Publié le 11/12/2014 - Que font nos hommes politiques de leur temps libre ? Chez certains, comme Thomas Boulard, on n’hésite pas à mettre la tenue noire d’arbitre de foot
De l’échiquier politique au terrain de foot, Thomas Boulard n’a pas eu trop de mal à enjamber les deux univers, qui se regardent pourtant comme deux chiens de faïence. La faute à un engagement footballistique précoce chez le Divionnais : « Mes parents étaient de grands supporters du Racing Club de Lens. Tous les quinze jours, on allait à Bollært en seconde voir les matches », rappelle le presque quadragénaire.
Arbitre dès 15 ans
Mais, n’étant pas - selon ses propres termes - forcément « très doué » pour le jeu, il va peu à peu s’intéresser à une autre fonction du football : celle d’arbitre. Il officie pendant les matches de Valenciennes, Lille, Calais et côtoie lors de ses formations Stéphane Lannoy ou encore Anthony Gautier qui sont aujourd’hui arbitres de Ligue 1.
Politiquement, il y a également une ascension qui se fait ressentir. Issu d’une famille communiste, il adhère au parti de la faucille et du marteau en 1997 et devient élu de la ville de Divion. Faute de temps, il avait renoncé à arbitrer pendant près de dix ans, mais la passion est revenue.
De l’échiquier politique au terrain de foot, Thomas Boulard n’a pas eu trop de mal à enjamber les deux univers, qui se regardent pourtant comme deux chiens de faïence. La faute à un engagement footballistique précoce chez le Divionnais : « Mes parents étaient de grands supporters du Racing Club de Lens. Tous les quinze jours, on allait à Bollært en seconde voir les matches », rappelle le presque quadragénaire.
Arbitre dès 15 ans
Mais, n’étant pas - selon ses propres termes - forcément « très doué » pour le jeu, il va peu à peu s’intéresser à une autre fonction du football : celle d’arbitre. Il officie pendant les matches de Valenciennes, Lille, Calais et côtoie lors de ses formations Stéphane Lannoy ou encore Anthony Gautier qui sont aujourd’hui arbitres de Ligue 1.
Politiquement, il y a également une ascension qui se fait ressentir. Issu d’une famille communiste, il adhère au parti de la faucille et du marteau en 1997 et devient élu de la ville de Divion. Faute de temps, il avait renoncé à arbitrer pendant près de dix ans, mais la passion est revenue.
Source : L'AVENIR DE L'ARTOIS
