Publié le 07/03/2015 - Mercredi au Parnasse, les Gardois se sont inclinés d'un petit but à la dernière seconde face au champion de France dunkerquois (24-25).
Toute cette débauche d'énergie pour ce résultat si frustrant. Ce superbe retournement de situation (de 8-13 à 24-22) pour ce dénouement si cruel. Tout ça pour ça. Sur les deux derniers matches à domicile, les jets de 7 m auront donc fait perdre trois points aux Nîmois. Celui raté par Scaccianoce au bout d'un nul contre Créteil (27-27), en décembre. Ceux réussis par Emonet dans les trois dernières minutes (24-25, score final), mercredi.
"Si on était moins exigeants, on serait moins déçus"
Avec un penalty nîmois de plus et un dunkerquois de moins, le maintien serait quasiment assuré. Il ne l'est pas, bien que Sélestat soit toujours à distance respectable (cinq longueurs). Si les Usamistes répètent le même genre de prestation que face au champion de France en titre, ils n'ont pas trop de soucis à se faire.
Mais est-ce si facile de positiver lorsque l'on perd de cette manière ?"Bien sûr, parce que l'on a joué en véritable équipe et que l'on a tenu tête au champion", attaque Paul Mourioux, qui a eu du temps de jeu et qui l'a plutôt bien exploité. "Bien sûr, parce qu'il y a plein de motifs de satisfaction, abonde son entraîneur, Franck Maurice : Quentin (Dupuy), un joueur du centre de formation, a été bon en tenant 40 minutes à un rythme inhabituel pour lui, Rémi (Desbonnet) continue sur sa dynamique, Asgeir (Hallgrimsson), que l'on a raillé, a fait un gros match en restant 60 minutes sur le terrain... Moi, j'ai pris mon pied. Les joueurs aussi. La salle a répondu. C'était un gros match. Après, si on était moins exigeants, on serait moins déçus. Mais on a le droit d'être exigeant avec ce groupe à partir du moment où il est investi comme il l'est, à 200 %."
Toute cette débauche d'énergie pour ce résultat si frustrant. Ce superbe retournement de situation (de 8-13 à 24-22) pour ce dénouement si cruel. Tout ça pour ça. Sur les deux derniers matches à domicile, les jets de 7 m auront donc fait perdre trois points aux Nîmois. Celui raté par Scaccianoce au bout d'un nul contre Créteil (27-27), en décembre. Ceux réussis par Emonet dans les trois dernières minutes (24-25, score final), mercredi.
"Si on était moins exigeants, on serait moins déçus"
Avec un penalty nîmois de plus et un dunkerquois de moins, le maintien serait quasiment assuré. Il ne l'est pas, bien que Sélestat soit toujours à distance respectable (cinq longueurs). Si les Usamistes répètent le même genre de prestation que face au champion de France en titre, ils n'ont pas trop de soucis à se faire.
Mais est-ce si facile de positiver lorsque l'on perd de cette manière ?"Bien sûr, parce que l'on a joué en véritable équipe et que l'on a tenu tête au champion", attaque Paul Mourioux, qui a eu du temps de jeu et qui l'a plutôt bien exploité. "Bien sûr, parce qu'il y a plein de motifs de satisfaction, abonde son entraîneur, Franck Maurice : Quentin (Dupuy), un joueur du centre de formation, a été bon en tenant 40 minutes à un rythme inhabituel pour lui, Rémi (Desbonnet) continue sur sa dynamique, Asgeir (Hallgrimsson), que l'on a raillé, a fait un gros match en restant 60 minutes sur le terrain... Moi, j'ai pris mon pied. Les joueurs aussi. La salle a répondu. C'était un gros match. Après, si on était moins exigeants, on serait moins déçus. Mais on a le droit d'être exigeant avec ce groupe à partir du moment où il est investi comme il l'est, à 200 %."
L'arbitrage, encore l'arbitrage
L'Usam a le droit aussi de pester contre l'arbitrage. Ce ne fut pas la mascarade d'Ivry mais à l'arrivée, ce sont deux défaites d'un but qui se jouent à des détails. Et dans les détails, les directeurs de jeu ont souvent le mot à dire...
Sept fois 2 minutes d'exclusion temporaire en seconde période côté nîmois (deux à l'encontre de Dunkerque), quatre penalties gardois, sept en faveur des Nordistes, dont trois sifflés coup sur coup dans les 140 dernières secondes, dans un match où l'UDSK fut loin d'être dominateur... il y a de quoi laisser "un goût amer" à Jean-Philippe Haon, pourtant peu coutumier du fait. "On rentre mal dans la partie, puis on fait tout ce qu'il faut pour passer devant, rappelle l'ailier, très bon en deuxième mi-temps. Ensuite, je n'aime pas parler de ça, mais il y a un des deux arbitres qui n'est pas à la hauteur. Les Dunkerquois s'en sortent très bien. Certains l'ont reconnu devant nous à la fin. Ça sert d'être champion de France..."
Et contre le champion de France et 8e de finaliste de la Ligue des champions, "si tu ne saisis pas l'occasion et demie que tu as de tuer le match, tu t'exposes, observe le coach. Si on avait mis nos balles de + 3, on ne se poserait pas la question de l'arbitrage". Sur ces paroles pleines de sagesse, la lutte pour le maintien continue.
NOTE DE LA RÉDACTION : Après son match perdu en COUPE DE FRANCE qui avait donné lieu à une levée de bouclier et de critiques à l'encontre de nos collègues arbitres (Voir l'article : http://arbitrezvous.blogspot.fr/2015/03/handball-us-ivry-nimes-des-critiques.html), le club de NIMES réitère aujourd'hui ces critiques à l'attention d'un binôme arbitral pourtant rompu aux joutes de D1 ... (fin de l'article : Bonne nouvelle, après-demain, la D1 revient, avec un duo d'arbitres habitué aux joutes professionnelles.).
Et bien il semble que la nouvelle ne soit pas si bonne que cela, et que le club de Nîmes par l'intermédiaire du journal MIDI LIBRE, tombe simplement dans la victimisation et la non remise en question de ses choix techniques. Il ne faudrait pas que celé devienne une habitude, car à force de crier aux loups... plus personne ne vous croît, et vous tombez rapidement dans la décrédibilisation de vos propos. Alors à qui le tour !!