Publié le 03/10/2017 - Chris Arnaudet, jeune arbitre charentais de 19 ans, n’est pas prêt d’oublier ce dimanche 24 septembre. Le jeune homme de Saint-Même-Les-Carrières a été agressé à la fin du match de Coupe Gambardella entre Cognac et Poitiers.
La rencontre est tendue. Surtout du côté des Poitevins. L’arbitre a déjà distribué cinq cartons jaunes et un carton rouge aux visiteurs, un seul aux locaux. On joue la 95e minute quand Chris Arnaudet accorde un penalty de la dernière chance à Cognac. Poitiers mène 2-3. Le tireur cognaçais manque sa tentative mais l’arbitre décide de faire retirer le penalty car un Poitevin est entré dans la surface de réparation avant le coup de pied. Cognac ne manque pas sa deuxième chance et s’offre une égalisation et une séance de tirs aux buts au cours de laquelle il va s’imposer (3-3, 4-2 tab).
Mais avant ça, un d’entre eux va faire payer à Chris Arnaudet sa décision. « Il y avait trois Poitevins derrière moi et un d’entre eux m’a marché sur le pied sur le côté de la chaussure. Ça m’a fait tourner la cheville, je me suis accroupi, puis je me suis retrouvé sur les fesses. Je n’ai pas pu identifier le fautif. Mes assistants, le délégué du match, les spectateurs et les joueurs cognaçais non plus. »
Victime d’une entorse qui l’a endolori pendant deux jours, Chris Arnaudet doit regagner les vestiaires. Un de ses assistants prend le relais. « Je n’ai pas voulu arrêter le match pour ne pas sanctionner les Cognaçais qui n’y sont pour rien », glisse le jeune homme, qui n’a aucun doute sur le caractère intentionnel de l’agression....
La rencontre est tendue. Surtout du côté des Poitevins. L’arbitre a déjà distribué cinq cartons jaunes et un carton rouge aux visiteurs, un seul aux locaux. On joue la 95e minute quand Chris Arnaudet accorde un penalty de la dernière chance à Cognac. Poitiers mène 2-3. Le tireur cognaçais manque sa tentative mais l’arbitre décide de faire retirer le penalty car un Poitevin est entré dans la surface de réparation avant le coup de pied. Cognac ne manque pas sa deuxième chance et s’offre une égalisation et une séance de tirs aux buts au cours de laquelle il va s’imposer (3-3, 4-2 tab).
Mais avant ça, un d’entre eux va faire payer à Chris Arnaudet sa décision. « Il y avait trois Poitevins derrière moi et un d’entre eux m’a marché sur le pied sur le côté de la chaussure. Ça m’a fait tourner la cheville, je me suis accroupi, puis je me suis retrouvé sur les fesses. Je n’ai pas pu identifier le fautif. Mes assistants, le délégué du match, les spectateurs et les joueurs cognaçais non plus. »
Victime d’une entorse qui l’a endolori pendant deux jours, Chris Arnaudet doit regagner les vestiaires. Un de ses assistants prend le relais. « Je n’ai pas voulu arrêter le match pour ne pas sanctionner les Cognaçais qui n’y sont pour rien », glisse le jeune homme, qui n’a aucun doute sur le caractère intentionnel de l’agression....
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