jeudi, septembre 25, 2014

LFP - Commission de Discipline [25/09/14]

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , ,

 Réunie le 25 septembre 2014, la Commission de Discipline de la LFP a pris les décisions suivantes :


LIGUE 1

4e journée : RC Lens – Stade de Reims du 30 août 2014
Rapport complémentaire de l’arbitre et Commission de visionnage
Réunie le 3 septembre 2014,  la Commission, saisie par le rapport complémentaire de l’arbitre et la Commission de visionnage, avait convoqué le joueur Ahmed Kantari (RC Lens) suite à son geste de la 45e minute pour sa séance du jeudi 25 septembre 2014 dans le respect des dispositions des règlements disciplinaires et du Code du Sport imposant 15 jours de délai minimum.
Après audition du joueur, la Commission lui inflige une suspension de trois matchs ferme. La sanction prend effet le mardi 30 septembre à 0h00.



4e journée : Olympique de Marseille – OGC Nice du 29 août 2014
Commission de visionnage
Réunie le 3 septembre 2014, la Commission, saisie par la Commission de visionnage, avait convoqué le joueur André Ayew (Olympique Marseille) suite à son geste de la 76e minute pour sa séance du jeudi 25 septembre 2014 dans le respect des dispositions des règlements disciplinaires et du Code du Sport imposant 15 jours de délai minimum.
Après audition du joueur par visioconférence et lecture du rapport complémentaire de l’arbitre, la Commission décide de ne pas aggraver la sanction et enregistre l’avertissement infligé par l’arbitre au joueur André Ayew suite à ce geste.



6e journée : Girondins de Bordeaux – Evian Thonon Gaillard du 19 septembre 2014
Commission de visionnage
La Commission, saisie par la Commission de visionnage, convoque le joueur Fabien Camus (Evian Thonon Gaillard) suite à son geste de la 26e minute pour sa séance du jeudi 16 octobre 2014 dans le respect des dispositions des règlements disciplinaires et du Code du Sport imposant 15 jours de délai minimum.



Un match ferme suite à un troisième avertissement dans une période incluant 10 rencontres de compétition officielle (Ligue 1, Coupe de la Ligue, Coupe de France) ou par révocation du sursis. La sanction prend effet à partir du mardi 30 septembre 2014 à 0h00.
Jérôme Lemoigne (RC Lens), Sylvain Armand (Stade Rennais), Jérémy Toulalan (AS Monaco)



4e journée : AS Monaco – LOSC du 30 août 2014
Comportement de M. Luis Campos, coordinateur de l’AS Monaco, envers le corps arbitral :
Réunie le 3 septembre 2014, la Commission avait convoqué M. Luis Campos pour sa séance du jeudi 25 septembre 2014 dans le respect des dispositions des règlements disciplinaires et du Code du Sport imposant 15 jours de délai minimum. Lecture faite de sa lettre d’explications, la Commission lui inflige une suspension de quatre matchs ferme de banc de touche et de vestiaire d’arbitres et de toutes fonctions officielles. La sanction prend effet le mardi 30 septembre à 0h00.


LIGUE 2


Trois matchs ferme
Romain Habran (FC Sochaux-Montbéliard)

Deux matchs de suspension dont un avec sursis
Adama Coulibaly (Valenciennes FC)

Un match ferme
Fabien Barrillon (Nîmes Olympique), Samuel Bouhours (Tours FC)

Un match ferme suite à un troisième avertissement dans une période incluant 10 rencontres de compétition officielle (Ligue 2, Coupe de la Ligue, Coupe de France) ou par révocation du sursis. La sanction prend effet à partir du mardi 30 septembre 2014 à 0h00.
Abdoul Kaboré (Valenciennes FC), Guillaume Loriot (US Orléans), Claude Goncalves (AC Ajaccio)


5e journée : LB Châteauroux – US Orléans du 29 août 2014
Exclusion de M. Pascal Gastien, entraîneur de LB Châteauroux.
Réunie le 8 septembre, la Commission avait convoqué M. Pascal Gastien pour sa séance du jeudi 25 septembre 2014 dans le respect des dispositions des règlements disciplinaires et du Code du Sport imposant 15 jours de délai minimum.
Lecture faite de sa lettre d’explications, la Commission lui inflige une suspension de quatre matchs ferme de banc de touche et de vestiaire d’arbitres et de toutes fonctions officielles. La sanction prend effet le mardi 30 septembre à 0h00.

Un match ferme suite à un troisième avertissement dans une période incluant 10 rencontres de compétition officielle (Ligue 2, Coupe de la Ligue, Coupe de France) ou par révocation du sursis. La sanction prend effet à partir du mardi 30 septembre 2014 à 0h00.
Paul Babiloni (AC Ajaccio), Marvin Esor (US Créteil-Lusitanos), Hassane Alla (Stade Lavallois), Riad Nouri (Nîmes Olympique), Matthieu Ligoule (US Orléans)

2 mois de prison avec sursis et 800 € d'amende pour menaces à arbitre...

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , ,

Ce 23 septembre, le tribunal correctionnel de Valenciennes devait juger d’une affaire peu banale… pour des faits malheureusement très courants.

Le 30 mars dernier, à Wallers, avait lieu « un match de la plus haute importance » entre les moins de 17 ans locaux et ceux de Villers-Outréaux, comme l’a ironisé la présidente Hélène Judes. Lors de ce match, le fils d’un Rouvigniésien de 44 ans prend un carton jaune.

Les trois coups de sifflets ayant retenti, l’homme entreprend alors de trouver l’arbitre dans son vestiaire pour lui demander de s’en expliquer. D’après lui, l’arbitre aurait également menacé son fils à l’issue du match. Là, le ton monte et le Rouvigniésien le menace de lui « casser les deux jambes », ce que confirme un arbitre assistant présent dans le vestiaire. « J’ai jamais dit ça », a clamé le quadragénaire, « j’ai crié […] tout le monde était en train de crier. […] Il a peut-être entendu des trucs que les autres ont dits ». L’avocat de la partie civile remarque « de plus en plus d’agressions par les parents », ajoutant qu’il avait même déjà vu un spectateur lâcher un pitbull sur un arbitre. Ce qui expliquerait pourquoi, toujours d’après lui, un match amateur sur trois « se déroule sans arbitre de football ».

Le vice-procureur Delattre en a également profité pour brocarder le comportement des professionnels donnant le mauvais exemple. « Les gens qui s’en prennent aux arbitres seront poursuivis », a-t-il assuré. Le quadra a été condamné à deux mois de prison avec sursis et il devra également verser 300 euros à sa victime et encore 500 euros à son avocat. Son fils a d’ores et déjà été suspendu par la Ligue et renvoyé par son propre club, d’après le parquet.

Source : LA VOIX DU NORD

FUTSAL - DIVISION 2 - B - DESIGNATIONS ARBITRES - JOURNEE 2 [04/10/2014]

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , ,






La désignation des Arbitres pour la 2ème journée de DIVISION 2 FUTSAL - Poule B est 
connue.
Vous pouvez en prendre connaissance en cliquant sur le lien ci-après..................................................................................................................

Emilie MOUGEOT : Une arbitre bien dans sa peau...

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , ,

Emilie Mougeot : « La difficulté pour les arbitres, concilier vie professionnelle et préparation »

La reprise de la D1 a sonné il y a quelques semaines pour les joueuses comme pour les arbitres. Emilie Mougeot officie dans le championnat féminin n°1, de même qu’en DH masculine dans la ligue de Franche-Comté et au plus haut niveau, en tant qu’assistante internationale FIFA. Préparation physique, nouveautés techniques... Elle revient avec nous sur sa rentrée sportive.



Vous êtes arbitre fédérale féminine depuis juillet 2010 et avez arbitré deux rencontres de D1 depuis la reprise (N.D.L.R. Saint-Etienne–Rodez et Issy–Soyaux). En quoi votre préparation d’avant-saison a-t-elle consisté ?

« La fin du championnat était fin mai, début juin. J’ai un préparateur physique qui m’a imposé deux semaines d’arrêt, seulement deux parce que j’avais des tests physiques à passer fin août, donc je n’ai pas pu m’arrêter beaucoup. Ensuite, la reprise s'est faite en deux étapes. La première, une partie aérobie, avec du renforcement musculaire, du gainage, etc. La deuxième partie était basée sur du fartleck. Dans chaque séance, il y avait toute une partie vivacité, techniques de pied, vitesse, ... »

Ce sont des aspects que chaque arbitre travaille ou est-ce un programme personnalisé ?

« C’est personnalisé, suivant notre VMA, nos objectifs, suivant notre forme du moment, les blessures ... Il y a plein de paramètres à prendre en compte. C’est pour cela que lorsqu’on prend un préparateur physique, il faut faire un retour sur chaque séance pour pouvoir réadapter la suivante. »

Toutes les arbitres en D1 ont-elles un préparateur physique comme vous ?

« Malheureusement non, parce que ça a un coût et demande beaucoup d’investissement. Nous avons des conseils de Jean-Michel Prat, qui est le référent physique de la DTA, concernant le contenu de nos séances, mais je suis suivie également par une autre personne. D’ailleurs, j’en profite pour la remercier. »



Avez-vous participé à des stages de préparation ou des rassemblements d’arbitres en vue de cette nouvelle saison ?

« Tout à fait. Nous y sommes allées fin août pour un stage de rentrée. Normalement, il y a un stage hivernal, qui se déroule au mois de janvier à Clairefontaine ; mais cette année, suivant le calendrier, ce n’est pas possible. Donc cette année, ce sera fin novembre. »



Qu’est-ce qui est travaillé durant ces stages ?

« Il y a tout l’aspect technique : les vidéos, les consignes FFF et internationales. Il y a aussi tout un aspect physique, avec du travail de vitesse, de vivacité et de PMA. Je suppose que nous allons travailler ces deux aspects-là. Ces stages sont importants sportivement et humainement, nous sommes très heureuses de nous retrouver. Nous avons la chance d’avoir une section féminine à l’écoute de nos besoins et qui nous donne des outils pour nous aider à mieux aborder certaines situations que l’on pourrait rencontrer. Cette année, nous avons reçu, par le biais d’un organisme extérieur, une préparation basée sur le mental et la personnalité. »


En quoi votre préparation physique se différencie-t-elle réellement de celle des joueuses ?

« Pour parler de mon cas, parce que je ne sais pas du tout ce que font mes collègues, je ne pense pas que ma préparation physique diffère beaucoup de celle des joueuses. Je n’ai pas de ballon, mais en termes d’intensité, le contenu reste à peu près le même. Mais le problème qui se pose à nous, arbitres de D1, c’est que nous ne sommes pas du tout professionnelles. On a toutes un travail à côté. Il faut toujours jongler entre les entraînements et le travail, et ce n’est pas évident, comme pour certains clubs. J’ai la chance de travailler comme coordinatrice pédagogique dans une école d’ingénieurs – donc dans l’enseignement supérieur – où ils sont très réceptifs par rapport à mon activité sportive. J’ai beaucoup de chance parce que je peux adapter mes horaires de travail, et je peux également partir à l’étranger plus facilement que lorsqu’on travaille dans le privé. »




 La préparation mise de côté, pour cette nouvelle saison, quelles sont,  de manière générale, les nouveautés en matière d’arbitrage ?

« Il n’y a pas trop de différences ... A partir de 2014, en ce qui concerne les tests physiques des arbitres de D1, que l’on repasse tous les mois de mai, nous avons un test de vitesse. Sur les prochaines rencontres, nous allons aussi avoir le spray pour les distances sur les coups-francs aux abords de la surface. Pour l’instant, nous ne les avons pas tous reçus, mais d’ici quelques jours, je pense que cela sera mis en place. »


Pour vous, est-ce une bonne chose ?

« Ça peut être bien, dans la mesure où une fois que le ballon est posé, on ne voit pas toujours ce qu’il se passe derrière nous. Là, avec la démarcation, il n’y aura plus de souci. Les joueuses qui sont à distance auront peut-être moins tendance à s’avancer qu’elles ne le font actuellement sans spray. La distance du mur sera sans doute mieux respectée. »



Et qu’en est-il de l’informatisation de l’arbitrage, avec les feuilles de match informatisées ?

« En fait, nous n’avons pas trop été formées à ça, donc ça prend pas mal de temps. On n’est encore pas très au point. Pour moi, hier (N.D.L.R, lors de la rencontre Issy–Soyaux), ça a pris énormément de temps, car il y a beaucoup d’informations à saisir. On est toutes dans une position de découverte, ce n’est pas évident. Mais on va s’y faire ! »




La question de l’arbitrage vidéo, qui est régulièrement soulevée chez les hommes, est-elle aussi présente en D1 ?


« Non, pas du tout, parce que même chez les hommes, cela ne s’est pas mis en place (caméra sur la ligne de but). Cela coûterait très cher et je ne pense pas que le budget de D1 puisse couvrir ce genre de chose. »


Sur quels aspects l’arbitrage en D1 devrait-il évoluer selon vous ?

« Il se trouve que depuis cinq ans maintenant, le football féminin a bien évolué. Le niveau des joueuses a également nettement évolué ; donc nous, en tant qu’arbitres, nous devons être à ce même niveau, par respect pour tous. Les joueuses, dont certaines sont aujourd'hui sous contrats fédéraux, sont de mieux en mieux préparées physiquement. La difficulté pour les arbitres, et que beaucoup de joueuses doivent aussi rencontrer, c’est de pouvoir concilier vie professionnelle et préparation pour être prête à suivre le rythme d'un match de D1. »


Est-ce que ce sont des demandes que vous avez l’occasion de formuler ?

« C’est très compliqué, parce que le foot féminin n’est pas aussi médiatisé que le foot masculin. Il l’est beaucoup plus qu’avant, c’est une certitude, mais pas encore comme chez les hommes, il reste donc plus dans l’amateurisme. C’est dommage car le foot féminin n’est pas encore reconnu à la hauteur de ses qualités, même si cette reconnaissance grandit peu à peu. Beaucoup de chemin et de travail ont déjà été accomplis depuis plusieurs années. »

Source : FOOT D'ELLES
Crédits photos: www.afaf-franche-comte.blogspot.fr , elodie.coppola.free.fr

FUTSAL - DIVISION 2 - A - DESIGNATIONS ARBITRES - JOURNEE 4 [04/10/2014]

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , ,







La désignation des Arbitres pour la 4ème journée de DIVISION 2 FUTSAL est 
connue.
Vous pouvez en prendre connaissance en cliquant sur le lien ci-après..................................................................................................................

Mehdi ABID CHAREF retenu pour le stage FIFA au QATAR

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L’arbitre international algérien Abid Charef Mehdi est retenu par la FIFA pour prendre part du 8 au 15 novembre prochain à Doha (Qatar) à un séminaire des arbitres africains, asiatiques et océaniques susceptibles de diriger des matchs de qualifications et de la phase finale de la Coupe du Monde 2018 en Russie. Agé de 34 ans, l’arbitre algérien est international depuis 2011.

Il est considéré comme l’un des meilleurs directeurs de jeu algérien. Il a officié la finale de la Coupe d’Afrique des Nations des U-20 CAN-2013 entre l’Egypte et le Ghana à Oran. Il a dirigé la finale de la Super Coupe d’Algérie 2014 entre le MC Alger et l’USM Alger (1-0). Outre Abid Charef Mehdi, 26 autres directeurs de jeu dont 11 Africains prendront part à ce premier séminaire organisé par la FIFA en collaboration avec la fédération qatarie de football pour préparer l’élite des arbitres africains, asiatiques et océaniques en vue du mondial-2018.


Liste des arbitres africains retenus par la FIFA:

Abid Charef Mehdi (Algérie), Grisha Gehad (Egypte), Weyesa Bamlaku Tessema (Ethiopie), Otogo Castane Eric Arnaud (Gabon),  Lamptey Joseph Odartei (Ghana), Omweno Davies Ogenche (Kenya), Keita Mahamadou (Mali), Ndiaye Maguette (Sénégal), Bernard Camille (Seychelles), Gomez Victor Miguel de Freitas (Afrique du Sud), et Sikazwe Janny (Zambie).

Source : L'EST RÉPUBLICAIN ALGÉRIE

Stage FIFA pour vingt-sept arbitres du Gabon

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , ,

Le président de la Fédération gabonaise de football (Fégafoot), Pierre-Alain Mouguengui, a lancé hier, en matinée, à la maison Alexandre-Samba, le stage Fifa de formation des arbitres et arbitres assistants destiné aux sifflets gabonais évoluant sur le territoire national.


Ils sont vingt-sept stagiaires à prendre part à cette session qui se déroule à l'Institut national de la jeunesse et des sports (INJS), et qui s'achèvera jeudi prochain.


Un stage de haut niveau, dirigé par trois experts envoyés par l'instance faîtière du football mondial. Il s'agit de Sidi Bekaye (Mali), Thomas Beko (Bénin), et Augustin Ndjoya (Cameroun), respectivement responsable du développement de l'arbitrage pour les pays francophones de l'Afrique et instructeurs physique Fifa, qui ont la lourde mission de renforcer les capacités de ces vingt-sept compatriotes hommes et femmes.

Source : L'UNION

18 joueurs et 3 arbitres suspendus après une bagarre générale....

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Une pluie de suspensions s’est abattue sur deux équipes de basket universitaire aux Philippines après qu’une violente bagarre générale ait éclaté lors du match entre les EAC Generals et les Mapua Cardinals lundi.

Alors que les premiers menaient 86-77, un coup de John Tayongtong (EAC Generals) sur CJ Isit (Mapua Cardinals) a mis le feu aux poudres à 28″6 seulement de la fin du match. Une altercation se transformant rapidement en bagarre générale à laquelle les arbitres de la rencontre ont eu toutes les peines du monde à mettre fin. Le match n’est d’ailleurs jamais allé à son terme.

Devant un tel comportement, les instances du championnat universitaire philippin n’ont pas hésité à multiplier les suspensions en sanctionnant 18 joueurs et trois arbitres.

EAC Generals : John Tayongtong, l’auteur du coup à l’origine de la bagarre général écope de la punition la plus lourde avec cinq matches de suspension. Ses coéquipiers Jan Jamon, Ariel Aguilar, Sidney Onwubere et Jack Arquero, coupables d’avoir couru après Leo Gabo sont eux suspendus trois matches chacun. John Santos, Manelle Quilanita and Edsel Saludo manqueront deux rencontres tandis que Faustine Pascual sera absent pour le prochain match de l’équipe.


Trois joueurs seulement (Jerald Serrano, Christ Mejos, Ai Indin et Jozhua General) échappent aux sanctions.

Mapua Cardinals : Leo Gabo est suspendu quatre matches, Jomari Tubiano manquera les trois prochaines rencontres de son équipe. Justin Serrano, James Galoso, Exequiel Biteng et Andrew Estrella (deux matches chacun) ainsi que Jerome Canaynay, Ronnel Villasenor et Darrel Magsigay (un match) ont eux aussi été sanctionnés contrairement à Jessie Saitanan, CJ Isit, Joseph Eriobu et  JC Cantos.

En plus de ces 18 joueurs, trois arbitres de la rencontre ont été suspendus pour une durée indéterminée et devront payer une amende pour n’avoir pas réussi à contrôler la situation… Dur dur d’être un arbitre !

Source : EUROSPORT

CHAMPIONNAT CFA - DESIGNATIONS ARBITRES - JOURNEE 7 [04-05/10/2014]

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , ,

FFF - DÉSIGNATIONS ARBITRES - CFA - 7ème journée - 4 et 5 octobre 2014 - La désignation des Arbitres pour la 7ème journée de CFA est connue. Vous pouvez en prendre connaissance en cliquant sur le lien ci-après.

  CHAMPIONNAT CFA - DÉSIGNATIONS ARBITRES - Journée 7
du 4 & 5 octobre 2014

mercredi, septembre 24, 2014

District de la Somme : Le couteau est de sortie dans les vestiaires !!

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FOOTBALL - Incidents entre les Portugais et le Rif à Amiens : l’arbitre témoigne

Le match de football de 2ème division de district entre les Portugais d’Amiens et Amiens Rif fait toujours parler, trois jours après les incidents. Un dirigeant et un joueur d’Amiens Rif ont été blessés par un dirigeant des Portugais armé d’un couteau (notre édition de mardi), dans les vestiaires du stade Jean-Renaux, à l’issue de la rencontre. L’une des victimes s’est fait poser huit points de suture. Une enquête de police a été ouverte. Hier, les auditions se poursuivaient. Pour l’heure, il n’y a eu aucune garde à vue.

L’arbitre de cette rencontre a tenu à revenir sur les incidents survenus ce dimanche après-midi, précisant qu’il n’a jamais été menacé au cours du match. «  C’est vrai qu’il y a eu des moments un peu chauds durant ce match, mais je n’ai jamais été agressé  ». Sauf une fois par un arbitre assistant, le dirigeant des Portugais d’Amiens soupçonné d’avoir donné les coups de couteau. «  Ce monsieur s’est mis en colère car j’ai sifflé un penalty contre son équipe alors qu’elle menait 2-1. C’est là qu’il a foncé vers moi et a commencé à dire que j’avais peur des joueurs d’Amiens Rif  ».

L’homme en noir reconnaît aussi qu’il y a eu un accrochage en fin de match, «  mais qui ne nécessitait pas d’interrompre la rencontre ». « Il y a quatre ou cinq personnes d’Amiens Rif qui sont entrées sur le terrain, mais elles ont vite été refoulées. Ça a duré une minute à peine ».

Quant aux incidents dans les vestiaires, l’arbitre n’y a pas assisté car il prenait sa douche au même moment. « Ce n’est qu’après, qu’un dirigeant (le second arbitre assistant) et un joueur du Rif sont venus me voir dans le vestiaire pour faire constater les blessures. J’en ai fait part dans mon rapport pour le district. Après, ce qui a pu se passer à l’extérieur du stade, comme la voiture rayée du dirigeant des Portugais, je n’en ai pas été témoin. Tout ce qui a pu se dérouler à l’extérieur de l’enceinte n’est plus de ma responsabilité ».

Les divers protagonistes de ces incidents devraient être convoqués, lundi, à la prochaine commission du district de la Somme. D’ici là l’enquête de police aura sûrement progressé afin de déterminer les responsabilités de chacun.

Source : LE COURRIER PICARD

JUSTICE : l'arbitre absent de l'audience pénale, le juge relaxe l'accusé ...

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La justice sportive est passée avant la justice pénale.

Lever la main sur un arbitre, ça coûte cher, très cher même, à la commission de discipline du district d’Eure-et-Loir. Un joueur de l’équipe senior d’Abondant l’a appris, l’an dernier, quand l’instance lui a infligé deux ans de suspension. Lors d’un match à Bailleau-le-Pin, en championnat de quatrième division départementale, le joueur était sorti de ses gonds, le 8 septembre 2013.

L’étudiant en BTS de 20 ans vient de l’admettre devant un juge, mais cette fois, c’était devant la justice pénale, au tribunal de police, à Chartres :

« L’arbitre de touche, de Bailleau, trichait. Je lui ai dit. Et il y a eu une bousculade ».

L’arbitre ayant déposé plainte pour violences volontaires, le joueur s’est retrouvé au tribunal. Après la suspension sportive du district qui a mis un terme à sa carrière de joueur, il risquait encore 750 € d’amende et un casier judiciaire.

« Je n’aime pas quand la victime ne vient pas s’expliquer »
Seulement, l’arbitre s’est mis hors-jeu aux yeux du représentant du procureur : « Il n’est pas à l’audience. Je n’aime pas quand la victime ne vient pas s’expliquer. Son certificat médical ne fait état d’aucun jour d’ITT, ni de traces de coup ».

Un plaignant fantôme, des coups fantômes : le tribunal a relaxé le joueur d’Abondant. Un carton jaune symbolique de la justice pénale à la justice sportive.

Source : l'Echo Républicain

ALGERIE : Les indemnités des Arbitres en hausse, mais encore très loin de suffire ...

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Les indemnités des arbitres des championnats des Ligue 1 et 2 Mobilis ont été revues à la hausse cette saison, a indiqué Mahfoud Kerbadj, président de la Ligue du football professionnel (LFP) en Algérie, assurant que les referees bénéficient d'une meilleure prise en charge par rapport aux saisons précédentes.
Les arbitres principaux touchent désormais une indemnité de 40.000 DA (soit 380,00 € environ), alors que leurs assistants, y compris le quatrième arbitre en perçoivent 35.000 DA (soit 335,00 € environ). Le commissaire au match, lui, bénéficie de 10.000 DA (soit 95,00 € environ) , a précisé Kerbadj au micro de la chaîne de télévision privée ''Stade News''. Le patron de la LFP a fait savoir en outre que son instance a signé des conventions avec des établissements hôtelières dans toutes les wilayas qui accueillent les rencontres des championnats des deux premiers paliers, pour héberger les arbitres la veille des matchs.
"Pour cette saison, les arbitres sont tenus de rallier la ville hôte du match, pour lequel ils sont désignés, la veille et non pas le jour du match. Cela leur permet de se préparer sur tous les plans dans les meilleures dispositions possibles", a expliqué Kerbadj.
Il a fait savoir au passage que les réunions techniques précédant les rencontres se déroulent désormais au niveau du lieu d'hébergement des arbitres, et non aux stades.

Bureau des Pleurs - Jocelyn GOURVENNEC : Je ne fais pas mon Caliméro, mais....

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , ,

D'habitude retenu, Jocelyn Gourvennec ne cache pas sa colère avant la rencontre de ce soir face à Metz, tempétant envers l'arbitrage et la prestation de ses joueurs à Monaco. > Ce soir à 19h au Roudourou « Je ne fais pas mon Calimero. Mais j'aimerais bien que l'on soit arbitré de la même manière que les autres. »




Hier, Jocelyn Gourvennec n'a pas feint son irritation envers le corps arbitral qui, depuis le début de saison, « n'arbitre pas Guingamp de la même manière que les autres », estime l'entraîneur breton. Un constat qui prend corps au regard des ralentis vidéos de la défaite à Monaco (1-0), dimanche dernier... « Je ne peux pas décolérer » « A l'issue du match, je m'étais abstenu de commentaires sur l'arbitrage. Manifestement, après avoir revu la rencontre, je ne peux pas décolérer. Je parle du penalty sur Beauvue et de la main dans la surface, flagrante. Il y a aussi davantage de retours à la faute dont les autres bénéficient et pas nous ». Des courroux qui s'amplifient encore un peu plus lorsque le technicien jette un oeil dans le rétroviseur. « En tant que petit du championnat, on n'est pas arbitré de la même manière contre les plus gros. C'était le cas jeudi (à la Fiorentina), et également dimanche. C'était aussi le cas contre Bordeaux, au Trophée des Champions et à Saint-Étienne avec M. Lesage. A Lorient et Lens, on a eu un arbitrage normal, parce que nous jouions des équipes de notre niveau. » Mais évidemment, puisque « l'arbitrage ne masque pas nos carences à Monaco », Jocelyn Gourvennec tance également la prestation de ses joueurs, « notamment les joueurs offensifs. J'attends d'eux qu'ils prennent plus leurs responsabilités. Je suis remonté depuis dimanche ! J'avais de l'ambition en allant à Monaco, où je n'ai finalement pas vu ce que j'avais vu une semaine plus tôt face à Bordeaux (victoire d'En Avant, 2-1), c'est-à-dire une équipe avec du caractère et du mordant. A Monaco, on a été trop passif, trop complaisant presque. Et ça ne me plaît pas, parce que ce n'est pas Guingamp, ce n'est pas mon équipe, ce n'est pas mon caractère ».

Source : LE TELEGRAMME

FOOTBALL : l'arbitrage vidéo n'existe pas ... cela dénaturerait l'universalité du football !!

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Permettre aux entraîneurs de demander le recours aux images vidéo dénaturerait le foot.

Sepp Blatter, président de la Fédération internationale de foot (Fifa) vient de lancer un ballon en forme d’autopromotion. Il propose que les entraîneurs disposent de deux à quatre «challenges» par match pour demander le visionnage d’images vidéo.

Après avoir fait adopter la Goal Line Technology (GLT), voilà M. Blatter parti sur une piste qu’il a toujours refusée: celle du soi-disant «arbitrage vidéo». Il ne s’agirait plus alors de vérifier, en une seconde, si le ballon a franchi la ligne de but ou non mais d’entrer dans le labyrinthe de l’interprétation des images.

Le caractère politique de ce revirement est flagrant. La FIFA est en difficulté sur des dossiers brûlants (dont l’attribution au Qatar de la Coupe du monde 2022) et elle est l’objet de forts soupçons de corruption. Sepp Blatter cherche donc à faire diversion et tente de se forger une image de responsable capable de réformer le football. Le duel annoncé avec Michel Platini, président de l’UEFA, pour la présidence de la FIFA (et qui finalement n’aura pas lieu) a poussé le président actuel à forcer l’allure.

Mieux vaudrait rire de cette mascarade pro vidéo si le football ne risquait d’en être la victime. Michel Platini n’a aucun doute sur les vraies raisons du projet: «Blatter est dans la communication. Il veut montrer qu’il est moderne. Mais au fond de lui, il est contre.» (Monaco, le 28 août dernier).

Le progressiste, en la matière, n’est pas Blatter mais Platini. La véritable révolution, c’est ce dernier qui l’a mise en marche avec l’arbitrage à cinq dans les compétitions UEFA. Ce ne sont plus trois arbitres mais cinq qui y officient désormais, les deux arbitres supplémentaires étant chargés des surfaces de réparation, où se déroulent nombre d’actions décisives.

Diego Simeone, le coach de l'Atletico Madrid, en grande discussion avec l'arbitre du match de la Supercoupe d'Espagne contre le Real Madrid, le 22 août 2014. (Dani Pozo. AFP)

Permettre aux entraîneurs de demander la vidéo présente de graves inconvénients. Ceci déposséderait les arbitres d’une partie de leur pouvoir de décision, alors qu’il s’agirait plutôt de le conforter. Et surtout, ce projet ferait entrer l’interprétation des images au cœur du football. Arbitres et entraîneurs se retrouveraient plusieurs fois par match face à un écran pour examiner s’il y avait bien but, penalty, faute grave, etc. Et quelle est ici la référence ? La télévision ! C’est-à-dire une entreprise de spectacle, avec ses trop nombreux ralentis qui déforment la perception du jeu. En outre, plus il y a d’images d’une même action, plus elles se contredisent et plus se faire un point de vue devient difficile. Une réalisation télévisuelle est une série de choix, et elle exclut autant qu’elle montre. Sans compter avec le temps que ces scrutations vidéo prendraient… On commence avec deux interruptions et on en demande ensuite toujours plus. C’est sans fin.

En réalité, l’arbitrage vidéo n’existe pas. L’arbitrage - avec les multiples décisions complexes qu’il implique - c’est l’affaire des arbitres, pas des images. Seule existe dans certains sports, très différents du football (tennis, hockey sur glace, football américain notamment), une assistance technologique à l’arbitrage très encadrée, avec dans divers cas des «challenges» accordés aux entraîneurs. Mais chaque sport a ses spécificités et ce qui fonctionne, plus ou moins bien, dans certaines disciplines, n’est pas nécessairement valable pour d’autres.

Seule la «Goal Line Technology» peut éventuellement s’appliquer au football. Vouloir par exemple y instaurer ce qui est en vigueur au football américain (ce sport fait pour la télévision et la publicité, aux temps de jeu très courts) n’a pas de sens.

Le rugby aussi est très différent du football. Mais il a connu récemment une instructive extension de l’utilisation de la vidéo. Celle-ci a rallongé les matches, haché le jeu, déresponsabilisé les arbitres. Le même danger guette le football. Premier sport du monde, il tire largement sa magie de sa fluidité, de son incertitude, voire d’une forme d’archaïsme.

En France, Frédéric Thiriez, le fringant président de la Ligue de football professionnel (LFP) tente de profiter de l’ouverture. Suggérant la coupe de la Ligue comme lieu d’expérimentation, il a rappelé au passage qu’il prône depuis dix ans l’assistance vidéo et que dans «la querelle des anciens et des modernes», les modernes finissent toujours par gagner. Le problème est qu’il ne s’agit pas ici d’être ancien ou moderne, mais d’être pertinent ou non. Or cela fait dix ans que M. Thiriez se trompe, avec autant d’obstination que de bonne humeur. A aucun moment il n’a apporté de réponse sérieuse aux deux questions essentielles sur ce sujet: qu’est-ce qu’une image de télévision (et son interprétation) ? Quelles seront les conséquences de la vidéo sur le jeu ? Tout le reste n’est qu’activité promotionnelle, culte de la technologie et faux-semblants.

Source : LIBÉRATION

mardi, septembre 23, 2014

FOOT : Formation d'arbitre en 1 week-end en Ligue d'Atlantique [VIDEO]

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , ,

Vous souhaitez devenir arbitre de football ? Des formules de formations innovantes se déroulent sur le territoire de la Ligue et de ses trois Districts et vous permettent d'obtenir le précieux sésame en moins de 48 heures (Stages en internat du vendredi soir au dimanche après-midi). Les sessions à venir : du 26 au 28/09/2014 pour le District de Loire-Atlantique (au CRT de Saint-Sébastien), du 03 au 05/10/2014 pour le District de Vendée (au CRT de Saint-Sébastien sur Loire) et du 17 au 19/10/2014 pour le District de Maine et Loire (à Trélazé).