mercredi, janvier 28, 2015

FFF - Tony CHAPRON : L'arbitrage français s'exporte au pays des pharaons...

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , ,


Publié le 28/01/2015 - Tony Chapron va diriger une rencontre de championnat d'Egypte jeudi, le choc entre Al-Ahly et le Zamalek. Cela fait suite à plusieurs plaintes du club champion en titre.

L’arbitrage français va s’exporter, le temps d’un match.

Tony Chapron va en effet se rendre jeudi en Egypte pour diriger une rencontre du Championnat local, a révélé, hier, le site de L’Equipe. Il s’agira du bouillant derby du Caire entre Zamalek et Al-Ahly.

Ce dernier, champion en titre s’étant plaint de nombreuses erreurs d’arbitrages, la fédération égyptienne a donc décidé de faire appel à un arbitre étranger. Grâce à un accord avec la FFF, c’est donc Chapron âgé de 40 ans qui va donc découvrir ce Championnat et représenter la France, en compagnie de ses trois assistants.

S’il s’attire de temps à autres, les foudres de plusieurs supporters dans les stades français, il n’aura cette fois pas l’occasion d’être mis sous pression. En effet, pour des raisons de sécurité, le match se disputera à huis clos.

Source : DIRECT MATIN




mardi, janvier 27, 2015

FIFA - QATAR 2022 : Le Conseil de l'Europe demande à la FIFA de revoter...

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , ,


Publie le 27/01/2015 - Les parlementaires dénoncent «une tentative d'étouffer l'affaire» après les soupçons d'illégalité autour de la désignation du Qatar pour l'organisation du Mondial 2022.

Un rapport du Conseil de l’Europe, adopté mardi, demande à la Fifa de procéder à un nouveau vote pour attribuer l’organisation du Mondial-2022 de football, après la procédure «profondément entachée d’illégalité» emportée par le Qatar. Après des révélations sur cette décision «radicalement viciée», «la Fifa ne saurait se dérober de son obligation de procéder à un nouveau vote», selon ce rapport de la commission de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe.

Les parlementaires y regrettent que l’enquête de la chambre d’instruction du comité d’éthique de la Fifa, qui a mis au jour des «pratiques extrêmement douteuses», n’ait pas été entièrement publiée. Et ils fustigent la «facilité» avec laquelle la Fifa a confirmé la désignation du Qatar malgré cette enquête. Le député travailliste britannique Michael Connarty, rapporteur de ce projet de résolution parlementaire, déplore sans détours une «farce» et «une tentative d’étouffer l’affaire» de la part des instances mondiales du football.

Dans son exposé des motifs, il dit avoir consulté des documents révélés par le Sunday Times, prouvant qu’un membre qatari du Comité exécutif de la Fifa, Mohamed Bin Hammam, avait versé d’importantes sommes d’argent pour s’attirer le soutien de fédérations africaines de football lors de l’attribution du Mondial-2022. «L’affirmation concernant l’absence d’une responsabilité directe du Qatar pour les agissements de M. Bin Hammam ne saurait rendre valide une procédure si profondément entachée d’illégalité», insistent les parlementaires européens.

Une résolution non contraignante

Ils demandent aussi au Qatar, vivement critiqué au sujet des conditions de travail des immigrés employés sur les chantiers du Mondial, «de prendre sans délai toutes les mesures nécessaires pour garantir le respect des droits fondamentaux» de ces migrants. Le texte et la résolution qui l’accompagne doivent être soumis en avril en session plénière à l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe, qui regroupe à Strasbourg plus de 300 parlementaires des 47 États membres du Conseil de l’Europe. Une résolution de cette assemblée n’a pas de valeur contraignante, mais constitue une pression politique.

Depuis l’attribution en 2010 du Mondial-2022 au Qatar, ce pays et la Fifa sont au centre de nombreuses polémiques. Mais le président de la fédération internationale, Joseph Blatter, a prévenu en décembre qu’il «faudrait vraiment qu’il y ait un séisme» pour retirer l’organisation du Mondial au Qatar.

Source : AFP




FFF - NATIONAL - DÉSIGNATIONS ARBITRES - JOURNEE 20 [06/02/2015]

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , ,



FFF - NATIONAL - DÉSIGNATIONS ARBITRES

Journée 20 du 6 février 2015

http://arbitrezvous.blogspot.fr/p/fff-designations-arbitres-ligue-2_27.html


Les désignations de la 20ème journée du CHAMPIONNAT NATIONAL sont connues, vous pouvez en prendre connaissance
en cliquant sur le lien ci-après.....................................................






ASSE / PSG : Ruddy BUQUET aurait rédigé un rapport complémentaire pour la LFP

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , , ,

Publié le 27/01/2015 - Le PSG, aussi, pourrait compter un absent de marque dimanche 8 février pour le choc face à l'Olympique Lyonnais à Gerland. Si Alexandre Lacazette est très incertain pour ce rendez-vous en raison d'une blessure à la cuisse gauche contractée dimanche contre Metz (2-0) à domicile, Zlatan Ibrahimovic pourrait être suspendu suite à son tacle appuyé sur Romain Hamouma dimanche à Saint-Etienne (1-0).



Selon nos informations, l'arbitre de ce match Ruddy Buquet a rédigé un rapport complémentaire qu'étudiera jeudi la commission de discipline de la Ligue de football professionnel (LFP). Averti dans le temps additionnel pour son geste appuyé sur le milieu stéphanois, le Suédois loupera déjà le déplacement à Lille mardi prochain en demi-finale de la coupe de la Ligue pour avoir reçu trois avertissements en dix matchs.

Jeudi les membres de la commission de discipline ont deux possibilités. Soit ils décident de transformer son carton jaune en rouge suite à la lecture du rapport de M. Buquet et au visionnage de l'action de la faute. Dans ce cas, Ibra pourrait écoper de plus d'un match de suspension et ainsi ne pas participer au voyage à Lyon cinq jours après son absence à Lille. Soit ils choisissent de convoquer l'attaquant parisien ultérieurement dans un délai légal de trois semaines et dans ce cas, Ibrahimovic sera présent à Gerland.

Saint-Etienne ne s'est pas manifesté

Dans la course poursuite engagée derrière l'OL par Marseille et Paris, la présence de l'international suédois ne serait pas inutile pour Laurent Blanc et son équipe.

De son côté, Saint-Etienne ne s’est aucunement manifesté auprès de l’arbitre ou de la commission de discipline pour demander une convocation et une éventuelle suspension de la star parisienne. Les dirigeants stéphanois entretiennent de bonnes relations avec leurs homologues parisiens.

Surtout, le club forézien verrait d’un mauvais œil que le PSG soit privé de sa meilleure arme dans dix jours contre Lyon, son rival historique.

Source : LE PARISIEN





ASSE / PSG - Pascal PRAUD agacé par les arbitres qui laissent faire...

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , , ,

Publié le 27/01/2015 - Zlatan Ibrahimovic a été la « vedette » du match entre l’AS Saint-Etienne, dimanche soir à Geoffroy-Guichard, marquant à la fois le précieux penalty de la victoire pour le PSG, mais étant également impliqué dans l’incident avec Romain Hamouma en fin de rencontre. Pour Pascal Praud, même si Ibrahimovic a le droit d’avoir un caractère bien trempé, il est désormais temps que les arbitres prennent aussi leurs responsabilités face au géant suédois, ce qui selon le journaliste d’Itélé n’est clairement pas le cas.

« Si j’étais arbitre de football donc, je ne me laisserais pas marcher sur les pieds comme Ruddy Buquet s’est fait piétiner les siens ce dimanche à Saint-Etienne par Zlatan Ibrahimovic. Il n’est d’ailleurs ni le premier ni le dernier et j’ai le sentiment que les arbitres français sont tétanisés ou qu’ils ont peur de je ne sais quoi, que le géant suédois les impressionne et qu’ils lui passent tout comme certains parents sont débordés par leurs enfants. Au stade Geoffroy Guichard, Ibra n’a cessé de palabrer, d’ergoter, de discutailler avec Monsieur Buquet qui n’a jamais cru utile de sortir le carton jaune. La seule fois où il l’a fait, c’est le rouge qu’on attendait (…)



Que Zlatan Ibrahimovic soit un grand joueur, personne ne le contestera. Qu’il concoure chaque année dans la catégorie du Melon d’Or, cela fait partie des habitudes et de son charme. Après tout, tant mieux. Les footballeurs sont devenus aussi fades que les hamburgers de chez Mac Do et le politiquement correct a tué l’initiative de paroles (…) Je ne suis pas certain que ses partenaires apprécient sa mauvaise humeur, ni de se faire engueuler chaque fois qu’ils ne réussissent pas le bon appel ou qu’ils oublient – crime de lèse-majesté – de transmettre le ballon à son excellence », écrit, sur son blog, Pascal Praud, agacé de l’attitude de Zlatan Ibrahimovic et aussi de ceux qui le laissent faire.

Source : FOOT01

NOTE DE LA RÉDACTION : Comme d'habitude Pascal PRAUD réagit après tout le monde (l'âge sans doute), et le voilà maintenant qu'il veut prendre la place de l'arbitre, pour montrer au monde entier comme pour lui, il est facile de se faire insulter, de se faire bousculer, et de se faire houspiller et de réagir en expulsant les fautifs.
Mais ça, Monsieur PRAUD vous le faites déjà depuis de nombreuses années, avec votre micro et avec votre plume, Vous vous posez en arbitre de "vos idées", et vous dénaturez systématiquement la plupart des décisions des collègues de LIGUE 1, en ne prenant que très rarement le parti de ces derniers en saluant par exemple, leur sens de la pédagogie, leur manière de laisser vivre le jeu ou leur condition physique irréprochable. Mais ce n'est pas grave, les arbitres vous remercient de votre intervention. Elle montre à quel point un monde nous sépare, et que la situation qui consiste à la contestation permanente ne vient pas des arbitres, mais du football lui même, qui a copié depuis une quinzaine d'année, le système sociétal dans lequel nous vivons, qui refuse toute sorte de jugement, d'autorité et de sentence. Permettez nous, donc à notre tout d'être agacé par quelqu'un qui ne s'attaque pas directement à la source du problème et blâme les hommes et femmes chargés de faire appliquer les lois du jeu.






HANDBALL - Julie BONAVENTURA : « On suit ce que l’IHF nous transmet »

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , ,

Publié le 27/01/2015 - Acteurs si peu évoqués et pourtant incontournables, VoxStadium a choisi de mettre en avant ceux qui sont responsables de la bonne tenue du jeu : les arbitres. Formation, différences entre le niveau national et international, place des femmes dans le handball sont les différentes problématiques de notre rencontre avec Julie Bonaventura. Une interview qui arrive au cœur d’un début d’année étonnamment mouvementé pour le corps arbitral.

En effet, s’il y a bien une catégorie d’acteurs du handball qui a commencé l’année 2015 sans round d’observation, c’est celle des arbitres. Tout d’abord avec la sortie inattendue du bureau directeur de la fédération sur un avis favorable pour la professionnalisation des arbitres en France. Cette mesure est accompagnée du recrutement annoncé d’un manager pour les arbitres retenus comme étant de l’élite française.

Ensuite, l’application des nouvelles directives au mondial 2015 au Qatar fait grand bruit. Un arbitrage jugé trop dur, faisant la part belle au « flopping », un terme que l’on pensait réservé aux basketteurs. Interrogée avant le mondial justement sur ces nouvelles règles et après un Euro féminin réussit en décembre, Julie Bonaventura apporte des éléments de réponse.

Vox Stadium : Bonjour, pourrais-tu te présenter rapidement à ceux et celles qui ne te connaissent pas ?

Julie Bonaventura : Je m’appelle Julie Bonaventura, 34 ans et arbitre internationale et pour la D1 française avec ma sœur Charlotte.

VS : Vous sortez d’une nouvelle compétition internationale avec l’Euro 2014 féminin. Quelles ont été vos impressions sur l’ambiance, le niveau global de la compétition ?

J. B. : Pour notre part, on a eu de la chance de tomber sur deux groupes A et B de la Roumanie et ses cars de supporters, et à Györ pour la Hongrie où c’était plein ! Puis ensuite la Hongrie à Debrecen avec les supporters locaux… C’est pas mal !
Pour le niveau, les poules étaient pour notre part assez homogènes entre le Danemark, la Hongrie, l’Espagne… Certaines équipes comme la Serbie ou le Monténégro ont déçu en comparaison de ce que l’on attendait, et comme on se trouve entre deux J.O., le niveau est relativement faible entre les différents renouvellements d’équipes. Ça travaille fort en vue de 2016, et quand on regarde les Pays-Bas ou même la France tout simplement, on sent que ça avance.

VS : Cependant même si vous avez – logiquement – arbitré la finale à l’Euro 2014 après la finale du premier Final4 féminin, on vous laisse peu aller sur les compétitions internationales masculines alors que vous arbitrez en LNH. Une raison ?

J. B. : Pour être franche, la seule raison c’est que ça reste un univers assez macho. Des binômes féminins sur des féminins, ok. Mais des binômes féminins sur des masculins, ça reste compliqué, les instances sont assez frileuses. On a quand même eu un test pendant les J.O., une grande première en international avec des garçons, probablement pour nous tester… Et je pense que cela a été plutôt concluant.

VS : De manière générale, la France est bien représentée chez les arbitres. Après le duo de choc Lazaar et Reveret, Dentz et Reibel sont allés au final4 de Cologne et Reveret avec Pichon va retrouver un mondial. Des raisons à ce succès français ?

J.B. : Je ne sais pas s’il y a une recette miracle, mais c’est clair que la formation fonctionne. Je pense que ça vient du fait qu’à toutes les échelles, on est observés, et en premier lieu sur notre passion qui est un moteur essentiel. Ensuite, la progression se fait sans brûler les étapes, sur un système de paliers où on valide notre niveau.
On a également la chance d’avoir un niveau de jeu en France qui augmente sans cesse ces dernières années. Aussi bien en LNH que chez les filles où le championnat attire de nombreuses joueuses renommées, ce qui nous permet de suivre le niveau en travaillant et progressant également.

VS : Il y a-t-il beaucoup de différences entre un arbitrage national ou international ? Les demandes sont-elles différentes entre les ligues nationales ou l’EHF et l’IHF ?

J.B. : Non. On suit les directives que l’IHF nous transmet. Il n’y a rien de particulier (rire). Parfois, l’IHF fait des demandes précises. Par exemple pour le Qatar, ils ont demandé à être plus stricts sur les poussettes en l’air, et gare à celui qui ne l’applique pas ! En France, on reprend ces directives dès le début de saison, on arbitre de la même façon.
On essaie de ne pas varier également entre filles-garçons. Il faut arbitrer de la même manière, avec sérieux et application. Si on commence à se dire que là pour les filles on fait comme ça, et pour les garçons non… On perd en crédibilité, et performance.

VS : Au niveau de la rémunération, les arbitres de handball sont réputés pour n’avoir qu’une professionnalisation et rémunération limitées qu’en est-il de ce côté-là ? Les promesses après les différents scandales ont-elles été tenues ?

J.B. : En vérité, le sujet s’est imposé de lui-même quand BeIn Sport a décidé de programmer les matches en semaine. Cela nous oblige à prendre une journée de congé en semaine, ce qui même avec des employeurs conciliants est difficile ! La sonnette d’alarme a été tirée à la rentrée pour gérer ce problème. C’est encore plus problématique avec les internationaux, à qui on demande de prendre 2-3 semaines de congés à chaque compétition, en plus. À l’heure d’aujourd’hui, où ça en est… Je n’en ai aucune idée ! J’ai appris les nouvelles comme tout le monde, peut-être un sujet qui sera évoqué à la rentrée.
C’est un peu la patate chaude : qui paye ? Les clubs, la ligue ou la fédération ? La LNH et la fédération semblent avoir pris la mesure de l’urgence, des risques qu’il pouvait y avoir. Et ça, encore, j’ai aucune bille pour l’avancer.

VS : S’il fallait retenir un match particulier dans votre carrière ?

J.B. : Pas un seul match en particulier, mais plutôt une compétition avec les J.O. de Londres. C’était tellement énorme, je souhaite que chacun puisse en vivre un de l’intérieur. On profite, c’est une grande fête où tous les sports sont accessibles. Particulièrement avec la cérémonie d’ouverture, là on était pas derrière la télévision, on était dedans. Cette compétition fut un rêve éveillé du début à la fin.

VS : Dernière question, comment différencier Julie de Charlotte à coup sûr ?

J.B. : Parfois sur les photos on se trompe nous-mêmes, on recherche un indice ! Petite astuce : on a pas le micro du même côté. Moi, à droite et Charlotte à gauche… Enfin, je crois (rire).

Source : VOXSTADIUM




ASSE / PSG - Bruno DERRIEN : "Pas de Line Technology sur l'épaule"

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , ,

Publié le 27/01/2015 - Chaque semaine, notre consultant Bruno Derrien évoque les faits d'arbitrage qui ont marqué le week-end. L'ancien arbitre international revient évidemment sur la polémique entourant la victoire du PSG à Saint-Etienne (0-1), dimanche soir.

"Concernant le penalty, il y a deux aspects à prendre en compte. M. Ruddy Buquet est extrêmement bien placé. Il voit bien le geste de Jérémy Clément. Le mouvement du joueur le pousse à arrêter le jeu et désigner le point de réparation. Après, toute la difficulté est sur la définition du point de contact. Je pense que c’est le haut du bras, donc cela peut être sanctionné.

On ne va pas faire le procès de l’arbitre sur ce penalty. Devant notre télévision, on a besoin d’une dizaine de ralentis pour se prononcer. Et encore… L’arbitre, sur le moment, doit prendre une décision cohérente. Hier (dimanche), elle n’a rien d’illogique. De toute manière, les décisions seront toujours subjectives, il y a toujours une interprétation.

Selon les lois du jeu, "il y a main lorsqu’il y a contact délibéré entre le ballon et la main ou le bras". Le haut du bras, ce n’est pas l’épaule, mais cela se joue à quelques millimètres. L’arbitre doit prendre une décision et on ne va pas mettre en place une line technology sur l’épaule !

Christophe Galtier a demandé des explications. L’arbitre a fait le déplacement pour lui expliquer. C’est très bien de faire preuve de pédagogie, sans que cela ne devienne une conférence de presse en plein match. L’arbitre doit dépassionner le climat, calmement, et M. Buquet l’a très bien fait.

Quant à la faute d’Ibrahimovic dans le temps additionnel, cela aurait pu être un carton rouge. L’arbitre assistant était bien placé mais n’a pas influencé sur la décision de M. Buquet. L’attaquant parisien manque de maîtrise et inflige un coup à son adversaire à hauteur du genou. Cela se déroule à la 93e minute, mais l’arbitre ne doit évidemment pas prendre en compte le moment de la partie.

Malgré tout, je n’imagine pas un arbitre protéger tel ou tel joueur. Ibrahimovic a déjà été exclu pour un geste de brutalité quand il a percuté Stéphane Ruffier (en novembre 2012, contre Saint-Etienne, mais au Parc des Princes, NDLR)."
 
Source : SPORTS.fr




lundi, janvier 26, 2015

IHF - Laurent REVERET & Stevann PICHON : Un au revoir, mais pas un adieu !!

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , ,

Publié le 26/01/2015 - L'Entretien du Lundi - Stévann Pichon / Laurent Réveret.

Au moment de publier cet article, nous apprenons que Laurent et Stevann ont effectué aujourd'hui leur dernier match de la compétition. En effet, l'équipe de France s'étant qualifié pour les 1/4 de finale, les responsables de l'Arbitrage IHF ont décidé de renvoyer en France, nos deux représentants. Nous déplorons bien évidemment cette décision, au regard qu'il y avait tout de même une place pour eux en 1/4, voir pour un match de classement... Mais, ils sont bons joueurs, et prennent ça avec le sourire (nous et les fans, moins forcement). En tout cas nous tenions à les remercier d'avoir si bien défendu nos couleurs (celle de l'arbitrage français) pendant la compétition, et nous les attendons pour de nouvelles aventures en Championnat de France, en Champions League et bien sûr pour les JO 2016 à RIO ... pays du Football, qui pour un temps sera celui du Handball !!
Merci Laurent et Merci Stevann de faire briller si haut l'arbitrage "Made in France".

Ils représentent la France, portent un short et un maillot, et foulent les terrains du Mondial 2015. Pourtant ils ne font pas partie de la sélection retenue par Claude ONESTA. Stévann PICHON (37 ans, directeur administratif de la Ligue des Pays de la Loire) et Laurent REVERET (38 ans, chargé de mission du développement de l'arbitrage à la FFHB), forment la paire arbitrale française retenue pour ce Mondial 2015. À Doha, ils ont déjà sifflé quatre matches et ils évoquent leur rôle, souvent d’une seule voix.

Comment vous préparez-vous à siffler un match ?

Stévann : On part toujours de l’hôtel deux avant le match en vue d’arriver dans la salle 90 minutes avant le coup d’envoi. On regarde la fin de la 1e mi-temps du match précédent et on enchaîne par un petit café. Notre préparation débute une heure avant le match. On se met en tenue et on discute ensemble du match et des axes de travail pendant un petit quart d’heure.

Laurent : Ensuite on s’échauffe pendant une trentaine de minutes puis on s’équipe avec notre matériel, notamment le kit oreillettes. À H-10, on rentre dans notre match.


Être un duo arbitral français c’est voir très souvent les portes de la finale se fermer ? Est-ce frustrant ?

Laurent : Je l’ai vécu avec Nordine LAZAAR (ensemble ils ont arbitré aux J.O. de Londres, sur 2 Mondiaux et 2 Euros). Lors du Mondial 2009 en Croatie nous avions été désignés pour arbitrer la finale mais cela dépendait du résultat de la demie entre la France et le Danemark. La France s’est qualifiée pour la finale et on a arbitré la petite finale. Le sentiment du devoir accompli et la reconnaissance des instances permettent de faire passer la déception. On se mue ensuite en supporter. Le plus important c’est la performance de l’équipe de France, c’est la vitrine du handball dans notre pays.

Stévann : Je rejoins Laurent c’est un sentiment de déception sur le coup. Mais si on veut que le handball français poursuive son développement, cela passe par une équipe nationale performante.


Arbitrer ensemble implique t-il des liens d’amitié ?


Stévann : La complicité entre les deux est une condition indispensable. Nous arbitrons 50 à 60 matches par an. Avec les déplacements, cela représente de passer un tiers de l’année ensemble. On ne peut pas s’engueuler ou faire semblant.

Laurent : Oui bien sûr nous sommes amis. J’avais aussi une relation très saine avec Nordine LAZAAR. C’était comme un demi-frère car nous avions commencé le hand ensemble tout gamin.


Comment fait-on pour évacuer une décision sur laquelle vous avez un doute, voire conscience de votre erreur ?

Stévann : Il faut immédiatement évacuer ce doute. La décision est prise et ne peut être changée. Contrairement à un joueur, on ne peut pas sortir du terrain et se faire remplacer. Le match parfait n‘existe pas.

Laurent : À l’image des joueurs qui peuvent réaliser des trucs fantastiques, ils manquent aussi des tirs.


Et lorsque l’on devient la cible du public ?

Laurent : Ce ne sont pas les mêmes comportements que dans le football. Mais pour en avoir discuté avec des collègues du football, ils se trouvent plutôt loin du public. Dans une salle de 15 000 personnes, dans une ambiance confinée, nous sommes parfois tout près des spectateurs que l’on peut très bien entendre…


Parlez-nous de cette nouveauté : le but ou pas but et l’assistance vidéo mis en place sur ce Mondial ?

Stévann : C’est nouveau et on peut en effet solliciter le superviseur, par l’oreillette, pour vérifier si le ballon est bien rentré. La réponse tombe très rapidement et on reste en place sur le terrain.

Laurent : Le superviseur ne peut pas inverser une décision. En fait, outre le but ou pas but, il y a seulement deux cas où il peut intervenir. En cas de carton rouge qui entraine une disqualification directe (règle 8.5) s’il y a une erreur sur le joueur. L’autre situation concerne les gestes et comportements antisportifs (8.6b) qui n’ont pas pu être visibles techniquement par les arbitres.


L’arbitrage de ce Mondial apparait plus sévère avec notamment des nombreuses exclusions. Avez-vous reçu des consignes particulières lors du stage qui a précédé ce Mondial ?

Laurent : Le règlement n’a pas changé, c’est son application qui diffère avec une sévérité accrue sur les fautes à l’aile et sur le pivot. Les poussettes, les petits trucages et les tirages de maillot se sont un peu banalisés et on ne sifflait pas forcément. Évidemment c’est négatif pour la qualité du jeu. Dans la zone du pivot ce n’est pas simple car il est lui aussi capable de commettre des fautes sur le défenseur. Souvent, au début du match le défenseur prend le dessus et l’attaquant qui se fait remuer, réagit…


À l’instar des joueurs, vous effectuez un travail vidéo quotidien…

Stévann : Tous les arbitres sont réunis dans le même hôtel et en effet nous avons chaque jour de 09h à 11h un suivi vidéo sur les prestations de la veille. Tout est débriefé sous l’œil du président de la commission des arbitres de l’IHF, Manfred PRAUSE. Sur chaque match, nous sommes suivis par un délégué qui nous fait un retour sur notre match. Il y a beaucoup de points négatifs qui sont relevés mais aussi des situations bien gérées.

Laurent : Il faut être capables d’endosser les erreurs relevées devant tout le monde.


Cette application plus rigoureuse du règlement sportif avec l’IHF sera t-elle déclinée en championnat de France ?

Laurent : S’il y a une validation en ce sens de la Commission Centrale d’Arbitrage de la FFHB, on mettra en place cet arbitrage plus sévère.

Stévann : C’est une situation compliquée car nous sommes observables par l’IHF sur tous les matches que nous sifflons. On doit appliquer le règlement à partir des préconisations de l’IHF.


Selon vous, un match bien arbitré, c’est…

Stévann : Voir la satisfaction des deux équipes à la fin du match. On reçoit alors des petites tapes amicales ou des mots aimables. À contrario si elles nous sautent dessus… Mais nous sommes capables de faire tout de suite notre autocritique.


Quel type de rapport entretenez-nous avec les joueurs ?

Laurent : On entretient de bonnes relations mais on est là pour les  protéger mais aussi pour les contraindre. Il y a tout de même la reconnaissance de la compétence. Voilà, je dirai que nous sommes collègues mais dans des services différents.


Ce Mondial délivrera un billet pour les J.O. de Rio. Et pour le corps arbitral ?

Laurent : C’est le dernier Mondial avant les J.O. et, avec l’Euro l’année prochaine, c’est en effet un événement majeur qui comptera pour les désignations.

Stévann : C’est la compétition rêvée de tout athlète de participer aux J.O. Pour nous aussi bien sûr mais la sélection est très rude avec seulement 16 paires retenues pour le handball aux J.O.

Source : experts-handball.com






FFF/LFP - LIGUE 2 - DÉSIGNATIONS ARBITRES - JOURNÉE 23 [06-07-09/02/2015]

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , ,



FFF/LFP - LIGUE 2 - DÉSIGNATIONS ARBITRES

Journée 23 du 6-7-9 février 2015

http://arbitrezvous.blogspot.fr/p/fff-designations-arbitres-ligue-2_27.html
Les désignations de la 23ème journée de LIGUE 2 sont connues, vous pouvez en prendre connaissance
en cliquant sur le lien ci-après



Les désignations de la 23ème journée de LIGUE 2 sont connues, vous pouvez en prendre connaissance
en cliquant sur le lien ci-après

FFF/LFP - LIGUE 1 - DÉSIGNATIONS ARBITRES - JOURNÉE 24 [06-07-08/02/2015]

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , ,


FFF/LFP - DÉSIGNATIONS ARBITRES - LIGUE 1 - Journée 24 - 6-7-8/02/2015 - La désignation des Arbitres pour la 24ème journée de LIGUE 1 est connue. Vous pouvez en prendre connaissance en cliquant sur le lien ci-après

LIGUE 1 - DÉSIGNATIONS ARBITRES

Journée 24 du 6-7-8 février 2015

http://arbitrezvous.blogspot.fr/p/fff-designations-arbitres-ligue-1_27.html







LIGUE 1 - ASSE / PARIS SG : La semelle d'Ibrahimovic méritait mieux qu'un jaune.

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , ,

Publié le 26/01/2015 - Avant de lire l'article, nous voudrions signaler à l'ensemble de nos lecteurs, que l'arbitre ne dispose pas de TV, ni de ralentis et que donc, il a décidé en son âme et conscience. Merci d'avance.

Auteur d'une méchante faute sur Romain Hamouma en fin de match, Zlatan Ibrahimovic n'a reçu qu'un carton jaune.

Zlatan est dans les bons coups mais aussi les mauvais. Ce dimanche lors de la 22e journée de championnat, le géant suédois a permis au Paris Saint-Germain de vaincre Saint-Etienne (1-0) en marquant sur penalty. Au cours d'une rencontre peu emballante, Ibrahimovic s'est également fait remarquer pour avoir commis une faute grossière sur Romain Hamouma en toute fin de rencontre (93e).

L'ancien buteur du Milan AC a alors écopé d'un carton jaune pour une semelle sur le milieu de terrain stéphanois. Pour Bruno Derrien, ancien arbitre international, Zlatan l'a échappé belle. «Le geste d'Ibrahimovic sur Hamouma méritait une sanction plus sévère qu'un carton jaune, Zlatan arrive très en retard et il met clairement une semelle sur le tibia du Stéphanois», explique-t-il dans le journal L'Equipe.


Lors du huitième de finale de Ligue des Champions contre Valence en 2013, Zlatan Ibrahimovic avait été expulsé pour avoir mis une semelle au Mexicain Andrés Guardado.



Source : LE FIGARO






ITALIE - LAZIO / MILAN AC : Interview de Bruno DERRIEN sur la nervosité chronique...

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , ,

Publié le 26/01/2015 - Nervosité des joueurs de foot : pour l'ancien arbitre Bruno Derrien, "il y a deux écoles"

Les incidents et les expulsions de Mexès et Ronaldo vous ont-ils surpris ?

Je suis toujours un peu surpris de voir des gens qui n'arrivent pas à se maîtriser. Il faut voir la genèse parce qu'il y a souvent une provocation au départ de leurs adversaires directs. Mais venant de joueurs de ce calibre, on est surpris de leurs réactions. Celle de Mexès est impressionnante. Il s'est excusé mais c'est assez surprenant. Mais c'est vrai que les joueurs comme Ronaldo font souvent l'objet d'un marquage très serré et, à un moment donné, en ont assez de prendre des coups et dérapent un peu. Les deux hommes vont être sanctionnés mais j'imagine que Mexès prendra plus que Ronaldo.

Quand on est arbitre j'imagine que l'on n'apprécie pas avoir à juger ce type d'incidents ?

Non, bien entendu, mais quand c'est tellement limpide, quand ça part en live comme ça, personne ne conteste la décision de mettre un carton rouge. C'est tellement clair et net. Le rouge se conteste quand c'est moins évident. Y a-t-il contact, pas contact… Quand ça part comme ça, c'est tellement puissant que ça calme tout le monde.

Ce type d'incident peut dégénérer. Comment gère-t-on cela quand on est arbitre ?

Là, il y a eu une échauffourée. En général, les partenaires viennent des deux côtés pour calmer les joueurs impliqués. On l'a vu avec Mexès, ses coéquipiers sont venus le retenir. On voit bien que Cana, le joueur de la Lazio essaie de calmer. Dans ces cas-là, ou tout le monde se calme ou ça part en vrille.

Philippe Mexès a été retenu par ses coéquipiers, ce qui ne l'a pas empêché de s'en prendre physiquement à Mauri puis à Cana (AFP)

L'arbitre doit être fort dans ces cas-là…

Il ne faut surtout pas entrer dans la mêlée, parce que vous risquez de prendre un coup ! Il faut prendre du recul. Soit vous anticipez tout de suite, parce que vous êtes à côté, vous sentez que ça monte, vous vous mettez entre les deux. Quand ça vous échappe, il faut surtout prendre un peu de recul. Et quand ça se termine, vous appelez les protagonistes et vous sortez rouge et rouge. Les deux premiers qui ont enchaîné les coups, c'est dehors. On ne cherche pas à comprendre…

Comment arbitre-t-on des matches à haute tension comme PSG - OM ?

Ça n'est plus à haute tension, cela s'est pas mal calmé. On verra au match retour mais ces matches-là n'ont plus rien à voir avec ce qu'ils étaient il y a vingt ans, au niveau de l'engagement physique. Les joueurs se respectent davantage. Avant, tous ces matches étaient scénarisés, on faisait monter la mayonnaise, les joueurs faisaient des déclarations. Maintenant, c'est terminé. Les joueurs se respectent. Au match aller, il ne s'est pas passé grand-chose et pourtant, M. Turpin a mis un carton un peu rapide à Imbula.

Le risque n'est-il pas là, de sortir trop vite un carton rouge ?

C'est toujours compliqué à sentir. Si vous ne sortez pas vos cartons tout de suite, le contrôle du match peut vous échapper. Les joueurs, tant qu'ils ne prennent pas de carton, ne se calment pas. En fait, il y a deux écoles. Ou vous sortez vos cartons tout de suite pour asseoir votre autorité, clamer les erreurs. Si les joueurs ne comprennent pas, alors vous changer de couleur. Il y a une école plus permissive où l'on se dit  "je vais gérer, je vais aborder les choses de façon de psychologique, parler aux joueurs, dépassionner le débat". Ça peut marcher mais pas à tous les coups. Il n'y a pas de solution miracle. Ça dépend de la personnalité de l'arbitre. Ou il est pris par la répression, ou il est dans le dialogue. Regardez le match de la CAN entre l'Algérie et le Ghana, M. Coulibaly a mis un peu de temps à sortir ses cartons et c'est parti un peu en live.

Certains arbitres, comme M. Ennjimi s'efforcent de ne pas sortir de rouges ou en dernier recours. N'est-ce pas préjudiciable ?

A Bastia, il a bien fait. Cahuzac commet une grosse faute. On peut calmer mais à un moment donné, les joueurs ne comprennent que la sanction. Après, il y a des arbitres qui cartonnent à tout va. Turpin, il y a deux-trois ans, avait sorti je ne sais plus combien de cartons. Après une faute n'égale pas un carton. Le problème est que si vous appliquez les lois du jeu à la lettre, aucun match ne peut se terminer. Il y a toujours deux écoles, entre ceux qui se pensent assez forts pour ne pas sortir de cartons et ceux sanctionnent tous ceux qui se comportent mal.

Un arbitre sent-il tout de suite la nervosité éventuelle d'un match ?

Oui, on le sent tout de suite, aux premiers accrochages. Les joueurs se provoquent, etc… On sent tout de suite si ça peut partir en vrille ou pas… Parce qu'il y a des contentieux entre joueurs, des déclarations à la presse. Mais ça fait partie de la préparation d'un match que de savoir ça.

Est-ce que l'on voit si un joueur n'est pas dans son état normal ?

Oui, on voit assez facilement ceux qui sont plus nerveux que les autres. Vous savez, lorsque des joueurs, comme Cyril Rool, sont connus pour leur susceptibilité, les équipes adverses établissent des stratégies de jeu pour leur faire perdre leurs moyens. Je me souviens lors d'un Sedan – Nice en huitième de finale de la Coupe de la Ligue. J'ai réussi ce jour là à le calmer, en positivant son jeu, en lui disant de rester calme, de ne pas répondre aux provocations. A la fin du match, il est venu me voir pour me remercier et m'a offert son maillot. Je ne lui avais pourtant rien demandé. Je n'ai jamais considéré l'arbitrage comme une sanction obligatoire. J'ai toujours essayé de parler, prévenir, anticiper, éviter.

Mais un arbitre ne peut-il pas être influencé par la réputation d'un joueur ?

Il ne devrait pas. Après les arbitres restent des hommes. Mais on doit arbitrer tout le monde de la même manière. Ce n'est pas facile quand un arbitre est petit, qu'il doit faire face à un joueur grand et costaud et pourtant, il ne devrait pas se laisser impressionner.

Source : SUDOUEST








IHF - QATAR 2015 - DÉSIGNATIONS ARBITRES - 1/8èmes de Finale - 26/01/2015

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , ,

Publié le 25/01/2015 - Les désignations pour les quatre derniers huitièmes de finale sont connues. Stevann et Laurent arbitreront le derby scandinave entre le Danemark et l'Islande. Match important pour les deux équipes au jeu bien structuré et qui se connaissent bien... mais nos deux arbitres les connaissent eux aussi, on ne va pas leur faire !! Tous nos vœux les accompagne !!








TOUTES LES DÉSIGNATIONS

du 26 janvier 2015


http://arbitrezvous.blogspot.fr/p/sans-titre-29_25.html





LIGUE 1 - ASSE / PSG : Ils font un métier dont ils ne connaissent même pas les règles !!

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , ,


Publié le 26/01/2015 - Défaite sur un penalty qui a fait débat dans les coursives de Geoffroy-Guichard, l'ASSE avait du mal a avaler ce fait de jeu déterminant à l'issue du match.

Battue 1-0 à Geoffroy-Guichard comme il y a deux semaines en Coupe de la Ligue, l’AS Saint-Étienne s’est cette fois inclinée sur un penalty transformé par Zlatan Ibrahimovic en seconde période. De quoi laisser plus que des regrets aux Stéphanois qui ont ouvertement remis en cause l’arbitrage de Ruddy Buquet, à commencer par le principal intéressé, Jérémy Clément : « Moi je suis persuadé de mettre l’épaule. Pour moi l’épaule ça ne fait pas partie de la main. Je n’ai pas revu les images mais je suis persuadé d’avoir mis l’épaule. Après il prend une décision mais je suis persuadé que l’épaule n’est pas une main, sinon j’aurais laissé passer le ballon. C’est rageant. C’est un fait de jeu, malheureusement il est contre nous. C’est un tournant du match. »

Christophe Galtier n’a guère été plus tendre avec l’homme en noir qu’il a lui aussi directement mis en cause : « J’ai dit à monsieur l’arbitre ce que j’avais à lui dire après que le penalty soit tiré. L’arbitre a très peu de temps pour prendre une décision. Là il en a prend un peu parce que le penalty a été sifflé deux secondes après, donc il a eu le temps de prendre sa décision, d’analyser la situation. Il a opté pour le penalty, on ne peut pas y revenir. C’est comme ça », a-t-il regretté, fataliste, après la fin de la rencontre.

Le coup de grâce est venue de Fabien Lemoine qui a quant à lui employé des mots plus forts : « Il y a quelque chose qui a fait basculer le match, et ce soir ce sont des décisions qui ne sont pas en notre faveur. Ça a été compliqué tout au long du match avec monsieur l’arbitre. Ça se finit comme ça. Il a offert un cadeau au Paris Saint-Germain. Tant mieux pour le PSG. [...] Bien sûr que c’est un cadeau. Beaucoup de gens ont revu les images et tout le monde dit que c’est épaule. Apparemment certains arbitres disent que épaule c’est main et d’autres pas. Il faut s’accorder sur le règlement. On est vraiment énervé quand on sort de ce genre de matches. » Le moins que l’on puisse dire, c’est que l’ASSE ne digère pas.

Source : FOOT MERCATO





CAN 2015 - GABON : Les jérémiades d'un joueur déçu atteint de GAGNITOSE !!

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , ,

Publié le 26/01/2015 - C’est avec une grande déception que Pierre-Emérick Aubameyang s’est présenté en zone mixte après l’élimination du Gabon de la CAN 2015. L’attaquant de Dortmund s’est tout de suite expliqué sur les conditions de la défaite de son équipe. Et a notamment pointé du doigt l’arbitrage.

« Ce penalty nous a tués. Ce n’est pas la première fois qu’on a cet arbitre et qu’il nous joue des tours, c’est vraiment chiant parce qu’à ce niveau de la compétition, on ne peut pas se permettre de faire des erreurs comme ça dans l’arbitrage. Ca nous a vraiment coupés dans l’élan. S’ils ne marquent pas ce penalty, ils n’auraient pas eu la chance de marquer un but. On est obligés de faire avec, mais il faut que les gens sachent que ce n’est pas juste« , a déclaré Aubameyang.

C’est l’Ivoirien Doue Noumandiez qui a dirigé la rencontre.

NOTE DE LA RÉDACTION : Comment la Presse peut-elle donner un écho à ce genre de déclarations de fin de match. Aucune justification, aucune explication digne de ce nom, simplement les jérémiades habituelles d'un joueur déçu d'avoir perdu, qui cherche ses mots et qui à même le culot de faire appel au passé pour décrédibiliser l'arbitre. Nous aussi, on a vu les images, et bien cher Monsieur AUBAMEYANG, à 99,99 % l'ensemble des arbitres sifflent un Pénalty sur cette action... alors après que vous ne soyez pas d'accord et que vous essayiez de faire passer l'arbitre ivoirien pour un voleur, c'est votre affaire, mais il faudrait peut-être raison garder... Le football c'est comme ça, à la fin il faut un gagnant et un perdant ! Mais non, j'oubliais vous aussi avez attrapés la maladie des footballeurs professionnels : "LA GAGNITOSE".... Vous savez cette maladie qui ronge les joueurs et les entraineurs de LIGUE 1 depuis déjà un certain temps. C'est quoi la GAGNITOSE... c'est simple et ça tient en une phrase : "Soit je gagne, soit je t'explose" !!...