mardi, avril 14, 2015

BASKET-BALL : Maxime Boubert, 22 ans et arbitre en PRO B...

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , ,


Publié le 14/04/2015 - Ses coups de sifflet sont à la fois attendus et redoutés. Sur le parquet, ses décisions sont fondamentales. Une grosse pression repose sur ses épaules. Maxime Boubert la gère. A seulement 22 ans, cet habitant de Bezons fait partie des meilleurs arbitres de France.

« Nous sommes 80 à être au plus haut niveau, je suis un des plus jeunes », indique-t-il. Cette année et pour la première fois, il arbitre des matchs de Pro B. C'est la deuxième division du basket professionnel en France. « C'est énorme », réagit-il.

Maxime Boubert nous parle de sa passion pour l'arbitrage alors qu'on le retrouve au club de basket de Bezons, où il travaille comme éducateur sportif. « J'entraîne des petits de 6 à 11 ans », précise-t-il. Derrière lui, des rangées de ballons orange sont installées.

A 6 ans, quand il commence ce sport, il ne s'imagine pas dans l'arbitrage. Mais, à 13 ans, les entraîneurs de son club de Saint-Leu l'orientent dans ce domaine. « J'étais un bon joueur, mais je râlais tout le temps après l'arbitre. Je critiquais toujours leurs décisions », se souvient-il. Quand il enfile le sifflet autour du cou pour la première fois, ce fan de Michael Jordan se prend au jeu. Ce qu'il aime ? « Avoir des responsabilités et diriger sans être autoritaire », détaille le jeune homme.

A seulement 15 ans, alors qu'il arbitre « juste pour le plaisir », on lui propose de le faire pour des matchs de Nationale 3. « Je l'ai fait jusqu'à 18 ans. A 19 ans, je me suis retrouvé en N 2 et à 22 ans en N 1. » L'ascension est fulgurante. Maxime prend alors conscience de son potentiel. « Je ne travaillais pas et pourtant je me suis retrouvé très vite au haut niveau. » Et là, surprise, lorsqu'il reçoit un coup de fil de la ligue. « C'était le 20 décembre, se souvient-il tout sourire. On m'a demandé d'arbitrer trois matchs en Pro B. Ça m'a boosté ! » Le premier se passe à Fos-sur-mer (Bouches-du-Rhône). « C'était contre Le Portel. J'étais tellement stressé..., confie Maxime. Et puis quelques minutes avant le match, au moment de la présentation des joueurs, la salle a été plongée dans le noir. Et là je me suis dit : c'est bon, profite ! ». Mais les meilleures sensations viendront lors de son deuxième match de Pro B, à Lille, en mars dernier. « Je me suis amusé, j'ai pris beaucoup de plaisir ». Bientôt, il arbitrera son troisième match à ce niveau. A chaque fois, Maxime s'impose la même rigueur. Toutes les rencontres comptent, il ne veut pas faire de différence. « Avant chaque match je me prépare physiquement, il faut être opérationnel pendant les quarante minutes de jeu, insiste-t-il. Il y a aussi un travail sur l'arbitrage en lui-même, et sur le mental. »

Les qualités requises ? « Échanger, écouter, partager et savoir se remettre en cause », résume-t-il. Ses valeurs, Maxime les communique aux petits qu'il entraîne. Il donne aussi des formations. « L'arbitrage, ce n'est pas toujours bien vu, ça souffre même d'une mauvaise image », concède-t-il. Peu importe, Maxime y va à fond. Et il se verrait bien devenir arbitre international. « Avant c'était un rêve, maintenant c'est un objectif ! »

Source : LE PARISIEN




CFA - PLABENNEC / CONCARNEAU : Le match ne sera pas à rejouer...

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , , ,

Publié le 14/04/2015 - La Commission d’Appel de la FFF a déjugé aujourd’hui sa devancière qui avait donné Plabennec – Concarneau à rejouer.

Il n’y aura pas de « replay » samedi et les Concarnois conservent les quatre points de leur victoire initiale (1-2).

On ne comprend plus grand chose aux atermoiements de la FFF dans le dossier Plabennec – Concarneau, alors, il va être plus simple de revenir sur les faits : le 14 février, on joue la 56e minute du derby finistérien (18ème journée). Plabennec mène 1-0 et Concarneau égalise dans la confusion : Steven Coat propulse la balle dans ses propres filets mais un attroupement se forme autour de Nicolas Jouffrey, l’arbitre de la rencontre, car, sur les conseils de Gwen Servais, le capitaine plabennecois pose une réserve, ses paroles sont retranscrites sur la feuille de match : « Vous sifflez pendant l’action, on s’arrête finalement après le coup de sifflet, le ballon finit sa course dans les filets. À la surprise générale, vous acceptez le but. »

Jeudi 19 mars, un mois plus tard, la Commission a donné raison aux Plabennecois. A l’époque, l’arbitre disait qu’il avait sifflé car il pensait que la balle était sorti en corner dans un premier temps puis comme son juge de touche a validé le but dans la foulée, il l’a suivi.

Aujourd’hui, 13 avril,  soit près de deux mois après la rencontre, la Commission d’Appel est revenue sur sa décision du 19 mars et maintient le résultat (1-2 pour Concarneau), c’est ce qu’a appris Franck Kerdilès en appelant la FFF cet après-midi. Pour l’instant, les clubs n’ont pas encore reçu la notification écrite de la décision « mais je l’attends avec impatience » explique Michel Pommelec le président plabennecois qui admet ne « pas comprendre la décision. » Plusieurs éléments restent troublants : « La vidéo n’était pas  recevable en mars, et là, en appel, ils nous demandent de produire la vidéo. Il y a déjà une incohérence. Pendant  la réunion, Concarneau n’a rien apporté, c’est même pire, un membre de la Commission a bien dit que l’arbitre avait sifflé avant et, malgré tout, ils ont demandé à l’arbitre de faire un rapport complémentaire. Son mail est arrivé à 1h du matin dans la nuit de jeudi à vendredi alors qu’il aurait du être présent à cette réunion. On ne comprend pas pas toutes ces tergiversations car tout était clair. »

Ce qui est étonnant, c’est que deux Commissions successives se contredisent alors qu’aucun nouvel élément réel n’a été versé au dossier par les Thoniers. « Les Concarnois n’ont pas voulu se déplacer la première fois puisqu’ils disaient n’avoir rien vu ni entendu. Là, jeudi dernier, ils se sont déplacés et ils ont vu que les joueurs ne s’étaient pas arrêtés au coup de sifflet…  » fulmine Michel Pommelec. « On nous a convoqué le mardi après-midi pour venir le jeudi à Paris, on sent qu’ils n’ont pas forcément envie que tu viennes en faisant ça. J’ai réussi à me libérer et on voit, alors que nous, on fait tout pour se déplacer,que de l’autre côté, ils acceptent que l’arbitre puisse envoyer un simple  mail dans la nuit du jeudi au vendredi. On n’est pas tous sur le même pied d’égalité. »

Désormais, Plabennec va oublier cette affaire : « Il n’y a rien à faire. On va en rester là.  Ça prouve que les Concarnois avaient peur de venir chez nous ça c’est rassurant (rires) mais on estime qu’on a été volé. On va passer à autre chose »et se sauver au plus vite, avec, lot de consolation, une semaine de repos.

Source : FINISTÈRE-FOOT




lundi, avril 13, 2015

UNAF NATIONALE : Communiqué du Président Bernard SAULES...

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , , ,

Publié le 13/04/2015 - COMMUNIQUE - UNAF NATIONALE

LA TV RESPONSABLE DES COMPORTEMENTS ?

Aujourd'hui, nouvelle escalade dans le feuilleton 'TARTUFFE" du Football français. 2 clubs boycottent Canal + (la chaîne qui pourvoit grassement le football professionnel depuis sa création) pour avoir osé montrer diffuser des "images et paroles" de certains joueurs et ayant entraîné des sanctions...

Ne vaudrait- il pas mieux fustiger le comportement de ces joueurs sanctionnés ? Ont-ils un comportement normal ? Méritent-ils une médaille ? Le président de club (et son entraîneur) s'honorerait de lui amputer son salaire pour "faute professionnelle" plutôt que de critiquer le réalisateur TV.
Une fois de plus, certains ont raté une occasion de se taire, en ne voulant plus parler devant les micros de Canal +....
Et pendant ce temps, des arbitres amateurs se font "tabasser" tous les week-ends... Que Canal + leur tende le micro ! Eux, ils parleront....

Bernard SAULES
Président de l'UNAF








VIDÉO : Pierre MENÈS déverse son venin sur l'arbitrage et les arbitres....

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Publié le 13/04/2015 - Dimanche soir à Bordeaux, l'OM a une nouvelle fois été victime de grosses erreurs d'arbitrage sous les yeux de la France entière, en prime-time. Un scénario malheureusement récurrent cette saison, notamment lors des matches face au équipes de têtes du championnat. S'il serait injuste de mettre l'ensemble des difficultés de l'équipe en 2015 sur le dos du corps arbitral, il ne fait aucun doute que les décisions des hommes en noir pèseront lourd au moment du décompte final.

Un avis que partage Pierre Ménès, qui débriefait la rencontre sur le plateau du Canal Football Club. Il l'a confirmé au Phocéen. Interview :

Source : LE PHOCEEN






BELGIQUE : 2 ans de suspension pour un joueur âgé de .... 12 ans !!

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Publié le 13/04/2015 - Deux joueurs en sont venus aux mains lors d'un match des moins de 13 ans opposant le FC Opitter et le SLW Maaseik fin septembre.

Un jeune joueur de football de Bree, âgé de 12 ans, est suspendu de tout match pour deux ans pour avoir frappé un adversaire et l'arbitre lors d'une rencontre en septembre, indique samedi Het Laatste Nieuws. Deux joueurs en sont venus aux mains lors d'un match des moins de 13 ans opposant le FC Opitter et le SLW Maaseik fin septembre.

L'un aurait taclé violemment le second, l'incident dégénérant ensuite en dispute entre les deux garçons. Lorsque l'arbitre Davy Buelen, 41 ans, a tenté de s'interposer, il a reçu deux coups à la poitrine du joueur d'Opitter. "J'ai brandi la carte rouge sans hésiter et exclu immédiatement le joueur", a-t-il expliqué.

Les parents du footballeur fautif, Xander B., et le président du club ont reconnu la faute mais estime la sanction bien trop lourde pour un jeune garçon de 12 ans. 

Source : DHNET.be








UEFA - CHAMPIONS LEAGUE - DÉSIGNATIONS ARBITRES - 1/4 Aller - 15/04/2015

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , ,




DÉSIGNATIONS DES ARBITRES

1/4 de Finale -ALLER

15/04/2015


http://arbitrezvous.blogspot.fr/p/uefa-les-designations-arbitres_2.html



La désignation des Arbitres pour les 1/4 de Finales de CHAMPIONS LEAGUE est 
connue.
Vous pouvez en prendre connaissance en cliquant sur le lien ci-après..................................................................................................................




dimanche, avril 12, 2015

FSGT - VAL-DE-MARNE : Un joueur à l'hôpital, deux arbitres agressés...

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , ,

Publié le 12/04/2015 - Et dire que c’était le week-end de l’esprit sportif et du fair-play dans le Val-de-Marne… Un footballeur a eu des côtes fracturées et deux arbitres ont été agressés, samedi à Créteil. La bagarre a éclaté vers 15 heures sur un terrain du parc interdépartemental des sports.

La rencontre, organisée par la Fédération sportive et gymnique du travail, opposait des seniors du FC Noisy-le-Sec (Seine-Saint-Denis) aux joueurs du CST Al Fawz, issu de l’association du même nom à Thiais.

« Il restait huit minutes de jeu quand c’est parti en vrille », rapporte Jean-Pierre Joly, dirigeant au club noiséen. La tension était apparemment palpable dès le coup d’envoi. C’est l’expulsion d’un joueur de Thiais qui aurait mis le feu aux poudres. « Un arbitre a été frappé, nos gars ont essayé de s’interposer et ils s’en sont pris plein la tête aussi, explique Jean-Pierre Joly. Deux d’entre eux ont été hospitalisés. L’un a des côtes cassées et l’autre, des marques au visage… » Au final, deux arbitres - de Paris et du 94 - ont reçu des coups. L’un d’eux s’est rendu à l’hôpital, le second avait déposé plainte dans les 24 heures.

« Nouvelle flambée de violences sur les terrains »

La rixe aurait peut-être pu être évitée si, à l’image de ce que proposait le District du Val-de-Marne en ce week-end de « l’esprit sportif », chaque joueur avait signé la charte du fair-play avant le match. L’opération s’inscrit dans le cadre d’un plan de lutte contre les violences dans le football. Une problématique récurrente qui a conduit la préfecture, il y a tout juste un an, à déployer son propre arsenal à base d’interdictions de stade. Vendredi, elle communiquait justement le bilan anniversaire, mettant en avant « une nette amélioration des comportements » : « 7 faits graves pour la saison en cours contre 20 en 2013-2014 », 14 interdictions de stade au lieu de 3, 6 interventions des forces de l’ordre contre 18 la saison précédente.

« Il y a les chiffres et il y a le terrain, tranche Renaud Hocq, président de l’Union des arbitres (Unaf) dans le Val-de-Marne. L’amélioration, c’était en début de saison. On constate une nouvelle flambée de violence sur les terrains. » Et de citer « la droite d’un gardien de but qui a mis KO un arbitre », le 8 mars à Fontenay ; un autre arbitre menacé par « un entraîneur de l’ASC Turquoise » le 22 mars à Limeil ; et le même week-end à Villiers, un homme en noir « contraint d’arrêter le match et de se réfugier dans les vestiaires ». « Les institutions réagissent mais nous avons besoin du soutien de la justice, explique Renaud Hocq. Si une agression du week-end était présentée en comparution immédiate le lundi, il n’y aurait pas ce sentiment d’impunité. » L’affaire du 15 juin 2013, quand deux arbitres avaient été agressés par une trentaine de supporteurs sur la pelouse du Plessis-Trévise, ne passera au tribunal que ce mercredi. Vingt-deux mois après les faits.

Source : LE PARISIEN




BELGIQUE : L'arbitre s'écroule sous les coups et est hospitalisé...

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Publié le 12/04/2015 - Une rencontre entre Destelbergen et Genc Turk Gand, en 4e provinciale A de Flandre orientale, a été arrêtée à la 43e minute de jeu alors que le score était de 2-0.

Des supporters avaient en effet asséné des coups à l'arbitre, Lothar Van Impe, qui s'est écroulé et a dû être emmené à l'hôpital.

Selon le responsable sportif du VS Destelbergen, Patrick Maes, la rencontre était particulièrement agitée depuis le début et l'arbitre avait déjà eu l'occasion de distribuer plusieurs cartons. "Quand il a à nouveau sorti un carton rouge à la 43e minute, quelques supporters de Genc Turk Gent ont déraillé. Ils ont sauté sur la pelouse et s'en sont pris à l'arbitre", précise-t-il.

Source : DH.be






B. BASTIEN : L'invité des dernières "Journées de l'Arbitrage" remet une couche

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , , , ,


Publié le 12/04/2015 - Au lendemain du match Bastia-PSG, les critiques tombent sur l’arbitre de la finale de la Ligue accusé d’avoir sorti trop rapidement un carton rouge contre Sébastien Squillaci, même si la faute sur Ezequiel Lavezzi n’est pas contestée. Pour Frank Leboeuf, Benoit Bastien s’est raté dans sa décision, tuant à lui seul une finale qui n’a ensuite été qu’une formalité pour le Paris Saint-Germain.

« L’arbitre a-t-il bien fait d’appliquer la loi en expulsant Squillaci ? Ma réponse est non. J’aimerais que Benoît Bastien me dise s’il a déjà joué au football. On voit bien que le défenseur de Bastia essaye de se retirer. Il ne fait pas de faute intentionnelle et ne veut pas couper la course de Lavezzi.

Admettons que l’arbitre puisse siffler la faute, soit, mais il n’y a jamais carton rouge. Ça a tué le match. N’oublions pas que le football est un spectacle. Après le rouge, il n’y avait plus rien à voir », a expliqué, sur TF1, le champion du monde 1998 qui en matière d’arbitrage pense donc qu’il faut avoir été cheval pour devenir jockey.

Source : FOOT01

NOTE DE LA RÉDACTION : On ne peut donc se fier à personne... Franck LEBOEUF, l'un des invités des dernières journées de l'arbitrage, n'a donc rien compris !! Exit les bonnes intentions et les discours de complaisance et place au vrai visage du personnage. Oh! bien sûr, d'aucun dirons qu'il n'a pas été méchant... je dirais simplement qu'il n'avait pas le même avis en octobre dernier, lors d'une interview pour TOUS ARBITRES, au pied de la Tour Eiffel. Et puis, avait-il vraiment besoin de donner son avis aussi simpliste. Je pense que Michel VAUTROT et Joël QUINIOU vont être très contents de savoir que sous prétexte qu'il n'ont jamais joué au football (... ou si peu), ils n'auraient, selon Franck LEBOEUF, pas pu faire la magnifique carrière qu'ils ont eu tous les deux.
Pour conclure, nous devrions choisir les prochains invités des journées de l'arbitrage parmi d'anciens arbitres qui comprennent et savent ce que nous ressentons, et non, au nom de la sacro-sainte "peoplisation" du football, des stars (ou ce qu'il en reste) du ballon rond.

(Écoutez ce que disait Franck LEBOEUF en octobre 2014 à 1'20")

http://www.francetvsport.fr/journees-de-l-arbitrage-franck-leboeuf-et-christophe-mae-au-sifflet-251475






UEFA - CHAMPIONS LEAGUE - DÉSIGNATIONS ARBITRES - 1/4 Aller - 14/04/2015

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DÉSIGNATIONS DES ARBITRES

1/4 de Finale -ALLER

14/04/2015


http://arbitrezvous.blogspot.fr/p/uefa-les-designations-arbitres_2.html



La désignation des Arbitres pour les 1/4 de Finales de CHAMPIONS LEAGUE est 
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FINALE - COUPE DE LA LIGUE : Réception d'avant-match pour les arbitres [VIDÉO]

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , , , , ,


Publié le 12/04/2015 - Remise de maillot aux arbitres de la finale de la Coupe de la Ligue

A l’occasion d’une réception exceptionnelle au siège du Groupe La Poste, Mr Lefebvre, Délégué général, a rencontré les arbitres de la finale de la Coupe de la Ligue 2015, juste avant leur stage de préparation physique et technique.

En présence de la Direction Technique de l’Arbitrage de la FFF, les 6 arbitres ont reçus leurs maillots floqués au couleur de l’événement, et ont aussi eu l’occasion de nous faire partager leurs impressions d’avant match.

L’occasion également pour Pascal Garibian, Directeur Technique de l’arbitrage, de revenir sur l’engagement de La Poste auprès des arbitres, et il nous a expliqué la nomination de Benoit Bastien pour orchestrer la finale.


Source : TOUS ARBITRES






BASTIA / PSG : La Loi est faite pour être appliquée. Elle ne convient pas : Changez-la

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , , ,


Publié le 12/04/2015 - Paris tient le premier trophée de sa saison. Les joueurs de Laurent Blanc se sont facilement imposés contre Bastia, samedi soir, au Stade de France (4-0). L'addition est lourde pour les Corses et leurs supporters, pour qui la fête a tourné court. En effet, pour eux, ce match s'est presque arrêté à la 19e minute, lorsque l'arbitre Benoît Bastien a sifflé un penalty pour Paris et expulsé l'auteur de la faute, Sébastien Squillaci. A-t-il eu raison de le faire?


Le penalty: Oui (même si Lavezzi est malin)

19e minute. Lancé à toute blinde dans la surface bastiaise, Ezequiel Lavezzi est déséquilibré par Sébastien Squillaci, qui accroche sa jambe gauche. Benoît Bastien n’hésite pas une seconde et accorde un penalty aux Parisiens.


Au ralenti, on voit que l'Argentin joue intelligemment le coup. Certes, la jambe du défenseur corse lui bloque bien la route, mais il ne fait vraiment rien pour l'éviter. Au contraire...

Le carton rouge: Oui aussi, mais...

Si on s'en tient purement au règlement, M. Bastien a jugé, à raison, que la faute signalée de Sébastien Squillaci «annihilait une occasion de but manifeste» et pouvait donc lui valoir un carton rouge.

Sauf que les arbitres ont également pour consigne de «sentir» le jeu quand ils prennent des décisions. La faute n'était pas dangereuse, un coéquipier de Squillaci arrivait à côté pour couvrir et on ne jouait que la 19e minute d'une finale, qui constitue toujours un événement pour les équipes et leurs supporters. En sortant le carton rouge, M. Bastien savait qu'il faisait irrémédiablement pencher ce match.

En 2013, l'UEFA avait dit réfléchir à un changement de règlement pour ne sanctionner que d'un carton jaune ce genre d'action. Le débat est toujours d'actualité.

Source : 20MINUTES

NOTE DE LA RÉDACTION : Donc, si j'ai bien tout compris le dernier paragraphe, arrêtez moi si je me trompe : il y a un règlement spécial pour les FINALES ???....  Je dis simplement que tant que ce règlement existe, et bien il doit être appliqué sans tenir compte du temps qu'il  y a à jouer à ce moment... Appliquer ne veut pas dire, ne pas sentir le jeu. Si vous avez écouter la TV ce soir, vous avez entendu Benoît BASTIEN parler sans cesse pendant tout le match avec les acteurs, C'est ça sentir le jeu... Si l'UEFA ne se penche pas sur le sujet, c'est qu'elle ne veut rien changer pour le moment, certains trouveront cela dommage, nous attendrons donc son bon vouloir... et en attendant nous appliquerons la Loi.






samedi, avril 11, 2015

FINALE COUPE DE LA LIGUE : Un président de District fustige l'arbitre et l'arbitrage

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , , , , ,


Publié le 11/04/2015 - Le coup de gueule de Larqué contre l’arbitre

La double peine infligée à Bastia pour une faute de Squillaci sur Lavezzi (expulsion et penalty), en finale de Coupe de la Ligue ce samedi fait débat.

Fallait-il exclure le défenseur corse ? Non pour Jean-Michel Larqué, qui peste contre l’arbitre, M. Bastien : « Sur le penalty, il y a peut-être anéantissement d’une occasion de but mais il n’y a aucune brutalité : je crois même que Squillaci reste debout, il n’y a même pas de tacle, analyse le membre de la Dream Team RMC Sport sur BFMTV.

On nous parle de discernement et de psychologie chez les arbitres. M. Bastien a plus pensé à sa carrière qu’à l’intérêt général. Sa carrière, c’était d’appliquer le règlement bêtement, sans discernement, sans psychologie. Quand j’entends que les Parisiens auraient demandé un carton rouge s’il n’avait mis que jaune : s’ils donnent un carton jaune, les Parisiens ne disent rien ! Ne nous étonnons pas si notre corps arbitral n’est plus représenté dans les hautes sphères internationales : c’est le genre de décision qui va à l’encontre du football, c’est une parodie de football. »

Source : BFMTV

NOTE DE LA RÉDACTION : Jean-Michel LARQUÉ, Président du District des Pyrénées-Atlantiques de Football, n'en est pas à un dérapage prêt. Comment peut-on se permettre ce genre de déclaration ostensiblement haineuse et hostile, ponctué d'à priori négatif et d'une conclusion complètement bidon. Pas besoin, d'être Grand Clerc pour voir dans ces propos une déclaration de guerre vis à vis de l'arbitrage, mais également de la LIGUE NATIONALE.
Nous souhaitons un bon courage à nos collègues des Pyrénées-Atlantiques, ce doit pas être rose tous les jours d'avoir un homme dépourvu de déontologie et de la moindre parcelle de recul comme Président de son District... Toutes nos condoléances !!.... Ah! mélange des genres, quand tu nous tiens !!






LIGUE DE BOURGOGNE : Clément TURPIN avec les U15 et les U18 du BREUIL...

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , ,


Publié le 11/04/2015 - D’abord une séance d’entraînement avec les U18 et les U15, ces ados qui, parfois, ont du mal à maîtriser leur fougue. Ensuite une une conférence ouverte au public… Jeudi soir, Clément Turpin était au Breuil. Il avait répondu à l’invitation d’Anthony Goncalves, arbitre de l’ESAB. Le Président Durand et tous les dirigeants ont eu du mal à cacher leur bonheur. Un arbitre international, qui régulièrement officie sur les plus grandes affiches du championnat de France de Ligue 1, cela ne se refuse pas. Et on peut dire que les absents ont eu tort.

Clément Turpin sait captiver l’attention et jeudi soir, il a expliqué comment il vit sa passion et son amour du foot, car les deux sont indissociables.

Sur un terrain, l’arbitre est au rang des 23 acteurs. Mais on ne lui pardonne pas de passer au travers, alors que sur la pelouse, parfois, souvent, un, deux, trois et même parfois quatre joueurs ou plus passent au travers, avortent des attaques, gâchent des occasions de but.





L’arbitre tient une place à part, et l’arbitrage ne laisse que peu de place dans la vie d’un arbitre. C’est ainsi, les enfants d’un arbitre de foot de Ligue 1, qui plus est devenu arbitre international, certains jour, voient seulement leur papa à la télévision. Clément Turpin est au rang de ceux-là. «Je respire, je vis, je pense arbitrage», glisse-t-il. Il explique aussi la solitude de l’entraînement de l’arbitre qui n’a pas quelqu’un derrière lui pour le pousser à courir, mais qui, grâce à la technologie, rend compte de son travail à l’instance suprême de l’arbitrage qui adapte et définit l’entraînement suivant.



Jeudi soir, Clément Turpin n’a pas éludé une seule question. Il a répondu avec franchise. Pour partager sa passion mais aussi, en subliminal, interpeller les consciences. Il a parlé responsabilité. Esprit de responsabilité. «En 16 ans, jamais un joueur ne m’a dit «oui j’ai fait la faute», quand je la siffle». Et pourtant sur les 100 décisions qu’un arbitre est amené à prendre en 90 minutes, au minimum 95 sont bonnes…



Pour permettre à chacune et chacun de juger de la difficulté de la prise de décision, dans l’instant, Clément Turpin a proposé un vidéo test à l’assemblée. Aucun n’a pris que des bonnes décisions, entre carton rouge, carton jaune, et poursuite du jeu… Preuve que c’est bien plus difficile et compliqué qu’une réaction devant sa télé…


  •     «Moi quand on m’offre un jeu de société, je lis d’abord la règle pour savoir comment je peux gagner».
  •     «La connaissance de la règle c’est bien, mais il faut savoir l’appliquer de manière intelligente».
  •     «L’arbitre doit être médiateur. Il doit prendre en compter l’environnement dans lequel il évolue. Par exemple, à la 88e minute un attaquant qui pousse un défenseur, cela peut-être tout simplement par fatigue ou frustration. L’arbitre doit être capable de se poser la question du contexte».
  •     «Tout le monde n’est pas capable de siffler un pénalty. Le coup de sifflet droit raconter une histoire…»
  •     «Il y a 4 ans, à Rennes, il y avait 0-0, on était en fin de match. Un attaquant est victime d’une faute, je laisse l’avantage, le banc se lève, l’action se poursuit, il y a but et Rennes gagne 1-0. On ne m’a rien dit. Mais s’il n’y avait pas eu but ?… Laisser l’avantage c’est tenter le spectacle»
  •     «Zidane créait du spectacle. La preuve, on se souvient tous de sa reprise de volée et de son but en finale de la Champion’s League contre Leverkusen».
  •     «Les erreurs on en fait tous. Tant qu’il y aura des hommes et des femmes, il y aura des erreurs».
    «Arbitrer ça forge un caractère. Moi, jeune, j’étais timide et introverti. L’arbitrage m’a permis de changer».



Source : CREUSOT-INFOS







vendredi, avril 10, 2015

BASKET-BALL - ALGERIE : Les arbitres internationaux frappés, le match arrêté...

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , , , ,

Publié le 10/04/2015 -  Les compétitions du Play-down organisées à la salle omnisport de Cherchell à partir de jeudi dernier par la FABB (fédération algérienne de basket-ball) avaient été ternies dès  la 1ère journée par  des actes d’une très rare violence.

Quatre clubs avaient pris part à cette compétition. Il s’agit de Ouargla, Médéa, M’Sila et Cherchell.  Il ne restait que 71 secondes à jouer  lors de la 1ère rencontre dirigée par un trio d’arbitres. Elle avait opposé l’équipe de Médéa  à  celle de M’Sila.  Le score au tableau d’affichage donnait un léger avantage au « cinq » de M’Sila (58 à 55). L’arbitre siffle une faute contre un joueur  de l’équipe du Titterie. Contestations et  insultes suivent la décision de l’arbitre.

Les joueurs de Médéa avaient estimé qu’ils étaient lésés par les arbitres, qui pourtant avaient su gérer la partie pour qu’elle ne dégénère pas. Les joueurs du banc pénètrent alors sur le terrain. Rixes. Les policiers empêchaient les supporters de Médéa très peu nombreux de pénétrer sur le terrain.  Deux arbitres reçoivent des coups.
C’est la grande pagaille sur le terrain. Le coach saisit la feuille du match de la table des officiels qui était désertée par ses occupants. Il remet  son joueur à son joueur la feuille de match pour déchirer ce document  officiel  en plusieurs morceaux. Le renfort  des policiers intervient sur le terrain pour apaiser l’atmosphère. Le commissaire du match, ancien arbitre international tentait de calmer les joueurs et les dirigeants. Un arbitre est à terre après avoir reçu un violent coup de la part d’un joueur de Médéa. Les  agresseurs  sont  identifiés.  L’équipe de M’Sila regagne les vestiaires.

L’équipe de Médéa livrée à elle-même et à un état second est demeurée à l’extérieur de la salle. Deux arbitres rédigent leur rapport. La police arrête le joueur Mohamed  M. de Médéa (35 ans),  qui s’est avéré être  un cadre supérieur dans une entreprise de téléphonie mobile, à la suite de son audition au commissariat. L’ambulance de la protection civile évacue l’arbitre blessé qui est décidé à porter une plainte contre son agresseur.  La partie est arrêtée.

Bouarifi Rabah, le Président de la FABB  arrive et salue les arbitres, les officiers de la sûreté nationale et les dirigeants organisateurs du Play-down. Après avoir pris connaissance des faits, selon la règlementation, il décide d’écarter l’équipe de Médéa de la compétition. « Le bureau de la FABB prendra en urgence  toutes les mesures pour sanctionner les joueurs et  es staffs qui sont responsables de ces actes de violence très graves nous dit-il, c’est avant tout une rencontre sportive qui doit se dérouler dans son cadre normal, mais jamais pour arriver à déchirer une feuille de match et agresser  violemment un arbitre international, l‘équipe de Médéa  est  écartée, la compétition se déroulera  entre les 3 autres équipes », conclut Rabah Bouarifi, le Président de la FABB.  Cette 1ère journée du Play-down entamée à 16h00 s’est achevée à 20h00.

Source : EL WATAN