastia, à travers les images de l’écran géant. «Il ne faudrait pas que les arbitres prennent ce prétexte là après avoir vu la vidéo en se disant ‘’Tiens, je les ai mis dans l’embarras, je vais les aider sur l’action suivante’’.» Sans compter que les joueurs peuvent aussi inviter l’arbitre à consulter les images en direct. «Bien sûr, reconnaît NMB. Parfois même, on incite l’arbitre en lui disant ‘‘regardez, regardez!’’[rires].»

«Pertinent que les arbitres montent au créneau»
Alain Deveseleer, de son côté, préfère dédramatiser la situation. «De toute façon, c’était déjà le cas avant. Il y a toujours eu un moniteur placé au niveau du quatrième arbitre et un ballet incessant des membres des staffs des deux équipes auprès du quatrième arbitre pour contester. Et il y a aussi les spectateurs dans les tribunes qui se connectent pour avoir connaissance des images. L’information, tous les acteurs l’avaient rapidement, même avant la diffusion des ralentis sur les écrans géants.»

Les arbitres de Ligue 1, qui n’ont pas le droit de s’exprimer sur le sujet, ne doivent pas forcément partager l’avis du dirigeant bordelais. Bruno Derrien ne serait d’ailleurs pas étonné de voir leurs représentants réagir rapidement: «Je pense qu’il serait pertinent qu’ils montent au créneau parce qu’ils sont mis en difficulté.»
La performance du joueur peut aussi être perturbée

Sur son compte Twitter, Jérémie Berthod, ex-joueur de Lyon aujourd’hui en Norvège, a expliqué dimanche que cette manière de procéder existait déjà dans son championnat et que si le moindre joueur essayait de montrer l’écran géant à l’arbitre, il écopait d’un carton jaune. Un procédé qui ne calmerait pas forcément les dérives d’un public en pleine ébullition lors d’un match assez tendu ou très serré avec beaucoup d’enjeu. La diffusion d’actions litigieuses pourrait attiser encore davantage des réactions violentes en tribunes sous l’effet de groupe et de l’adrénaline.

Et il ne faut pas oublier non plus de prendre en compte l’aspect mental des joueurs qui voient leurs erreurs être diffusées en boucle devant eux. Par exemple, dimanche soir à Paris, Stéphane Ruffier, le gardien de Saint-Etienne, ainsi que son entraîneur, Christophe Galtier, semblaient être énervés par la diffusion en boucle de la boulette du gardien de but. A chaque fois que l’image repassait, le public parisien chambrait copieusement le gardien stéphanois. Alors, véritable avancée dans la perspective de l’arbitrage vidéo ou fausse bonne idée d’animation de stade? Le débat est ouvert.

RUGBY : Passage au statut SEMI-PRO pour 6 arbitres du TOP14

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Lors du stage de Tignes qui réunissait, la semaine dernière, trente-deux des trente-cinq arbitres de Top 14 et de ProD2  (en manquait trois pour raisons professionnelles), a été entérinée la création du statut semi-professionnel pour six arbitres d’élite. Les quatre arbitres professionnels que sont MM. Poite, Reynal, Gauzere et Garces (dont la rémunération brute mensuelle est d’environ 5500 euros, hors matches internationaux, Coupe d’Europe et phase finale), sont rejoints désormais par MM. Berdos, Attalah, Marchat, Minery, Ruiz et Chalon.

A la fin de cette saison, MM. Berdos et Péchambert (Top 14), ainsi que MM. Dutreuilh et Zitouni (ProD2) mettront un terme à leur carrière d’arbitre. Ils seront numériquement remplacés par MM. Pierre Brousset, Cédric Clavé, Thierry Mallet et Julien Castaignède, promus en ProD2.


M. Marchat, ici avec les Parisiens Slimani et Bonfils, fait partie des six arbitres semi-professionnels du Top 14, cette saison.
Lors de ce stage, trois axes de réflexion ont été privilégiés : premièrement, l’interdiction des passages à vide avec obstruction (quand un joueur de l’équipe attaquante percute sans ballon un défenseur). «Mais on n’interdit pas le mouvement d’un attaquant, sans ballon, qui déplace un défenseur avant d’être plaqué par lui. Reste qu’en cas de doute, ce sera bénéfice à la défense», précise Didier Mené, patron des arbitres.

Conduite de match et communication
Deuxièmement, l’approche cohérente de la «conduite de match», à savoir comment considérer un match comme une entité, savoir faire la différence entre fautes vénielles et fautes graves, trouver l’équilibre entre la règle et l’esprit en tenant compte du temps de jeu et du score.

«Toutes choses égales par ailleurs, on n’arbitre pas la première minute d’un  match comme on arbitre la dernière, note M. Mené. Mais il y a un règlement qui nous impose d’arbitrer certaines fautes de la même façon, que ce soit au début ou à la fin d’une rencontre. Toute la difficulté de l’arbitrage est là et nous en avons beaucoup parlé entre nous. Un bon arbitre est celui qui est compris en même temps par tous, joueurs, entraineurs et public. Il doit donc être capable de synthétiser toutes les données d’un match en temps réel pour prendre la meilleure décision possible.»

Troisièmement, les arbitres souhaitent mieux communiquer. Du coup,  «une demi-heure après la fin du match, l’arbitre central aura obligation de répondre aux questions des journalistes et étayer ses décisions. Il ne pourra pas se retrancher derrière le droit de réserve.» A  noter qu’un stage de mise à niveau concernant l’arbitrage sera organisé fin septembre à Marcoussis pour les journalistes de la presse écrite et internet, les commentateurs et les consultants télé.

Source : L'Equipe

lundi, septembre 01, 2014

FUTSAL - DIVISION 1 - DESIGNATIONS ARBITRES - JOURNEE 1 [13/09/2014]

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FOOTBALL - LIGUE 2 - DESIGNATIONS ARBITRES - JOURNEE 6 [12-13-15/09/2014]

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FOOTBALL - LIGUE 1 - DESIGNATIONS ARBITRES - JOURNEE 5 [12-13-14/09/2014]

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dimanche, août 31, 2014

BORDEAUX/BASTIA : MAKELELE n'accable pas Frédy FAUTREL

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Malgré une grosse erreur d'arbitrage à Bordeaux ce dimanche, Claude Makelele n'a pas voulu s'attarder sur le sujet après le point pris par Bastia à Chaban-Delmas (1-1).

"Ca aurait pu faire 0-2, on aurait eu plus d'énergie et de marge pour conserver la victoire. Mais c'est un bon point. Les joueurs vont comprendre qu'ils sont capables de prendre des points à l'extérieur. On est en train de construire une équipe compétitive avec les moyens du bord. Le groupe est réceptif, on ne peut que progresser", a réagi l'entraîneur du Sporting après la rencontre.
Avant l'égalisation de Rolan, les Corses auraient dû obtenir un penalty et Pallois être exclu pour une faute de main.

Source : MAXIFOOT

BORDEAUX/BASTIA : Il y a avait bien une main dans la surface

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BORDEAUX / BASTIA du 31/08/2014

Et oui, Monsieur FAUTREL n'a pas vu la main du Bordelais dans la surface de réparation. Main qui aurait valu, sans nul doute, l'expulsion de son auteur et un Coup de pied de réparation en faveur de Bastia.

Nul raison pour nous de refaire le match donc, si ce n'est pour émettre l'idée , pas si saugrenue que cela, de mettre 5 arbitres sur le terrain en LIGUE 1, comme cela se fait en SERIE A italienne. Cela rendrait certainement grand service à l'arbitre, et rendrait les joueurs et entraineurs moins soupçonneux sur ce genre d'action.
 



En revanche, nous nous étonnons que l'équipe technique du stade CHABAN-DELMAS ait eu la mauvaise idée de rediffuser ces images sur le grand écran du stade. Il faudrait que la LFP veille à ce genre de dérapage qui met l'arbitre en très mauvaise posture.

Les "critiques spécialisés" rappliquent leurs grosses fesses, dès qu'il y a un arbitre à se mettre sous la dent :



LA RÉDACTION D'ARBITREZ-VOUS

Pascal DUPRAZ critique la pelouse..... et l'Arbitre

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Dupraz critique l'arbitre et la pelouse

Avant de retrouver la Savoie, Pascal Dupraz, l'entraîneur de l'ETG, est revenu sur la victoire du TFC face à son équipe (1-0) : "Pour ne pas avoir su mener au score en première mi-temps, nous nous sommes exposés à une action des Toulousains. Ils ont marqué sur coup franc direct mais avant cela nous avions la possibilité de mener. Je n'ai pas de regret en fait. Autant sur les deux premières journées j'avais de la colère, autant ce soir cela s'est joué à peu de choses. (À propos du penalty non sifflé en première période) La dernière fois que je me suis adressé aux arbitres, j'ai été suspendu un match. L'été est bientôt terminé, les orages vont cesser et la foudre arrêtera bientôt de toucher mes joueurs quand ils sont dans la surface de réparation adverse.

Le terrain était catastrophique, l'hiver a sévi bien avant l'heure à Toulouse, mais cela n'excuse pas les quelques erreurs techniques que l'on a pu connaître. Pour finir, j'ai trouvé que mon équipe était bien organisée et essayée de se projeter. En seconde mi-temps, nous avons manqué de justesses, préférant l'exploit individuel à la bonne passe."

Source : Lesviolets.com



BASKET : COUPE DU MONDE "ESPAGNE 2014" - DESIGNATIONS DES ARBITRES

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[Voir la fiche des arbitres : CLIQUEZ-ICI]

  BASKET : COUPE DU MONDE "ESPAGNE 2014" - DÉSIGNATIONS DES ARBITRES - 30 ET 31/08/2014 ...............................
GROUPE / MATCHS ARBITRES
JOURNEE 1 - 30/08/2014
GROUPE B : CROATIE / PHILIPPINES  José REYES (MEX)
Mohammad ALAMIRI (KUW)
Fernando ROCHA (POR)
   
GROUPE C : UKRAINE / REPUBLIQUE DOMINICAINE  Milivoje JOVCIC (SRB)
Matej BOLTAUZER (SLO)
Alejandro CHITI (ARG)
   
GROUPE D : ANGOLA / COREE  Elias KOROMILAS (GRE)
Sreten RADOVIC (CRO)
Luis Roberto VAZQUEZ (PUR)
   
GROUPE A : EGYPTE / SERBIE Jorge VAZQUEZ (PUR)
Rüstü NURAN (TUR)
Michael WEILAND (CAN)
   
GROUPE C : NOUVELLE ZELANDE / TURQUIE  Cristiano MARANHO (BRA)
Joseph BISSANG (FRA)
Ferdinand PASCUAL (PHI)
   
GROUPE D : AUSTRALIE / SLOVENIE Steven ANDERSON (USA)
Reynaldo MERCEDES (DOM)
Eddie VIATOR (FRA)
   
GROUPE B : PORTO RICO / ARGENTINE  Luigi LAMONICA (ITA)
Michael AYLEN (AUS)
Ilija BELOSEVIC (SRB)
   
GROUPE A : FRANCE / BRESIL  Christos CHRISTODOULOU (GRE)
Anthony JORDAN (USA)
Vaughan MAYBERRY (AUS)
   
GROUPE D : MEXIQUE / LITUANIE  Marcos BENITO (BRA)
Robert LOTTERMOSER (GER)
Kingsley OJEABURU (NGR)
   
GROUPE B : GRECE / SENEGAL  Juan Carlos GONZALEZ (ESP)
Carlos JULIO (ANG)
Stephen SEIBEL (CAN)
   
GROUPE C : USA / FINLANDE  Miguel PEREZ PEREZ (ESP)
Arnaud KOM NJILO (CMR)
Alejandro SANCHEZ (URU)
   
GROUPE A : IRAN / ESPAGNE  Guerrino CEREBUCH (ITA)
Yuji HIRAHARA (JPN)
Borys RYZHYK (UKR)
   
JOURNEE 2 - 31/08/2014
GROUPE C : REPUBLIQUE DOMINICAINE / NOUVELLE ZELANDE  Miguel PEREZ PEREZ (ESP)
Matej BOLTAUZER (SLO)
Arnaud KOM NJILO (CMR)
   
GROUPE D : COREE / AUSTRALIE Eddie VIATOR (FRA)
Steven ANDERSON (USA)
Kingsley OJEABURU (NGR)
   
GROUPE B : ARGENTINE / CROATIE  Juan Carlos GONZALEZ (ESP)
José REYES (MEX)
Fernando ROCHA (POR)
   
GROUPE A : SERBIE / FRANCE  Guerrino CEREBUCH (ITA)
Borys RYZHYK (UKR)
Jorge VAZQUEZ (PUR)
   
GROUPE C : FINLANDE / UKRAINE  Cristiano MARANHO (BRA)
Milivoje JOVCIC (SRB)
Ferdinand PASCUAL (PHI)
   
GROUPE D : SLOVENIE / MEXIQUE  Marcos BENITO (BRA)
Elias KOROMILAS (GRE)
Robert LOTTERMOSER (GER)
   
GROUPE B : SENEGAL / PORTO RICO  Michael AYLEN (AUS)
Ilija BELOSEVIC (SRB)
Carlos JULIO (ANG)
   
GROUPE A : BRESIL / IRAN  Michael WEILAND (CAN)
Olegs LATISEVS (LAT)
Rüstü NURAN (TUR)
   
GROUPE D : LITHUANIE / ANGOLA  Reynaldo MERCEDES (DOM)
Yevgeniy MIKHEYEV (KAZ)
Luis Roberto VAZQUEZ (PUR)
   
GROUPE B : PHILIPPINES / GRECE  Luigi LAMONICA (ITA)
Mohammad ALAMIRI (KUW)
Stephen SEIBEL (CAN)
   
 
   

Les arbitres suisses ne sont pas épargnés par la critique !!

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 «On avait les moyens de gagner même avec cet arbitre»

Battu 2-1 hier à Thoune, Sion s’est focalisé sur M. Gut pour exprimer sa frustration. Mais la piètre prestation de arbitre ne doit pas occulter les vrais problèmes valaisans. Qu’en pense(nt) le(s) coach(es)?

«Quant à l’arbitre, tout le monde a vu ce qu’il a sifflé, ou plutôt ce qu’il n’a pas sifflé...» Samedi soir à la Stockhorn Arena, la très étrange performance de M. Luca Gut nourrissait toutes les conversations valaisannes.

Mais les visiteurs, battus 2-1 par Thoune, ne se trompaient-ils pas de cible en s’en prenant ouvertement aux coups de sifflet intempestifs du directeur de jeu. «Sans doute notre penalty (ndlr: faute de Schindelholz sur Cissé, 75e) était-il trop flagrant pour qu’il nous l’accorde», tempêtait ironiquement Jochen Dries avant de féliciter Thoune «pour votre victoire chanceuse».



Certes, M. Gut n’a pas été très bon - les visiteurs non plus d’ailleurs - mais il n’est en rien l’unique responsable de cette nouvelle déconvenue valaisanne. «On n’a pas été capable de se montrer dangereux, reconnaissait Vincent Rüfli avec une lucidité qui avait fait défaut à ses partenaires sur le terrain. Après la première passe, il n’y a souvent plus rien eu, en tout cas pas assez. On manque de détermination à la concrétisation. Dans ces conditions, bien jouer ne sert à rien si le dernier geste ne suit pas.» Cissé, dont la complémentarité avec Léo n’a pas sauté aux yeux, est le premier visé.

Manque de lucidité

Pour sa part, Frédéric Chassot regrettait à son tour la peu inspirée prestation de M. Gut un peu («je ne veux pas perdre du temps avec certains...»), beaucoup («quand je dois attendre la 23e minute pour qu’il siffle la première faute pour nous, uniquement après avoir réclamé, parce que l’arbitre entend soudain son oreillette, cela devient grossier»), passionnément («on mérite ce que l’on obtient à la fin, c’est-à-dire rien»), à la folie («je comprends son chef et les déclarations qu’il fait ces temps») - référence appuyée aux critiques de M. Carlo Bertolini au sujet de l’absence d’arbitres suisses au haut niveau.

«Les autres (arbitres étrangers) sont meilleurs que nous, admettait en l’occurrence le patron des arbitres helvétiques dans les colonnes du Matin (29 août). Si l’on n’est pas à leur niveau, c’est parce qu’il nous manque quelque chose en Suisse. Quoi? A la base de tout, il y a le talent. On en manque...»

Hier soir, Frédéric Chassot avait l’élégance de ne pas occulter les autres manquements, concernant cette fois-ci son équipe. «On a manqué de lucidité. On laisse beaucoup d’énergie sur le terrain pour rien. Cela devient pénible.» Et l’homme du banc, définitivement calmé, de conclure: «On avait les moyens de gagner même avec cet arbitre...» Mais à trop jouer à se saborder, Sion a fini par se retrouver pomme avec le bour. 

Source : LE MATIN