Un sentiment de persécution. Cédric Barbosa et ses coéquipiers d’Evian Thonon Gaillard étaient furieux après la défaite à Reims (3-2) au terme d’un match fou, samedi soir en Ligue 1. En cause, l’égalisation champenoise entachée d’une faute et l’exclusion de Cambon dans la foulée.
Pascal Dupraz a bien raison, il préfère pour une fois "se la fermer", comme il l’a expliqué à la presse, après la défaite de l’ETG sur le terrain du Stade de Reims (3-2), samedi soir pour le compte de la 17e journée de Ligue 1. L’entraîneur des Haut-Savoyards a jubilé trop vite - et de manière peu élégante - en demandant au public d’Auguste-Delaune de se taire d'un geste de la main. Les visiteurs de la rencontre menaient alors 2-1 à la 69e minute après le but de N'Sikulu, servi par un Wass buteur 12 minutes plus tôt.
Barbosa persiste et craque
Mais Evian Thonon Gaillard a sombré en l’espace de deux minutes, à la grande colère des joueurs. A la suite d’une égalisation signée Aïssa Mandi (78e), Cédric Cambon a contesté le but pour une faute ("Même Moukandjo reconnaît avoir fait faute mais l'arbitre ne siffle pas...", a clamé Gianni Bruno – "Il y a faute, on s’est fait enfler", a rajouté Olivier Sorlin). La protestation, bien trop agressive, a abouti à l’exclusion du défenseur par M. Millot. Dans la foulée, Diego inscrivait le 5e et dernier but de la partie (81e) pour des Champenois tout heureux de remporter ce match indécis.
Au terme des quatre minutes de temps additionnel, les Haut-Savoyards se sont rués vers l’arbitre, avec un Cédric Barbosa toujours fou furieux devant la caméra de BeIN SPORTS. "J'en ai marre. Il faudrait toujours se taire. C'est la faute de l'arbitre si nous perdons ce match. Il sort le carton rouge à Cambon et nous pénalise pour la fin. Ce n'est pas normal. Il faut dire les choses comme elles sont. Nous sommes volés à Toulouse et nous voilà revolés ce soir contre Reims. Tant pis pour moi si je prends une sanction. Je dis ce que je pense", a crié le vétéran de l’équipe. Avant de déraper dans la zone d’interview malgré son passage dans le vestiaire, comme le rapporte le correspondant local de RMC présent au stade.
Cédric Barbosa devant les journalistes en zone mixe : "Qu'ils aillent tous se faire enc**** ! "
Pascal Dupraz a bien raison, il préfère pour une fois "se la fermer", comme il l’a expliqué à la presse, après la défaite de l’ETG sur le terrain du Stade de Reims (3-2), samedi soir pour le compte de la 17e journée de Ligue 1. L’entraîneur des Haut-Savoyards a jubilé trop vite - et de manière peu élégante - en demandant au public d’Auguste-Delaune de se taire d'un geste de la main. Les visiteurs de la rencontre menaient alors 2-1 à la 69e minute après le but de N'Sikulu, servi par un Wass buteur 12 minutes plus tôt.
Barbosa persiste et craque
Mais Evian Thonon Gaillard a sombré en l’espace de deux minutes, à la grande colère des joueurs. A la suite d’une égalisation signée Aïssa Mandi (78e), Cédric Cambon a contesté le but pour une faute ("Même Moukandjo reconnaît avoir fait faute mais l'arbitre ne siffle pas...", a clamé Gianni Bruno – "Il y a faute, on s’est fait enfler", a rajouté Olivier Sorlin). La protestation, bien trop agressive, a abouti à l’exclusion du défenseur par M. Millot. Dans la foulée, Diego inscrivait le 5e et dernier but de la partie (81e) pour des Champenois tout heureux de remporter ce match indécis.
Au terme des quatre minutes de temps additionnel, les Haut-Savoyards se sont rués vers l’arbitre, avec un Cédric Barbosa toujours fou furieux devant la caméra de BeIN SPORTS. "J'en ai marre. Il faudrait toujours se taire. C'est la faute de l'arbitre si nous perdons ce match. Il sort le carton rouge à Cambon et nous pénalise pour la fin. Ce n'est pas normal. Il faut dire les choses comme elles sont. Nous sommes volés à Toulouse et nous voilà revolés ce soir contre Reims. Tant pis pour moi si je prends une sanction. Je dis ce que je pense", a crié le vétéran de l’équipe. Avant de déraper dans la zone d’interview malgré son passage dans le vestiaire, comme le rapporte le correspondant local de RMC présent au stade.
Cédric Barbosa devant les journalistes en zone mixe : "Qu'ils aillent tous se faire enc**** ! "
Source : SPORTS.fr
