D'habitude retenu, Jocelyn Gourvennec ne cache pas sa colère avant la rencontre de ce soir face à Metz, tempétant envers l'arbitrage et la prestation de ses joueurs à Monaco. > Ce soir à 19h au Roudourou « Je ne fais pas mon Calimero. Mais j'aimerais bien que l'on soit arbitré de la même manière que les autres. »
Hier, Jocelyn Gourvennec n'a pas feint son irritation envers le corps arbitral qui, depuis le début de saison, « n'arbitre pas Guingamp de la même manière que les autres », estime l'entraîneur breton. Un constat qui prend corps au regard des ralentis vidéos de la défaite à Monaco (1-0), dimanche dernier... « Je ne peux pas décolérer » « A l'issue du match, je m'étais abstenu de commentaires sur l'arbitrage. Manifestement, après avoir revu la rencontre, je ne peux pas décolérer. Je parle du penalty sur Beauvue et de la main dans la surface, flagrante. Il y a aussi davantage de retours à la faute dont les autres bénéficient et pas nous ». Des courroux qui s'amplifient encore un peu plus lorsque le technicien jette un oeil dans le rétroviseur. « En tant que petit du championnat, on n'est pas arbitré de la même manière contre les plus gros. C'était le cas jeudi (à la Fiorentina), et également dimanche. C'était aussi le cas contre Bordeaux, au Trophée des Champions et à Saint-Étienne avec M. Lesage. A Lorient et Lens, on a eu un arbitrage normal, parce que nous jouions des équipes de notre niveau. » Mais évidemment, puisque « l'arbitrage ne masque pas nos carences à Monaco », Jocelyn Gourvennec tance également la prestation de ses joueurs, « notamment les joueurs offensifs. J'attends d'eux qu'ils prennent plus leurs responsabilités. Je suis remonté depuis dimanche ! J'avais de l'ambition en allant à Monaco, où je n'ai finalement pas vu ce que j'avais vu une semaine plus tôt face à Bordeaux (victoire d'En Avant, 2-1), c'est-à-dire une équipe avec du caractère et du mordant. A Monaco, on a été trop passif, trop complaisant presque. Et ça ne me plaît pas, parce que ce n'est pas Guingamp, ce n'est pas mon équipe, ce n'est pas mon caractère ».
Source : LE TELEGRAMME
Hier, Jocelyn Gourvennec n'a pas feint son irritation envers le corps arbitral qui, depuis le début de saison, « n'arbitre pas Guingamp de la même manière que les autres », estime l'entraîneur breton. Un constat qui prend corps au regard des ralentis vidéos de la défaite à Monaco (1-0), dimanche dernier... « Je ne peux pas décolérer » « A l'issue du match, je m'étais abstenu de commentaires sur l'arbitrage. Manifestement, après avoir revu la rencontre, je ne peux pas décolérer. Je parle du penalty sur Beauvue et de la main dans la surface, flagrante. Il y a aussi davantage de retours à la faute dont les autres bénéficient et pas nous ». Des courroux qui s'amplifient encore un peu plus lorsque le technicien jette un oeil dans le rétroviseur. « En tant que petit du championnat, on n'est pas arbitré de la même manière contre les plus gros. C'était le cas jeudi (à la Fiorentina), et également dimanche. C'était aussi le cas contre Bordeaux, au Trophée des Champions et à Saint-Étienne avec M. Lesage. A Lorient et Lens, on a eu un arbitrage normal, parce que nous jouions des équipes de notre niveau. » Mais évidemment, puisque « l'arbitrage ne masque pas nos carences à Monaco », Jocelyn Gourvennec tance également la prestation de ses joueurs, « notamment les joueurs offensifs. J'attends d'eux qu'ils prennent plus leurs responsabilités. Je suis remonté depuis dimanche ! J'avais de l'ambition en allant à Monaco, où je n'ai finalement pas vu ce que j'avais vu une semaine plus tôt face à Bordeaux (victoire d'En Avant, 2-1), c'est-à-dire une équipe avec du caractère et du mordant. A Monaco, on a été trop passif, trop complaisant presque. Et ça ne me plaît pas, parce que ce n'est pas Guingamp, ce n'est pas mon équipe, ce n'est pas mon caractère ».
Source : LE TELEGRAMME