Publié le 11/02/2016 - Vikki Robertson est la seule arbitre écossaise à être également maman. Alors pour elle, être arbitre FIFA est un jeu d’enfant.
Non seulement l’arbitre de 31 ans doit jongler avec son métier dans une banque et l’éducation de sa fille de six ans, mais elle se rend aussi aux quatre coins du monde pour s’adonner à sa passion : l’arbitrage.
Vikki, grande amoureuse de football, tient à faire passer un message à toutes les femmes : il est possible de poursuivre une carrière dans le sport même avec une famille et un emploi à temps plein.
« Ce peut être très difficile de tout coordonner, conçoit-elle. Travailler à temps plein, aller à l’entraînement, passer à la salle de sport, aider à faire les devoirs, préparer le déjeuner et le cartable du lendemain, penser aux activités extrascolaires comme le ballet et la natation. C’est un peu fou, mais c’est possible avec le soutien de vos proches. Ma mère, mon père et mon mari m’ont énormément soutenue. Ma fille aussi ! »
« Je suis la seule maman arbitre en Écosse. Il y a d’autres mamans qui arbitrent pour la FIFA bien sûr, mais pas d’Écossaises. J’aime les rencontrer pour savoir comment elles font, elles. »
« C’est possible d’être maman et de réussir en tant qu’arbitre. Comme j'y arrive, j’espère que d’autres femmes se rendront compte qu’elles peuvent le faire aussi. »
S’exprimant lors d’une opération promotion de la Fédération écossaise (SFA), Vikki raconte son parcours : « J’ai toujours aimé le sport. J’ai passé ma licence d'entraîneur de football quand j'étais à l'école et j’aimais pratiquer tous les sports. J’ai fait du ballet, du karaté, du kickboxing, de la natation... J’adorais tout. »
« Une fois que j’ai reçu ma licence d’entraîneur, je me suis demandée ce que je pouvais faire ensuite. Un stage d’arbitrage allait se dérouler, donc j’ai consacré mes soirées à ça et voilà où j’en suis maintenant. »
Non seulement l’arbitre de 31 ans doit jongler avec son métier dans une banque et l’éducation de sa fille de six ans, mais elle se rend aussi aux quatre coins du monde pour s’adonner à sa passion : l’arbitrage.
Vikki, grande amoureuse de football, tient à faire passer un message à toutes les femmes : il est possible de poursuivre une carrière dans le sport même avec une famille et un emploi à temps plein.
« Ce peut être très difficile de tout coordonner, conçoit-elle. Travailler à temps plein, aller à l’entraînement, passer à la salle de sport, aider à faire les devoirs, préparer le déjeuner et le cartable du lendemain, penser aux activités extrascolaires comme le ballet et la natation. C’est un peu fou, mais c’est possible avec le soutien de vos proches. Ma mère, mon père et mon mari m’ont énormément soutenue. Ma fille aussi ! »
« Je suis la seule maman arbitre en Écosse. Il y a d’autres mamans qui arbitrent pour la FIFA bien sûr, mais pas d’Écossaises. J’aime les rencontrer pour savoir comment elles font, elles. »
« C’est possible d’être maman et de réussir en tant qu’arbitre. Comme j'y arrive, j’espère que d’autres femmes se rendront compte qu’elles peuvent le faire aussi. »
S’exprimant lors d’une opération promotion de la Fédération écossaise (SFA), Vikki raconte son parcours : « J’ai toujours aimé le sport. J’ai passé ma licence d'entraîneur de football quand j'étais à l'école et j’aimais pratiquer tous les sports. J’ai fait du ballet, du karaté, du kickboxing, de la natation... J’adorais tout. »
« Une fois que j’ai reçu ma licence d’entraîneur, je me suis demandée ce que je pouvais faire ensuite. Un stage d’arbitrage allait se dérouler, donc j’ai consacré mes soirées à ça et voilà où j’en suis maintenant. »
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