jeudi, octobre 02, 2014

DIDIER DESCHAMPS : Vidéo pour les fautes à la limite de la surface de réparation...

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , ,

Le sélectionneur des Bleus milite pour l'utilisation de la vidéo pour les fautes commises à la limite de la surface de réparation.
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Quelques instants après avoir annoncé la liste des Tricolores retenus pour les rencontres amicales face au Portugal (11 octobre) puis l'Arménie (14 octobre), Didier Deschamps a abordé le sujet de l'arbitrage vidéo. Le sélectionneur s'est d'abord réjoui de l'utilisation de la vidéo pour valider ou non un but durant la Coupe du monde. Une technologie qui avait notamment permis de confirmer le but de Karim Benzema face au Honduras durant le Mondial.

«La technologie sur la ligne de but c'est une très bonne chose, parce qu'un but valable ou non peut avoir des conséquences très importantes», a expliqué le patron des Bleus. Mais «DD» veut aller plus loin encore dans l'usage de la technologie: «La vidéo, on pourrait l'utiliser pour voir si une faute a été commise à l'extérieur ou à l'intérieur de la surface, parce que ça n'a pas les mêmes conséquences, une fois que l'arbitre a sifflé», a poursuivi l'ancien capitaine de l'équipe de France qui entrevoit toutefois les limites de ce procédé. «Même à travers la vidéo, on n'arrive pas toujours à déceler véritablement si c'est la bonne décision, donc il faut laisser une part de liberté au jeu», a-t-il précisé, consicent que ce sera à l'oeil humain de trancher après avoir décortiqué les ralentis.

Le président de la Fifa Joseph Blatter a indiqué au Congrès de la Fédération internationale de football à Sao Paulo, début juin, qu'il serait favorable à ce que les entraîneurs aient un recours à la vidéo quand ils contestent une décision de l'arbitre dans un match.

Source : LE FIGARO

BRESIL - SIMULATION : L'arbitre plus malin que ROBINHO.....

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , ,

Malin, l’arbitre de la rencontre en Botafogo et Santos, au Brésil. Alors que Robinho essayait de le gruger en simulant, il a attendu que l’attaquant se relève pour lui adresser un carton jaune.



Déjà averti plus tôt dans la rencontre, le Brésilien Robinho allait, suite à un duel avec un défenseur, se rouler par terre comme s’il avait été gravement touché. L’arbitre de la rencontre, visiblement plus malin que le joueur, n’a rien sifflé, et a préféré attendre que Robinho se lève pour avoir une preuve que l’attaquant n’avait pas été touché.

Et comme il l’avait prévu, l’ancien joueur du Milan AC s’est relevé à toute vitesse lorsqu’il a vu que l’arbitre ne signalait rien. Conclusion ? Une deuxième carte pour simulation.

Heureusement pour lui, Robinho avait préalablement marqué deux buts, assez pour permettre à son équipe de s’imposer 2-3.

Source : SUDINFO

BASKETBALL - Lauren HOLTKAMP : Troisième femme arbitre en NBA...

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , ,

Après Dee Kantner et Violet Palmer, Lauren Holtkamp va devenir la troisième femme arbitre à temps plein de la NBA. Elle ne pourra pas arbitrer avec Kantner, qui est désormais la superviseuse des aribitres en WNBA, mais peut-être croiser Palmer, encore en activité.

À 33 ans, elle fait le grand saut de la D-League à la NBA comme deux autres collègues, Dedric Taylor et Justin Van Duyne, qui vont rejoindre le groupe de 63 personnes qui officient sur les parquets NBA.

« Il y a une part de satisfaction à gagner cette opportunité, et peu importe qui fait le boulot, du moment qu’il soit bien fait », explique-t-elle au USA Today.

Après Becky Hammond qui est devenue cet été assistant coach aux Spurs, c’est une nouvelle étape dans la féminisation de la NBA. Mais Holtkamp veut d’abord que l’on parle de son arbitrage, et non du fait qu’elle soit une femme.

    « Depuis le premier jour où je suis arrivée en D-League, on m’a considéré comme un arbitre et jugé sur mes performances. C’est tout ce qui compte : les performances et la qualité. »

Source : basketusa.com

LUXEMBOURG : Il arrête l'arbitrage national pour se consacrer aux jeunes...

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , ,

Bila Kalemba Kizedioko a quitté l’arbitrage en nationale pour se consacrer surtout aux jeunes ; il constitue aussi un sérieux atout pour Harre.


Bila Kalemba Kizedioko, faut-il parler de coup de mou: vous ne jouez plus en futsal?

(Rires). C’est vrai. J’ai 34 ans. Je me contente désormais du football en prairie, à Harre. Mais je continue à arbitrer en salle et en prairie. Les quatre, c’était tout de même beaucoup. Surtout qu’en même temps, je construisais ma maison. Heureusement, mon épouse Marie adore le foot. Son père, André Rahier (NDLR. Un ancien de Ferrières de la grande époque, que l’on a connu par la suite à Izier), a toujours été un fan de football.

Pourquoi avoir opté pour le Luxembourg tant pour le foot que l’arbitrage?

Je vis désormais à Werbomont, à moins de deux cents mètres du Luxembourg. Comme éducateur, je travaille à Vottem, mais aussi à Beauplateau, chez Monsieur Loiseau. Je m’y occupe plus précisément de jeunes en difficulté qui veulent se lancer dans l’arbitrage.

Auparavant, j’avais toujours joué à Harzé et sifflé en terre liégeoise avant d’accéder en nationale pour la saison 2008. J’y suis resté quatre ans.


Uniquement en Promotion?

Comme arbitre de champ, oui. Mes deux premières années ont été excellentes. En fait, tout a très bien fonctionné jusqu’à un match à Hannut où l’examinateur de la CCA (NDLR. le Namurois d’adoption Alain Michotte, originaire de Barvaux) devait me confirmer pour la D3.

J’ai eu un bon rapport, mais j’ai été recalé pour ne pas avoir laissé l’avantage à un attaquant qui partait au goal. Le plus drôle dans l’histoire c’est que l’équipe a marqué sur le coup franc que j’avais sifflé.

Le fait de ne pas pouvoir monter de division m’a coupé bras et jambes.

Après Jérôme N’Zolo, vous resterez comme le second arbitre d’origine africaine à avoir atteint la nationale. Une fierté?

Oui et non. Oui, parce que je suis fier de travailler avec lui; il est mon collègue en tant qu’éducateur. Non, parce que j’aurais aimé suivre sa route, devenir comme lui un sportif de haut niveau avec les statuts qui vont avec. Cela dit, je ne comprends pas comment il en soit là aujourd’hui, comment il ait pu rater ses tests physiques…

Vous aviez aussi posé votre candidature au poste de président de la CPA Luxembourg…

J’aime les challenges. J’ai aussi acquis pas mal d’expérience tout de même. Je sais que j’ai figuré parmi les quatre finalistes pour obtenir le poste de président. C’est déjà bien.

C’est toujours une déception de ne pas atteindre un objectif, mais d’un autre côté, si j’avais été désigné, j’aurais dû renoncer à tout le reste. Or je pense que j’ai encore quelques belles années devant moi pour jouer et pour siffler.

Avec votre expérience, vous êtes un candidat tout désigné pour le sifflet d’or, mais visiblement, vous accordez la priorité au football?

Parce que je me dois de tenir mes engagements avec Harre, qui m’a accordé sa confiance. Cette année, je ferai donc plus la chasse aux buts qu’au sifflet d’or (rires). Et puis cela ne m’ennuie nullement de siffler essentiellement des matches de jeunes. J’entame ma troisième année en Luxembourg. La première, j’ai voulu rester dans l’ombre, ne sifflant que les minimes et les cadets. Je vais vous dire aussi que durant toute cette période, le match où j’ai pris le plus de plaisir est sans conteste celui qui a opposé l’an passé les U17 de Marloie à ceux d’Athus.

Sur le terrain, devez-vous faire face parfois voire régulièrement à des propos racistes?

Sincèrement, je dois avouer que je n’y prête pas attention. En tout cas, cela ne m’a jamais perturbé. Les rares fois où cela a pu se produire, c’était en Wallonie. Les Flamands, eux, ne s’en prenaient pas à ma couleur de peau, mais au fait que j’étais un Wallon (rires). Mais avec l’âge et l’expérience, on se tracasse moins. Par contre, c’est beaucoup plus pénible pour ces jeunes qui débutent et sont victimes de quolibets et d’insultes de la part de parents.

Il y a lieu, tout de même de se poser des questions: pourquoi un jeune qui veut prendre du plaisir en sifflant en match doit-il endurer une vraie punition à cause d’un supporteur ou l’autre?

À choisir, vous laisseriez tomber le football ou l’arbitrage?

Je reste passionné par les deux, mais si je suis contraint de choisir, je garde l’arbitrage. Il m’a tout de même permis de vivre des moments très intenses en nationale, comme ce Sprimont - Aywaille que la CCA m’a confié pour ma dernière mission en Promotion.

Relevez-vous des différences entre le football liégeois et le nôtre?

J’ai l’impression que le football liégeois s’appuie davantage sur la technique et le luxembourgeois sur le physique.

Le jeu est beaucoup plus direct chez vous; sans doute parce que les duels ont tendance à être plus fréquents, plus francs aussi.

D’où pour un arbitre l’obligation de redoubler de vigilance, surtout pour sa gestion des cartes. Ce n’est pas parce que les duels sont costauds qu’ils sont nécessairement fautifs.

Source : L'AVENIR

FFF - D1 FEMININE - DESIGNATIONS ARBITRES - JOURNEE 6 [11-12/10/2014]

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , ,

FFF - DÉSIGNATIONS ARBITRES - DIVISION 1 FÉMININE - 6ème journée - 11-12 octobre 2014....................................................................................................
 
JOURNEE 6 - 11-12/10/2014
ARBITRES MATCHS / DESIGNATIONS

Arbitre centre : VANSTAEVEL AURORE
Délégué principal : COUSIN GILLES
 
Arbitre centre : BARTNIK SOLENNE
Délégué principal : PERES MARIO
Observateur principal : BARRIERE CLAUDE
 
Arbitre centre : COPPOLA ELODIE
Arbitre assistant 1 : VIRIOT CECILE
Arbitre assistant 2 : MITTELBRONN NATHALIE
Délégué principal : ANDRE GUY
 
Arbitre centre : ZAOUAK NABILA
Arbitre assistant 1 : BOUAKSA HAKIM
Arbitre assistant 2 : JULIEN EMMANUEL
Délégué principal : LASFARGUES MICHEL
 

Arbitre centre : NICOLOSI MANUELA
Délégué principal : AUGEREAU JEAN BAPTISTE
Observateur principal : ROUINSARD JEAN LUC
 
Arbitre centre : CRAIPEAU SEVERINE
Délégué principal : LABRUYERE JEAN JACQUES
Observateur principal : COTREL DIDIER

La désignation des Arbitres pour la 6ème journée de DIVISION 1 FEMININES est 
connue.
Vous pouvez en prendre connaissance en cliquant sur le lien ci-après..................................................................................................................

NOUVELLLE-CALEDONIE : Les sanctions exemplaires sont tombées...

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , ,

Des sanctions exemplaires ont été prises par la Fédération calédonienne de Football, après les agressions commises sur les terrains ces derniers mois. Neuf joueurs, encadrants et dirigeants ont été suspendus et des clubs pénalisés. Cependant, la porte reste entrouverte pour eux...

Imposer le respect, celui que l’on doit aux arbitres, aux adversaires, aux bénévoles, c’est la responsabilité qu’a choisi d’assumer la Fédération calédonienne de Football en sanctionnant lourdement des licenciés qui par leurs comportements ternissent l’image de la discipline la plus pratiquée du territoire.


Alors que des évènements tels que le Festival Karembeu sont organisés sur le territoire pour promouvoir l’idée du fair-play, laisser impuni des gestes inacceptables paraissait impensable. Aux quatre coins du monde, le sport est une école de respect social.

Les Sanctions

La FCF ne pouvait pas dévier de la voie sur laquelle elle s’est engagée en mars dernier, en suspendant des terrains pour une durée de sept ans un joueur de l’AS Lössi (Bernard Hmaloko) qui s’en était pris physiquement à un arbitre en décembre 2013. Après les nouveaux incidents qui ont émaillé les derniers mois, la fermeté a été maintenue. Plusieurs clubs font donc les frais des coups de sang de leurs licenciés.

Thio Sport sera ainsi privé, pendant respectivement six et huit ans, de son gardien Nathanaël Tanghmelen et du capitaine Jaerson Haeweng, impliqués dans l’agression d’un homme en noir lors d’un match contre Lössi. Leur partenaire Michel Haeweng a lui écopé d’une suspension à vie pour avoir porté des coups de chaises sur un délégué de match (le président de l’ASMD) dans une rencontre opposant son équipe au Mont-Dore.

Le FC Gaitcha de son côté devra se passer des services de son meneur de jeu Yoan Bako pour une durée de 8 ans. Ce joueur, brillant, avait lui aussi violenté un arbitre lors d’un match contre Magenta.

Enfin plusieurs licenciés de l’AGJP ont été sanctionnés pour une bagarre générale face à l’ASM. Six mois ferme et six mois avec sursis pour le joueur Daniel Royne, six matchs ferme et huit autres avec sursis pour le gardien Jacques Royne, mais aussi un an de suspension ferme et un an de sursis pour le dirigeant Robert Wadrehane et six matchs ferme, plus six mois ferme et deux ans de sursis pour l’éducateur du club Léon Jebez.

Kalaje Gnipate, le joueur de Magenta à l’origine du tacle qui avait déclenché l’échauffourée a lui écopé de sept matchs ferme pour faute grossière et comportement violent.

Punition exagérée ? Pas pour la Fédération, qui compte mettre en place l’année prochaine une commission d’application des peines pour laisser la porte entrouverte. "Elle permettra de muter les sanctions en sursis ou en travaux d’intérêt général si les licenciés incriminés s’impliquent dans des projets éducatifs autour du ballon rond. Nous pensons qu’une personne qui  a été punie pour une erreur peut être un bon éducateur pour les jeunes" a expliqué Nicolas Guillemard, le secrétaire général de la FCF. La création de cette commission devra toutefois être validée lors de l’assemblée générale de la Fédération en décembre prochain. Elle devra en tout état de cause ne pas oublier ce qu’il s’est passé sur les terrains.

Du changement au classement:
Outre les suspensions, des points de pénalités ont été infligés aux clubs concernés par les agressions. Perte du match contre Lössi et deux points de pénalité pour Thio Sport, idem pour Gaïtcha face à Magenta et perte du match ainsi que cinq points de pénalités pour l’AGJP.
Au classement de la Super Ligue, Magenta gagne deux rencontres sur tapis vert et prend la tête avec 70 points. Lossi récupère également quatre points mais se retrouve deuxième avec 67 points. Gaitcha reste 7e avec 38 points au lieu de 40. Dans le bas de tableau AGJP se retrouve 12e avec 27 points à une petite longueur de Thio, 28 points.

Source : NC1ère

mercredi, octobre 01, 2014

NFL : Un joueur musulman sanctionné par l’arbitre pour une prosternation

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , ,

Le joueur des Chiefs de Kansas City Husain Abdullah a été pénalisé lors d’un match de football américain pour s’être prosterné au sol après un touchdown.

Cette sanction contre ce joueur musulman, connu pour avoir préféré mettre en parenthèse la saison 2012 pour effectuer son hajj à la Mecque avec son frère Hamza, lui aussi professionnel de football, a suscité un véritable tollé aux États-Unis.

Mais cette sanction a rapidement suscité de vives critiques dans les médias. De nombreux magazines sportifs ont jugé que cette pénalité n’avait pas lieu d’être.

    « Ce qu’Husain Abdullah a fait n’était pas un geste anti-fairplay. Il s’agissait juste d’un moment personnel entre lui et la force divine auquel il croit », peut-on ainsi lire sur le site SB Nation.

Pour le « New York Times », ce cas démontre également que la NFL n’agit pas de la même manière selon les croyances des joueurs :

    « Les joueurs ont l’habitude de remercier Dieu après les touchdowns. De manière évidente, Tim Tebow, l’ancien quaterback des Broncos de Denver, posait un genou à terre après avoir marqué », a ainsi expliqué le journaliste Ken Belson en faisant référence à un joueur chrétien, qui s’est fait connaître dans le monde entier pour ses prières en plein match.

Face à ces critiques, les responsables du football américain n’ont pas tardé à faire leur mea-culpa. Le joueur ne va pas écoper d’une amende pour ce geste. « Husain Abdullah n’aurait pas dû être pénalisé pour un comportement non fairplay après son touchdown », a déclaré le porte-parole de la NFL Michael Signora dans un email adressé au journal « USA Today ».

Source : FRANCE 24

Deux cartons jaunes pour sa célébration de but : Madame STEINHAUS a du cran! [Vidéo]

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , ,


Ce week-end restera peut-être comme celui des exclusions les plus stupides de l'année. Il y a eu les deux cartons jaunes brandis au Standardman Jelle Van Damme, coupable, notamment, d'avoir mimé un lancer de javelot avec le poteau de corner. Ceux de l'Ostendais Fernando Canesin, qui a reçu un premier bristol pour avoir enlevé son maillot. Sans oublier celui tout aussi évitable de Nacer Chadli, qui n'a toutefois pas été exclu, lui.

Puis il y a Sylvano Comvalius. Cet attaquant du Dynamo Dresde a réussi "l'exploit" de recevoir deux cartons jaunes d'un coup! Dans le match au sommet de la D3 allemande face à Chemnitz (devant 29.654 spectateurs svp!, là où, à titre de comparaison, il n'y en avait que 1.500 lors de Charleroi-Eupen mercredi passé en Coupe de Belgique), Comvalius a inscrit l'unique but du match à la 88e minute.

Un peu trop fou de joie, il a d'abord enlevé sa vareuse avant de grimper en tribunes pour fêter cela avec les supporters, deux attitudes répréhensibles dans le règlement. 0 + 0 = la tête à Toto, jaune + jaune = rouge. Bibiana Steinhaus (35 ans) connaît ses classiques et n'a pas fait de sentiments. Celle qui a été la première femme arbitre en D2 allemande a autoritairement renvoyé ce bon Sylvano aux vestiaires. Peu importe que cela déplaise aux nombreux supporters présents. Heureusement pour le buteur, son exclusion n'a pas prêté à conséquences puisque le score n'a plus évolué.




Source : L'AVENIR

Il demande à l'arbitre de retirer le carton jaune... de son adversaire !!

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Stefan Kutschke a-t-il immédiatement regretté sa simulation ? Lui assure qu’il a glissé et que c’est pour ça qu’il est allé voir l’arbitre pour lui demander de retirer le carton jaune donné à Christoph Kramer. Ce dernier n’avait en effet pas commis de faute.



Source : POPNSPORT 

COUPE DE FRANCE : Match arrêté pour arbitre jugé ... trop sévère !!

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , ,

Le tirage au sort du 4e tour de coupe du Centre Ouest (et du 5e tour de coupe de France), ce mercredi à Saint-Junien, se fera sans les équipes de Grande-Champagne et de Bussac-Forêt.

Le match entre les deux équipes, comptant pour le 3e tour, a été arrêté à la mi-temps, samedi dernier. D’un commun accord, les deux équipes ont refusé de reprendre le jeu pour protester contre l’arbitrage jugé trop sévère de l’arbitre Yves Doublecourt.

"Il a clairement fait un excès de zèle en sortant un rouge et un jaune de chaque côté et en expulsant le banc de Bussac-Forêt alors que c’est lui qui les a provoqués", explique Philippe Normand, l’entraîneur de Grande-Champagne, qui menait un à zéro. Selon lui, l’arbitre a expulsé un Maritime auteur d’une faute anodine ainsi que le Charentais blessé pour avoir trop grossièrement exprimé sa douleur.

"Il a déjà été rétrogradé de ligue en district après plusieurs plaintes car il mettait trop de cartons", explique Philippe Normand, qui espère être entendu par la Ligue du Centre-Ouest.


Source : CHARENTE LIBRE



ZOOM sur un Jeune Arbitre Unafiste du District du Var : Maxime DAGO

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , ,

1) Peux-tu te présenter brièvement, s’il te plait ?
Je m’appelle Maxime DAGO, Toulonnais de naissance, j’ai 14 ans et je suis en 3ème. J’arbitre depuis 10 mois et plus précisément depuis Décembre 2013.

2) Pour quelles raisons es-tu devenu arbitre de football ?


Pour voir en quelque sorte une autre phase du football, alors que je pratiquais déjà le football depuis l’âge de 6 ans, lors du Tournoi organisé par mon club, j’ai passé la pause du midi en compagnie des arbitres qui m’ont parlé de l’arbitrage en général. 6 mois plus tard, j’étais inscrit pour la semaine d’examen de la Toussaint. Je fus reçu et formé par Christian DELANNOY, Raymond PERON et Guy MUCCI. Finalement j’ai réussi l’examen à la fin de la semaine et commencé à arbitrer le mois suivant.



3) Quelle carrière d’arbitre aimerais-tu avoir ?


Tout d’abord confirmer mon année d’apprentissage en District puis réussir à passer la Ligue puis le JAF (Jeune Arbitre Fédéral) et arriver le plus haut possible et pourquoi pas arbitre FIFA.

4) Qui t’as fait connaître l’UNAF ?

Eh bien, c’était durant un stage organisé au cours de l’hiver vers février avec plusieurs autres arbitres on avait passé la journée ensemble et à un moment durant le repas du midi le sujet a été abordé et finalement grâce à Kévin CORTES et à Romain BOUGET qui m’en ont parlé je fais maintenant parti de l’association et j’en suis très heureux !!!


5) Quelles sont tes attentes pour l’UNAF Var dans le futur ?

Je n’en ai pas réellement car ce qu’ils font est déjà génial et la venue de plus en plus d’arbitre est méritée car franchement ils font tous pour aider les arbitres et ils méritent qu’on les remercient plus souvent, donc Bravo à eux !!!
Merci MAXIME.

Source : UNAF VAR

CHAMPIONS LEAGUE - UEFA - DESIGNATIONS ARBITRES - Journée du 01/10/2014

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , ,


DÉSIGNATIONS DES ARBITRES

Journée 2 - 01/10/2014



La désignation des Arbitres pour la 2ème journée de CHAMPIONS LEAGUE est 
connue.
Vous pouvez en prendre connaissance en cliquant sur le lien ci-après..................................................................................................................

REUNION-DEBAT autour de l'arbitrage : une réussite pour le FC METZ

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , ,

En septembre dernier, le centre du formation du FC Metz a ouvert ses portes à un débat consacré à l’arbitrage. Avec comme invités d’honneur : Robert Wurtz, arbitre emblématique des années quatre-vingt, Bruno Derrien, ancien arbitre international français et Jean-Marc Rodolphe, premier joueur qui a connu une 2e carrière en noir. Le tout orchestré par le journaliste Denis Balbir.

Morceaux choisis.







Comment faire pour avoir la confiance des entraîneurs et des joueurs ? Comment faire pour recruter de nouveaux arbitres ? La vidéo est-elle indispensable ? Quelles sont les perspectives d’évolution de la fonction d’arbitre ? Autant de questions auxquelles les invités du jour – Robert Wurtz, Bruno Derrien et Jean-Marc Rodolphe – ont essayé de répondre. Organisée conjointement par la Ligue lorraine de football représentée par Lionel Schneider et le FC Metz, la conférence-débat avait pour vocation de dresser un état des lieux de la profession d’arbitre sur le territoire national. Bruno Derrien, aujourd’hui responsable de la communication au sein du Groupe La Poste et consultant pour RTL et sports.fr, est entré directement dans le vif du sujet. « Je n’ai aucune fonction dans l’arbitrage aujourd’hui. Je n’ai donc pas de devoir de réserve. Les arbitres sont aseptisés, ils ne sont plus au service du jeu mais au service de leur carrière. » Un constat amer mais qui confirme la dérive observée dans le football et qui s’est accélérée ces dernières années. « Car aujourd’hui, il y a trop d’enjeux, qu’ils soient financiers ou sportifs. » Les temps ont donc changé. De l’aveu même de Robert Wurtz. « Il est évident que ma façon d’arbitrer ne pourrait s’envisager sur les terrains actuels. Les contrôleurs auraient tôt fait de me descendre. » Ainsi, à en croire les deux spécialistes, moins d’âme et moins de spectacle caractérisent donc les matches professionnels.  « Il y a trop d’enjeux, qu’ils soient financiers et sportifs. La défaite n’est plus acceptée par personne, il faut toujours trouver un bouc-émissaire. Et malheureusement, c’est toujours l’arbitre », renchérit Bruno Derrien.




De joueur à arbitre

Sans céder à la facilité qui tendrait à dire – « c’était mieux avant » – l’arbitre n’a plus la possibilité « d’exprimer son libre arbitre, de rester lui-même », toujours selon Bruno Derrien. L’ancien arbitre international regrette aussi que joueurs et hommes en noir ne se rencontrent plus. « Avant, on se rencontrait dans les trains, on partageait un pot et on allait dans les clubs pour distiller la bonne parole, faire de la pédagogie. Ce n’est plus le cas désormais. » « Le rapport de l’arbitre avec les autres familles du football a été et est encore compliqué », indique Jean-Marc Rodolphe, ancien joueur professionnel qui a ouvert la voie de la reconversion vers l’arbitrage. « J’ai eu la possibilité d’évoluer dans les deux mondes et de peser le pour et le contre. Autant les joueurs m’ont accepté après ma reconversion, autant je n’ai pas été introduit immédiatement dans le cercle très fermé des arbitres. » La solution résiderait peut-être de recruter de nouveaux arbitres au sein des anciens joueurs. En effet, « le fait d’avoir bouffé la soupe devant un ailier qui te met dans le vent, peut-être un bon test pour prendre les bonnes décisions », souligne avec le sourire, Robert Wurtz. « J’en ai fait le constat puisqu’à l’instar de Jean-Marc Rodolphe, j’ai évolué des deux côtés. » Pour le journaliste Denis Balbir qui officie pour la chaîne Sports 365, « les arbitres doivent aussi davantage faire preuve de dialogue et de psychologie. » C’est pour cette raison qu’il est primordial de trouver le juste ton. « D’où l’intérêt d’avoir des cours de médiatraining. Parler devant une caméra peut s’avérer paralysant pour certains. Il faut être pédagogique, savoir bien expliquer les choses et ça aussi, ça s’apprend. Actuellement, les arbitres suivent des cours de médiatraining pour bien s’exprimer devant une caméra et faire comprendre les décisions qu’ils ont décidé d’appliquer », remarque Bruno Derrien.





Vidéo : utile ou pas ?


Si la psychologie et la communication tiennent donc un rôle important dans l’avenir de la profession, cela ne doit pas empêcher les autres composantes de la famille du football et notamment les joueurs de se montrer exemplaires et de respecter ses décisions. Et dans ce cadre, pour les intervenants, la vidéo ne peut aider qu’à certaines conditions. « Si en tant que téléspectateur, je suis content de revoir l’action, je ne suis favorable à la vidéo que sur les cas géométriques car l’œil humain peut être défaillant dans ces cas-là », précise Robert Wurtz. Avis partagé par Jean-Marc Rodolphe et Bruno Derrien qui voit d’un bon œil l’utilisation de la vidéo avec un cahier des charges précis. « Elle peut être utile en cas d’action litigieuse sur la ligne de but, sur une faute avant un but ou à un endroit où on a un doute sur la faute. Mais je ne suis pas persuadé que les présidents de clubs soient prêts à mettre 4 millions d’euros pour installer des caméras dans les stades qui seront peut être utilisées trois à quatre fois dans l’année. » Au-delà de la vidéo qui apporte plus de désagréments que d’avantages – « il est d’ailleurs très dommageable que la notation et le contrôle des arbitres se fassent à l’aide de la vidéo », selon Jean-Marc Rodolphe – il y a des sujets plus importants pour l’avenir de la profession. « La féminisation dans l’arbitrage notamment. Une piste de développement intéressante », indique Bruno Derrien. Mais ça, c’est encore une autre histoire…

Source : MOSELLE SPORT

CDOS 43 - COLLOQUE 'ARBITRAGE - Samedi 4 octobre à 14h30 au PUY-EN-VELAY

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Un colloque sur l'arbitrage au regard de ses préoccupations : c'est ce que propose le Comité départemental olympique et sportif, samedi 4 octobre au Puy-en-Velay.

Samedi 4 octobre, le Comité olympique et sportif de Haute-Loire (CDOS43) organise au centre Pierre Cardinal du Puy-en-Velay un colloque ayant pour thème l'arbitrage au regard de ses préoccupations. « L'idée est d'axer sur l'aspect humain de l'arbitrage, ses valeurs, la lutte contre les discriminations », explique Jean-Pierre Vaggiani, président du CDOS 43.

Parmi les thèmes abordés : une présentation de l'Association française du corps arbitral multisports, l'analyse de la loi du 23 octobre 2006 (qui précise le statut juridique des arbitres et juges sportifs), la notion de mission de service public, les obligations d'un arbitre à tous les niveaux, le rôle de l'arbitre vis à vis des jeunes. Le recrutement des nouveaux arbitres et sa féminisation, le bénévolat seront également abordés.

Un colloque auquel prendra part Yves Leycuras, président du Comité olympique et sportif d'Auvergne, Patrick Vajda, président de l'AFCAM, Daniel Sansano (DDCSPP Haute-Loire) ainsi que plusieurs arbitres et représentants des comités sportifs altiligériens.

PRATIQUE. Colloque arbitrage, organisé par le CDOS43, ouvert à tous. Entrée gratuite, samedi 4 octobre à partir de 14h30 au centre Pierre Cardinal du Puy-en-Velay.

Source : mon43.fr

BOXE - Serge HERMOSILLA : la passion aux poings...

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , ,

Serge Hermosilla a posé les gants pour la tenue officielle d’arbitre : chemise, nœud pap’ et pantalon noir. Photo Pascal Perrouin

Désormais arbitre international, le licencié du Boxing-Club Briviste transmet une passion toujours intacte.



Les gants sont soigneusement rangés. Les shorts et chaussures de combat définitivement remisés, la période totalement révolue. « Tout ça, c'est du passé, n'en parlons plus », pose d'emblée l'intéressé qui n'a conservé aucune des photos de cette époque. À 60 ans et depuis plus de 30 ans, Serge Hermosilla a donc troqué sa tenue de boxeur pour les chemises et les nœuds papillons. Changement d'ambiance mais surtout pas de décor. Après 13 ans d'une carrière réussie, le licencié du Boxing-Club briviste s'est extirpé des cordes en 1983 pour désormais occuper le centre du ring.

L'un des quatre arbitres français à pouvoir officier aux Jeux Olympiques

Arbitre international depuis 1998, connu et reconnu dans le milieu du noble art, Serge Hermosilla passe à présent la plupart de son temps à voyager pour diriger des combats. Championnat d'Europe juniors à Sofia, du monde seniors à Zagreb, le Briviste enchaîne les déplacements réguliers depuis près de quatre ans, date de sa retraite dans la vie active. Hier soir encore, il prenait la direction de Sheffield en Angleterre pour diriger une rencontre internationale entre la France et l'Angleterre. « Je suis arrivé à l'arbitrage par hasard. Avec Christian Puydebois, le président du club briviste et ancien DTN de la Fédé, on s'est rendu compte que notre sport manquait cruellement d'arbitre et c'est toujours le cas. J'ai voulu rendre service alors, progressivement, j'ai gravi les échelons », raconte Hermosilla qui, dans les années 70, avec les Hardy, Fogeiro, Alonzo ou Crespy, avait propulsé le BCB parmi les meilleurs clubs de France.


Arbitre stagiaire en 1978, puis régional, interrégional et national, celui qui vit désormais à Turenne a ensuite obtenu le dernier diplôme pour avoir le statut d'arbitre mondial. Classé trois étoiles dans la hiérarchie des arbitres, Serge Hermosilla est l'un des quatre Français à être habilité pour officier lors des Jeux Olympiques auxquels il n'a encore jamais participé. « Quand je vois ce qui s'est passé à Londres, en 2012, avec toutes ces situations plus que litigieuses et polémiques, je ne regrette pas de ne pas y avoir été », explique l'intéressé. Face aux pressions extérieures et au chantage, Serge Hermosilla n'esquive pas. Il encaisse les coups, fatalement. Lucide sur son sport, il constate qu'il y a de plus en plus d'intimidation pour influencer les arbitres. « C'est une triste réalité. Cela nuit à l'image de notre sport. Des regards, des conversations, le combat ne débute désormais plus sur le ring mais en dehors ». Le combat. Voilà bien un mot récurrent dans la vie de ce passionné qui, en parallèle de la boxe, a longtemps joué au rugby. « J'ai commencé le sport avec le rugby jusqu'à 16 ans et puis je me suis tourné vers la boxe un an plus tard grâce aux amis ». De l'école de rugby aux cadets du CAB, Hermosilla a finalement terminé son aventure rugbystique en Promotion d'honneur, à Dampniat.

Le lien entre la boxe et le rugby ? L'uppercut…

« À 40 ans, je commençais quand même à tirer la langue, explique sourire aux lèvres, l'intéressé. Même après la boxe, je continuais à prendre des coups. » Du rugby à la boxe, de la boxe au rugby, n'y aurait-il qu'un pas ? « Les deux sports sont très différents si ce n'est dans l'engagement physique mais sinon, il n'y a que très peu de similitudes ». Vraiment ? « (Silence) Tout bien réfléchi, à l'époque, il y avait bien un point (comprenez poing) où rugby et boxe convergeaient. Les uppercuts se ressemblaient fortement (rires) ». Si l'objectif n'est désormais plus de mettre K.-O. ses adversaires, Serge Hermosilla continue toutefois de sillonner la planète boxe avec un but bien précis. Tordre le cou aux idées préconçues sur la boxe et tenter d'instaurer une politique de formation des arbitres. Un vaste chantier et un nouveau combat pour Serge Hermosilla.

Par Benjamin Pommier - Source : Groupe Centre France