lundi, septembre 29, 2014

WILLY SAGNOL : L'irrespect crasse de l'entraîneur bordelais pour les arbitres...

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , ,

De son banc, Willy Sagnol a pris l'habitude de pourrir les arbitres depuis le début de la saison. Dimanche, face à Rennes, le coach bordelais s'est même demandé si Benoît Bastien avait fumé. Ca qui a bien fait marrer le Rennais Sylvain Armand....

QUESTION DE LA REDACTION : serait-il aussi joyeux, si un arbitre venait lui faire la même chose pendant la rencontre, considérant que sa stratégie n'est pas la bonne ? Nous en doutons !!

Source : chezlesgirondins.com



LIGUE 1 - 8ème journée : l'avis de Bruno DERRIEN

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , ,

Consultant pour Sports.fr, Bruno Derrien analyse ce lundi les faits d’arbitrage de la huitième journée du championnat de France. L’ancien arbitre international revient notamment sur la prestation de Philippe Kalt, mis sous pression samedi soir à Montpellier par deux joueurs guingampais. "Tout cela était assez pathétique", juge-t-il.

Bruno, dimanche soir, sur Twitter, vous avez poussé un coup de gueule contre les "câlins arbitraux aux joueurs". Expliquez-nous…
Ce n'est pas un coup de gueule. Je trouve que, des fois, c'est surjoué. Moi, j'aime bien les gens sobres. Je n'aime ni l’arrogance ni la suffisance, deux choses que l'on a souvent reprochées à certains arbitres – il ne s'agit pas de généraliser. Je me souviens du dernier match la saison passée entre le PSG et Montpellier, c'était totalement surjoué ! On peut avoir une relation avec les joueurs tout à fait conviviale, mais de là à se taper dans le dos… Il faut trouver le juste milieu, adopter une posture équilibrée: être sobre sans être arrogant ni suffisant.

Et donc vouvoyer les joueurs…
Oui, on vouvoie les joueurs ! Si l'on veut être respecté, il faut que l'on soit respectable. On ne peut pas tutoyer les joueurs et en retour demander à ce qu'ils nous vouvoient. Moi, je les ai toujours vouvoyés.

En parlant de respect, Guingamp…
(Il coupe) On a le sentiment que Philippe Kalt a perdu toute autorité en fin de match. Bon, le gardien guingampais (Mamadou Samassa, NDLR) n'a pas à avoir un comportement pareil à l'égard de l'arbitre… Il mesure deux mètres (pas loin), il est donc très grand, ça impressionne tout de suite. Il met son front contre la tête de l'arbitre, c'est une forme d'intimidation qui n'a pas lieu d'être. L'arbitre l'expulse et après, quand il veut sortir son carton, deux joueurs (Benjamin Angoua en particulier, NDLR) lui retiennent la main ! Tout cela était assez pathétique.

Que pensez-vous des déclarations de Leonardo Jardim ("L'arbitrage français, je le découvre. À mon souvenir, il n'y a pas de grand arbitre reconnu au niveau international.") ?
Le problème est que Berbatov avait simulé un penalty en première période et que l'arbitre (Ruddy Buquet, NDLR) a pensé que c'était encore le cas cette fois-là. Vous voyez, ça ne sert à rien d’essayer d’abuser de l'arbitre une fois, parce qu'après il est beaucoup plus précautionneux. C'est vrai que cet argument (celui de Jardim, NDLR) fait mal, mais j'avais dit qu'il serait souvent utilisé. Ç'a vraiment été dur pour l'arbitrage français qu'il n'y ait pas d'arbitre à la Coupe du monde, c’était vraiment une très mauvaise nouvelle. Ça va souvent revenir en boomerang, malheureusement…

C'est un peu facile, non ?
Les entraîneurs ont leurs arguments, mais c'est vrai, il n'y a pas eu d'arbitre français à la Coupe du monde, on ne peut pas le nier non plus… Mais à force, cet argument ne sera plus recevable. Raison de plus pour mettre tout en oeuvre pour que l'arbitrage retrouve des couleurs à l'étranger.
"C'est surjoué"

Du coup, Pascal Garibian, Directeur technique de l'arbitrage, a dit "stop" aux "bousculades, intimidations, déclarations et provocations verbales" envers les arbitres de Ligue 1…
Garibian est dans son rôle, celui de protéger les arbitres.

À Metz, le défenseur rémois Chris Mavinga a été exclu après avoir tenté de faucher Bouna Sarr. Logique ?
Le carton rouge est légitime, oui.

Même si, au même moment, il sort sur civière ?
Bah oui, parce que, normalement, on ne peut pas mettre un carton jaune ou rouge à un joueur à terre, l'arbitre doit attendre qu'il se relève. Or, là, en faisant le geste de tacler, il se blesse et comme il quitte le terrain sur une civière et que le jeu reprend, l'arbitre n'a pas d'autre solution que d’appeler le capitaine et de lever le carton. Il a fait ce qu'il devait faire, ce sont les consignes.

Son coéquipier Mads Albæk, les deux pieds décollés, a également vu rouge…
C'est un geste spectaculaire. À mon avis, les deux cartons ne souffrent d'aucune contestation.

Et celui du milieu de terrain lorientais Walid Mesloub, qui a perdu ses nerfs ?
Mauvais geste, mauvais réflexe: le carton rouge est aussi logique.

Source : SPORTS.fr


FUTSAL : Les arbitres de la LIGUE MIDI-PYRENNEES en stage à Castelmarou...

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , ,

Ce dimanche 28 septembre avait lieu à la ligue Midi-Pyrénées de football à Castelmaurou, le stage régional des arbitres Futsal.

Sous la houlette de la CRA et du CTRA Olivier Thual, le stage fut animé par Francois IRLA (CRA), Frédéric HOSTAINS (arbitre FFF Futsal), ainsi qu'Abdelhaï El KHATTARI (arbitre FFF Futsal de la ligue de Paris) venu porter ses compétences aux 20 stagiaires présents.


Une matinée passé sur le terrain, où les stagiaires ont passé les tests physiques, et l'après-midi en salle pour un travail avec un support vidéo, réalisé sur des matchs d'Honneur régional.




Les photos souvenirs de cette journée de stage





Merci à Frédéric HOSTAINS.

DRAME AU SENEGAL : Un arbitre tué d'une balle dans la tête !!.....

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , ,

Drame à Kédougou : Un garde pénitencier tue un arbitre de football avec une balle dans la tête.

Ça chauffe dans la ville de Kédougou. Encore un crime odieux. Et l’auteur n’est personne d’autre qu’un garde pénitencier. Un jeune du village de Sinthiou Roudié, situé à quelques kilomètres de Kédougou s’est évadé de la Maison d'arrêt suite à sa condamnation pour vol de chèvre. Recherché par les gardes pénitenciers, il sera retrouvé dans son village entrain de diriger un match de football comme arbitre central.

Ayant aperçu les gardes venus le cueillir, il a tenté de s’enfuir. Mais, c’est l’acte qu’il ne fallait pas. Un garde pénitencier a sorti son pistolet pour le tirer à bout portant une balle dans la tête. Le drame s’est déroulé samedi aux environs de 18h. Une scène indescriptible plongeant toute la localité dans un désarroi total. L’auteur du crime, un surveillant de prison, est arrêté par la gendarmerie de Kédougou. Le jeune assassiné est un chauffeur de taxi.

Des jeunes sont en train de manifester. Ils ont barré toutes les routes dans la ville en bloquant la circulation. Selon une source que nous avons joint par téléphone, c’est la 4ème fois que des jeunes de Kédougou perdent la vie à cause de la bavure des forces de l’ordre. La ville est sous haute surveillance des forces de l’ordre car la population de Kédougou est dans la rue, en train de manifester sa colère.

Source : derniereminute.sn

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Le delire paranoïaque de GUY NOVES contre les arbitres !!!

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , ,

Toulouse : Guy Novès flingue l'arbitrage après la défaite à Bayonne.

Vous l'aurez probablement compris après avoir aperçu les 182 articles parus sur le sujet : le Stade Toulousain va mal. Samedi dernier à Bayonne, le club aux 19 Boucliers de Brennus a encaissé sa 5ème défaite consécutive en Top 14. 13èmes du classement et actuellement relégables, les Rouge et Noir sont méconnaissables.

Pour Guy Novès, le mal qui ronge son équipe semble tout trouvé. Après les doublons, les blessures ou la météo, l'arbitrage serait ainsi responsable des mauvais résultats du Stade. Dans deux articles parus dans La Dépêche et Midi-Olympique, Le Gitan y va fort et va même jusqu'à parler d'un « contrat placé sur la tête du Stade Toulousain » ou encore des « charlots placés au bord du terrain ».

Le manager toulousain est revenu en premier lieu sur le carton jaune infligé à Yoann Maestri, sur une action où le Bayonnais Senekal aurait également pu être sanctionné :

Ce que je vois, c'est que Senekal va immédiatement influencer l'arbitre de touche qui dit « il n'y a rien sur le déblayage », que l'arbitre vidéo ne signale rien non plus, alors que l'on voit clairement parès le déblayage, un bras qui se tend et se détend, poing germé, en direction de Jean-Marc Doussain. C'est une agression caractérisée qui valait carton rouge, face à laquelle Yoann Maestri a eu une réaction épidermique. Dans la vie, si on voit une femme se faire agresser dans le métro, les gens trouvent inadmissible que personne ne réagisse. Sur un terrain, c'est le contraire... »

Mais le tournant du match fut incontestablement l'expulsion de Corey Flynn, coupable d'avoir marché sur la cheville d'Aretz Iguiniz. Sur cette action, son interprétation diffère de celle de l'arbitre.

Flynn marche sur une cheville. On lui reproche de lever la jambe, mais s'il ne l'avait pas levée, il ne pouvait pas passer (…) La question que l'arbitre vidéo ne se pose pas, c'est pourquoi il fait ça ? Moi, je vois un joueur hors-jeu qui ceinture la cheville de Flynn avec ses jambes pour le bloquer, puis qui tend sa jambe en direction de ses « parties » ! Et sur cette action, les arbitres ne demandent rien : c'est l'arbitre vidéo qui intervient lui-même. Là, quelque chose m'interpelle... C'est comme sur cet essai refusé en fin de match. Quand Vincent Clerc a demandé à l'arbitre le pourquoi de sa décision, il ne lui a pas répondu « vous manipulez le ballon au sol » ou quelque chose du genre, mais s'est contenté de dire « ce n'est pas clair ». Autrement dit, on n'a pas d'explication, alors que chez nous, Clermont s'en est vu accorder un sur la foi d'images qui ne montrent rien. »

Pour Novès, le Stade Toulousain serait carrément victime d'une sorte de complot arbitral... argument déjà utilisé par Serge Blanco l'année passée pour expliquer les déboires du BO.

C'est marrant. Lorsqu'il y a une action en faveur du Stade, tout le monde en parle (il fait référence à la fin de match face à Oyonnax lors de la première journée, NDLR), mais quand c'est le contraire, personne ne dit rien. (…) Jusqu'alors je me taisais, mais là ce n'est plus possible. Vendredi soir, sur le premier recours à la vidéo, les arbitres se sont focalisés sur Maestri, alors je le dis : il y a un contrat sur les joueurs du Stade Toulousain. Trop de décisions vont toujours dans le même sens... »

Enfin, plus que l'arbitre de champ, Monsieur Minery, Novès semble beaucoup en vouloir à ses assistants, ainsi qu'à l'arbitre vidéo.

Il fait plutôt un bon match, mais demeure tributaire de ceux qui ont ont parlé sur la touche ou dans l'oreillette. Quand un match bascule comme ça, je suis écoeuré. Lorsque je vois les efforts que fournissent les joueurs à l'entraînement, et les charlots que l'on place autour des terrains... »

Chacun se fera son avis sur le sujet. Des propos qui risquent tout de même de valoir quelques problèmes à Guy Novès, Paul Goze ayant affirmé qu'il sanctionnerait durement toute personne dont « les déclarations dévaluent le produit Top 14 ».

Source : LE RUGBYNISTERE


Patrick PECHAMBERT : Entretien sur sa dernière saison dans l'Elite...

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , ,

Entretien avec Patrick PECHAMBERT, arbitre du TOP14 de Rugby.

À bientôt 45 ans, vous serez atteint par la limite d'âge pour arbitrer à la fin de cette saison. Qu'est-ce qui vous fait courir encore sur les terrains ?

Patrick Péchambert. J'ai toujours été très volontaire, j'aime le sport, j'aime courir. Même après ma carrière d'arbitre de rugby, je ferai encore pas mal de sport. C'est la passion qui prime. Et se maintenir en forme, c'est pour moi une obligation. J'ai horreur de penser qu'un jour je ne pourrai plus courir. D'ailleurs, quand je suis blessé, je suis exécrable à la maison !

Il vous arrive d'enchaîner dans le même week-end des affiches de Top 14 avec des rencontres de Périgord-Agenais. Où allez-vous chercher encore la motivation ?

En premier lieu, c'est la passion. Et puis c'est une façon d'aider le Périgord-Agenais comme il n'y a pas assez d'arbitres sur certains week-ends. On remplace aussi les copains qui sont blessés. Mais c'est vrai que parfois je m'en serais bien passé, surtout après un match un peu dur à diriger la veille et pas mal de route. Mais bon, quand il faut le faire, je le fais avec plaisir.

Quand on dirige un jour une affiche du Top 14 et le lendemain un match de série territoriale, arbitre-t-on de la même façon ?

Non, pas vraiment. Je suis assez soucieux quand j'arbitre en Périgord-Agenais. D'abord parce que le placement n'est pas le même, les règles ne sont pas les mêmes, donc il faut quand même les revoir un peu avant. Et puis la gestion des hommes sur ces matchs-là est différente parce qu'on est seul. Ce n'est pas toujours évident, il faut avoir des yeux derrière la tête. Je suis plus soucieux que sur un match du Top 14. C'est souvent plus difficile à arbitrer, c'est plus dur à gérer notamment à cause du niveau technique des joueurs, de l'état du terrain, et puis on a d'autres habitudes quand on est trois arbitres avec l'appui de la vidéo en Top 14. Quand ça se finit à peu près bien, je suis vraiment soulagé.



Avez-vous le sentiment que vous êtes plus respecté quand vous arbitrez en Série parce que vous êtes aussi un arbitre du Top 14 ?

Les gens aiment bien avoir un arbitre du haut niveau. On gagne parfois certains matchs rien que par notre présence. Après, on peut aussi se le rendre difficile si on ne fait pas ce qu'il faut rapidement dans la partie s'il y a du jeu déloyal, des brutalités. J'ai eu échappé des matchs à l'époque en Fédérale 1, parce que je n'étais pas assez vigilant. Cela m'arrive moins depuis que je dirige chez les pros. Mais c'est vrai qu'en arrivant, quand les joueurs voient qui les arbitre, on gagne déjà une partie du match.

Pour vous, à quoi ressemble finalement un match réussi ?

C'est un match qui va au bout sans brutalité. Pour moi, le rugby ça reste un sport et c'est la fête. Le plaisir, on l'a quand ça se passe bien déjà. On n'est pas là pour empêcher les joueurs de jouer comme certains le pensent. Quand je vois certains comportements, même s'il y a une victoire au bout, s'il y a un challenge à relever par rapport aux sponsors et au club, je me dis que rien n'est aussi fort que le plaisir sur un terrain. Quand je jouais, c'était avant tout le plaisir de jouer et de faire vivre le ballon qui comptaient. C'est pour ça qu'un match réussi pour moi, c'est aucun carton et le jeu à tout-va. Mais c'est plus facile à dire qu'à faire.

Vous parlez de l'époque où vous jouiez. Suivez-vous toujours attentivement le SU Agen ?

Je regarde leurs résultats bien sûr. Je suis né à Agen, j'ai le cœur agenais et je le resterai. Je ne peux pas trop voir les matchs, même si je les regarde parfois en différé. Je suis un des premiers supporters de cette équipe même si on me l'a assez reproché à un moment donné. Cela avait même fait un peu polémique quand j'ai été amené à arbitrer Bordeaux-Bègles qui était à la lutte avec Agen pour le maintien en Top 14. Je peux être supporter d'Agen et arbitrer Bègles même s'ils sont en concurrence. Pour moi, l'arbitrage c'est la ligne droite. Je peux me tromper, mais ça ne sera jamais intentionnel.

Qu'attendez-vous des derniers matchs qui vous restent à diriger ?

J'espère déjà en faire le plus possible, même si on ne peut pas en faire plus que les autres. J'espère aussi ne pas me blesser pour finir correctement, être toujours en forme pour pouvoir aller au bout de ma carrière sans être à la rue sur le plan physique. Et puis j'espère peut-être diriger encore une affiche de phases finales, un barrage ou une petite demi-finale. Mais il y a du monde dans ce cas ! Atteindre les 100 matchs arbitrés en Top 14, ce n'est pas un challenge (NDLR : il dirigera son 98e match samedi, Racing-Métro - Brive). Ça ferait joli, mais ce n'est pas un objectif.

La finale de Top 14, Toulouse- Montpellier (15-10) en 2011 avec Sébastien Minery en 4e arbitre, est-ce votre match référence ?

Oui, fatalement parce que je n'ai jamais arbitré plus haut. C'est donc le match référence. Il y a eu des matchs sympas aussi comme la finale d'accession en Pro D2 et la finale de première division Fédérale. Mais la finale de Top 14, c'est autre chose. J'étais assez soucieux au départ. ça c'était bien passé et ça reste un bon souvenir. Bien sûr que j'ai des regrets de ne pas avoir arbitré au Tournoi des VI Nations ou en Coupe du monde. Mais j'ai commencé l'arbitrage un peu tard et ça a été difficile d'accrocher le bon wagon. J'ai un peu pataugé en Fédérale 1 et en Pro D2, j'ai pris du retard et après avec mon âge je ne pouvais pas être impliqué dans tout ça.

Source : SUD-OUEST 

BASKET : Jet d'une bouteille de bière sur l'arbitre = match arrêté

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , ,

BELGIQUE : Triste spectacle ce dimanche à la salle Chenot-Fontaine lors de la rencontre entre Neufchâteau et Spa. En effet, Un spectateur spadois passablement éméché n’a pas hésité à jeter une bouteille de bière en direction d’un arbitre. La rencontre a été stoppée, les Spadois menaient 44-47.



Mécontent d’une décision arbitrale, l’un des « supporters » spadois a décidé de montrer sa colère en jetant une bouteille de bière sur l’un des arbitres, qui n’a pas hésité à stopper la rencontre. Un fait regrettable et… regretté. «  Suite à une technique sifflée pour son équipe, un membre du club de Spa éméché a jeté sa bouteille de bière à la figure de l’arbitre. Heureusement il l’a raté. Mais l’homme en gris n’a pas souhaité reprendre la partie car le terrain n’était plus praticable. Cela glissait beaucoup trop  », souligne Mathieu Fivet, le coach du BCCA. «  S’il n’y a pas de punition sévère à l’encontre de cet énergumène, ce sera l’escalade ! Si j’ai déjà vu ça sur un terrain de basket ? Jamais de ma vie ! Et pourtant j’en ai déjà vu. J’ai encore assisté à cinq matches ce week-end. C’est du jamais vu.  »

L’arbitre a réalisé un rapport et le comité de discipline devra alors décidé si le match sera rejoué ou si les Verts gagnent par forfait. Réponse dans les prochains jours.

Source : LA MEUSE