Publié le 14/03/2016 - Avant de commencer la lecture de cet article, j'aimerais préciser que nos arbitres de LIGUE 1 ont le statut de "TRAVAILLEUR INDEPENDANT" et qu'à cet titre, la rémunération telle qu'exprimé dans l'article, est en fait "le chiffre d'affaire" sur lequel ils paient évidemment des impôts....
Les sifflets français se sentent lésés. Ils n’ont pas le sentiment d’être rémunérés autant qu’ils le méritent et en prennent pour preuve, les salaires de leurs voisins européens. En France, un arbitre du championnat de France de Ligue 1 émarge à 2.900 euros brut par mois de salaire et reçoit une indemnité proche de 2.620 euros par rencontre disputée, comme arbitre central.
Les sifflets français se sentent lésés. Ils n’ont pas le sentiment d’être rémunérés autant qu’ils le méritent et en prennent pour preuve, les salaires de leurs voisins européens. En France, un arbitre du championnat de France de Ligue 1 émarge à 2.900 euros brut par mois de salaire et reçoit une indemnité proche de 2.620 euros par rencontre disputée, comme arbitre central.
Les arbitres français réclament plus d’argent
Cela fait des années que les référés de France réclament plus de la Fédération. En cinq ans, primes et salaires mensuels ont chacun augmenté de deux cents euros environs. D’après le Syndicat des arbitres du football d’élite, un arbitre professionnel dirige 18 rencontres de Ligue 1, 5 de Ligue 2, 2 Coupe de la Ligue, 2 de coupe de France et 2 en tant que quatrième arbitre. Nos estimations formulées dans le tableau ci-dessous, ne prennent en considération que les primes et salaires de la saison de 2015-2016 de Ligue 1, débutée au 1er juillet dernier.
Des revenus près de trois inférieurs à ceux des Espagnols
Avec le temps et les années de pratiques, la rémunération des hommes en noir augmente selon l’expérience, gonflant pour les plus anciens, significativement leur chiffre d’affaire. A cela doivent être déduit l’impôt, les frais comptabilité, de formation aux langues, de préparateurs physiques ou d’équipements supplémentaires. A l’année, un arbitre français émarge à un peu plus de 65.000 euros net quand ses confrères anglais et allemands gagnent 170.000 euros, les Italiens 180.000 euros et les Espagnols jusqu’à plus de 200.000 euros.
Cela fait des années que les référés de France réclament plus de la Fédération. En cinq ans, primes et salaires mensuels ont chacun augmenté de deux cents euros environs. D’après le Syndicat des arbitres du football d’élite, un arbitre professionnel dirige 18 rencontres de Ligue 1, 5 de Ligue 2, 2 Coupe de la Ligue, 2 de coupe de France et 2 en tant que quatrième arbitre. Nos estimations formulées dans le tableau ci-dessous, ne prennent en considération que les primes et salaires de la saison de 2015-2016 de Ligue 1, débutée au 1er juillet dernier.
Des revenus près de trois inférieurs à ceux des Espagnols
Avec le temps et les années de pratiques, la rémunération des hommes en noir augmente selon l’expérience, gonflant pour les plus anciens, significativement leur chiffre d’affaire. A cela doivent être déduit l’impôt, les frais comptabilité, de formation aux langues, de préparateurs physiques ou d’équipements supplémentaires. A l’année, un arbitre français émarge à un peu plus de 65.000 euros net quand ses confrères anglais et allemands gagnent 170.000 euros, les Italiens 180.000 euros et les Espagnols jusqu’à plus de 200.000 euros.
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