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samedi, octobre 01, 2016
samedi, mai 21, 2016
LIGUE CENTRE-OUEST/AQUITAINE : Saïd ENNJIMI officiellement candidat à la présidence...
Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans ARBITRE, CANDIDAT, FOOTBALL, LIGUE CENTRE-OUEST/AQUITAINE, PRÉSIDENCE, Saïd ENNJIMI
Publié le 21/05/2016 - "Au travers de mes expériences footballistiques et professionnelles,
et au crépuscule de ma carrière d'arbitre international, je souhaite
apporter ma contribution à la gestion et à la gouvernance du football
dans ma région, le Centre-Ouest, désormais en passe d'être étendue à
l'Aquitaine", écrit le limougeaud Saïd Ennjimi dans le communiqué annonçant sa candidature.
Parmi les propositions défendues dans son programme, Saïd Ennjimi annonce vouloir "lutter contre les incivilités", accentuer la féminisation du football, "que ce soit sur le terrain ou dans les instances dirigeantes, ma liste comportera le maximum de candidates", ou encore mettre en place des partenariats avec des clubs professionnels pour développer l'échange de joueurs.
Pour rappel, Saïd Ennjimi a été suspendu des terrains de Ligue 1 l'an dernier pendant plusieurs mois pour l'affaire des maillots, et exclu de la liste des arbitres internationaux en septembre dernier.
L'election du président de la ligue Centre-Ouest-Aquitaine est prévue pour janvier 2017.
Parmi les propositions défendues dans son programme, Saïd Ennjimi annonce vouloir "lutter contre les incivilités", accentuer la féminisation du football, "que ce soit sur le terrain ou dans les instances dirigeantes, ma liste comportera le maximum de candidates", ou encore mettre en place des partenariats avec des clubs professionnels pour développer l'échange de joueurs.
Pour rappel, Saïd Ennjimi a été suspendu des terrains de Ligue 1 l'an dernier pendant plusieurs mois pour l'affaire des maillots, et exclu de la liste des arbitres internationaux en septembre dernier.
L'election du président de la ligue Centre-Ouest-Aquitaine est prévue pour janvier 2017.
Source : FRANCE 3
mercredi, mai 11, 2016
UNAF MIDI-TOULOUSAIN : à 23 ans seulement... Anthony REINHARD est candidat ...
Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans ARBITRAGE, ARBITRE, CANDIDAT, ÉLECTIONS, LIGUE DE MIDI-PYRÉNÉES, MIDI-TOULOUSAIN, UNAF
mercredi, janvier 20, 2016
LIGUE DE LORRAINE : Rencontre avec Christophe TANI, jeune arbitre de ligue et candidat JAF...
Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans ARBITRAGE, CANDIDAT, Christophe TANI, FOOTBALL, JEUNE ARBITRE, LIGUE DE LORRAINE
mardi, juin 23, 2015
LIGUE DU CENTRE-OUEST : Saïd ENNJIMI officiellement candidat....
Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans ARBITRE, CANDIDAT, FOOTBALL, LIGUE DU CENTRE-OUEST, PRÉSIDENT, Saïd ENNJIMI
Publié le 23/06/2015 - Saïd Ennjimi a pris sa décision. Il va briguer le poste de président de la Ligue du Centre-Ouest en juillet 2016.
Ça faisait un an qu'il réfléchissait. Qu'il faisait le tour des clubs. Qu'il rencontrait des acteurs du football, dirigeants et bénévoles. Tout ça pour savoir s'il devait y aller ou pas. Hier, avec le soutien officiel de Jean-Pierre Karaquillo, le cofondateur du CDES de Limoges, Saïd Ennjimi a officialisé sa décision. Il va se lancer dans la campagne électorale en vue de se faire élire à la présidence de la Ligue du Centre-Ouest en juillet l'année prochaine.
Ça faisait un an qu'il réfléchissait. Qu'il faisait le tour des clubs. Qu'il rencontrait des acteurs du football, dirigeants et bénévoles. Tout ça pour savoir s'il devait y aller ou pas. Hier, avec le soutien officiel de Jean-Pierre Karaquillo, le cofondateur du CDES de Limoges, Saïd Ennjimi a officialisé sa décision. Il va se lancer dans la campagne électorale en vue de se faire élire à la présidence de la Ligue du Centre-Ouest en juillet l'année prochaine.
Une campagne sur les idées pas sur les critiques
S'il a décidé de franchir le pas, c'est que Saïd Ennjimi a listé trois éléments primordiaux à ses yeux : « D'abord, il y a Henri Monteil (ndlr l'actuel président) qui a décidé de ne pas se représenter. Jamais je ne me serais présenté contre lui. Henri Monteil m'a toujours soutenu, même quand j'étais en difficulté. Je ne vais pas dire du mal de cet homme qui a contribué à ma réussite. Quand il est venu à l'AG du LFC (ndlr, le 11 juin), il m'a dit qu'il n'avait pas de candidat ce qui m'a conforté dans ma décision. Ensuite, durant un an, les clubs et des présidents de District que j'ai rencontrés m'ont confirmé à quel point ils souhaitaient du changement. Enfin, je suis convaincu que je peux apporter quelque chose à cette Ligue pour assurer la continuité d'un travail qui a été bien fait mais également en amenant des choses nouvelles. »
Saïd Ennjimi va mener campagne avec ses convictions, ses idées et sa détermination. « J'espère que ce sera une campagne basée sur les idées et pas sur les critiques. Je veux rassembler. La liste que je vais présenter est très avancée et pratiquement finalisée. »
« Je suis un homme de terrain »
L'arbitre international va donc poursuivre l'action qu'il mène sur le terrain depuis plusieurs mois. « Ça va être à moi de continuer à aller voir les clubs. Ma place est à Sardent ou comme récemment à Verdille en Charente dans un bourg de 350 habitants qui a célébré Adrien Silva, un international portugais capitaine du Sporting Portugal. »
Le Limougeaud assure que la place qu'il brigue n'est pas de nature à le voir occuper rapidement des fonctions au plus haut niveau fédéral. « Je n'ai pas cette volonté du fait de ma jeunesse. Il faut apprendre d'abord auprès des clubs du District et de la Ligue. Saïd Ennjimi va partir en campagne pour « remettre le foot au centre des débats. Il n'y a que le terrain qui compte et je suis un homme de terrain. »
Source : LE POPULAIRE
mardi, mars 03, 2015
LIGUE DU CENTRE-OUEST : Saïd ENNJIMI, une candidature toujours dans les cartons....
Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans ARBITRE, CANDIDAT, FOOTBALL, LIGUE DU CENTRE-OUEST, PRÉSIDENT, Saïd ENNJIMI
Publié le 03/03/2015 - Dans une semaine précisément, le sémillant Saïd Ennjimi (41 ans) sera à Poitiers afin de rencontrer le district et les clubs de la Vienne autour d'un apéro-débat (1). Depuis l'annonce du retrait d'Henri Monteil (69 ans) à la tête de la Ligue, l'arbitre phare du Centre-Ouest visite les départements, écoute, échange, propose. Bref, il prend le pouls des futurs électeurs quant à la pertinence de sa candidature au sommet du foot régional. Dynamique, doté d'un carnet d'adresses fourni, le gérant d'un cabinet d'expertise-comptable à Limoges promet de dépoussiérer l'instance basée en Charente.
Quels districts avez-vous déjà rencontrés?
« Depuis septembre, j'ai ouvert la consultation en Haute-Vienne, chez moi, avant d'aller au-devant des dirigeants de la Creuse et de la Corrèze. Lundi prochain, je serai en Charente, puis le lendemain dans la Vienne. J'ai souhaité ces rencontres après une réflexion personnelle par rapport à ma future reconversion. Henri Monteil, en annonçant son départ, a également favorisé mon action. Mais je ne serai candidat que si les clubs sont chauds. »
Quels retours avez-vous pour l'instant?
« Que du positif! On sent une vraie envie de changement, de démocratie. Sincèrement, j'espère que d'autres listes vont se positionner afin que des échanges et des débats s'engagent. Je n'ai pas de leçon à donner, je veux juste faire bouger les choses et apporter mon expérience. Je veux remettre le foot au centre des débats. »
Ce n'était pas le cas?
« Henri Monteil et son équipe ont bien géré la Ligue financièrement. Mais les résultats ne sont pas à la hauteur, les clubs ont par ailleurs un mal fou à boucler leur budget. Il faut favoriser le développement des partenaires, étudier comment on pourrait réduire les charges. Avec le découpage fédéral, le cas des techniciens va devenir également prégnant. Enfin, notre ligue a besoin d'une plus grande visibilité. A travers internet notamment. Mes collègues arbitres me chambrent souvent: "C'est où ta Ligue?" C'est amical mais il y a une part de vérité. »
Quel regard l'équipe dirigeante actuelle porte-t-elle à votre démarche?
« Elle est en place depuis tellement longtemps que ça bouscule leurs habitudes (3). Ce n'est pas propre au Centre-Ouest. Il a fallu l'arrivée de Le Graët à la présidence de la Fédération pour que ça bouge au plan national. Le système est sclérosé. »
On imagine que toute une équipe vous accompagne. Il y a du monde derrière vous, n'est-ce pas?
« Absolument. Mais je tiens à protéger chaque personne tant que ma candidature n'est pas officielle. Il sera toujours temps de les mettre en avant plus tard. »
Qu'est-ce que vous avez à gagner dans cette aventure?
« Rien. Mais c'est une évidence pour moi de rendre à la Ligue ce qu'elle m'a donné. Elle a fait de moi l'homme que je suis. Le foot est ma passion. Je suis un gamin de quartier de Limoges qui a réussi son intégration grâce au sport (2). Je ne viens pas chercher un bâton de maréchal, j'ai réussi dans ma vie professionnelle. Je le répète, je veux servir la ligue par le dynamisme, la gnaque et la représentativité. »
Le week-end dernier vous étiez au repos. Ça ressemble à quoi un arbitre international sans match à diriger?
« Je reste attentif à l'actualité bien sûr, je regarde des matchs tout en allant à la rencontre des petits clubs. Je l'ai toujours fait, disons qu'aujourd'hui je le fais avec davantage de conviction et de plaisir. »
Quand allez-vous siffler la fin de votre carrière sportive?
« Il n'y a plus de limite d'âge. Ce sont les tests physiques qui font foi. Philippe Kalt arbitre encore à 46 ans. J'espère avoir encore cinq ou six belles années devant moi. »
(1) Mardi 10 mars, Saïd Ennjimi sera au district de la Vienne à partir de 19h afin de rencontrer Philippe Guilbault et les représentants des clubs de la Vienne.
(2) Henri Monteil va quitter la ligue du Centre-Ouest après 24 ans de présidence.
(3) Saïd Ennjimi, qui est né à Casablanca, est arrivé à Limoges à 2 ans.
Quels districts avez-vous déjà rencontrés?
« Depuis septembre, j'ai ouvert la consultation en Haute-Vienne, chez moi, avant d'aller au-devant des dirigeants de la Creuse et de la Corrèze. Lundi prochain, je serai en Charente, puis le lendemain dans la Vienne. J'ai souhaité ces rencontres après une réflexion personnelle par rapport à ma future reconversion. Henri Monteil, en annonçant son départ, a également favorisé mon action. Mais je ne serai candidat que si les clubs sont chauds. »
Quels retours avez-vous pour l'instant?
« Que du positif! On sent une vraie envie de changement, de démocratie. Sincèrement, j'espère que d'autres listes vont se positionner afin que des échanges et des débats s'engagent. Je n'ai pas de leçon à donner, je veux juste faire bouger les choses et apporter mon expérience. Je veux remettre le foot au centre des débats. »
Ce n'était pas le cas?
« Henri Monteil et son équipe ont bien géré la Ligue financièrement. Mais les résultats ne sont pas à la hauteur, les clubs ont par ailleurs un mal fou à boucler leur budget. Il faut favoriser le développement des partenaires, étudier comment on pourrait réduire les charges. Avec le découpage fédéral, le cas des techniciens va devenir également prégnant. Enfin, notre ligue a besoin d'une plus grande visibilité. A travers internet notamment. Mes collègues arbitres me chambrent souvent: "C'est où ta Ligue?" C'est amical mais il y a une part de vérité. »
Quel regard l'équipe dirigeante actuelle porte-t-elle à votre démarche?
« Elle est en place depuis tellement longtemps que ça bouscule leurs habitudes (3). Ce n'est pas propre au Centre-Ouest. Il a fallu l'arrivée de Le Graët à la présidence de la Fédération pour que ça bouge au plan national. Le système est sclérosé. »
On imagine que toute une équipe vous accompagne. Il y a du monde derrière vous, n'est-ce pas?
« Absolument. Mais je tiens à protéger chaque personne tant que ma candidature n'est pas officielle. Il sera toujours temps de les mettre en avant plus tard. »
Qu'est-ce que vous avez à gagner dans cette aventure?
« Rien. Mais c'est une évidence pour moi de rendre à la Ligue ce qu'elle m'a donné. Elle a fait de moi l'homme que je suis. Le foot est ma passion. Je suis un gamin de quartier de Limoges qui a réussi son intégration grâce au sport (2). Je ne viens pas chercher un bâton de maréchal, j'ai réussi dans ma vie professionnelle. Je le répète, je veux servir la ligue par le dynamisme, la gnaque et la représentativité. »
Le week-end dernier vous étiez au repos. Ça ressemble à quoi un arbitre international sans match à diriger?
« Je reste attentif à l'actualité bien sûr, je regarde des matchs tout en allant à la rencontre des petits clubs. Je l'ai toujours fait, disons qu'aujourd'hui je le fais avec davantage de conviction et de plaisir. »
Quand allez-vous siffler la fin de votre carrière sportive?
« Il n'y a plus de limite d'âge. Ce sont les tests physiques qui font foi. Philippe Kalt arbitre encore à 46 ans. J'espère avoir encore cinq ou six belles années devant moi. »
(1) Mardi 10 mars, Saïd Ennjimi sera au district de la Vienne à partir de 19h afin de rencontrer Philippe Guilbault et les représentants des clubs de la Vienne.
(2) Henri Monteil va quitter la ligue du Centre-Ouest après 24 ans de présidence.
(3) Saïd Ennjimi, qui est né à Casablanca, est arrivé à Limoges à 2 ans.
Saïd Ennjimi (41 ans) est arbitre fédéral depuis 1998. International depuis 2008. Il est licencié au Limoges FC.
Premier match au niveau national: à Rebeilleau au milieu des années 1980 (la réserve du Stade était alors en D4).
Une ambiance marquante en France: « Il y a en beaucoup. Mais quand le stade Bollaert à Lens chante les Corons et la Marseillaise avant les matchs, c'est exceptionnel. »
Une ambiance marquante à l'étranger: « Un match de préparation à l'Amrs Park de Cardiff entre l'Irlande et l'Uruguay. Inoubliable. »
L'équipe la plus difficile à diriger: « Celle qui se bat pour ne pas descendre. On ne peut s'empêcher de penser que de nos décisions dépendent le sort d'un staff, des joueurs et des dizaines de salariés administratifs. Au PSG, la pression est seulement médiatique. »
Votre équipe préférée en L1: « J'ai été supporter et je le serai encore après mon dernier coup de sifflet. Mais dans ma situation, je préfère rester discret (amusé). »
La peur sur un terrain: « Un match de DHR en Corrèze. Un balèze m'avait déchiré la chemisette... Je profite de l'occasion pour avoir une pensée pour mes collègues de ligue et de district, dont l'intégrité est parfois menacée. Moi, je ne risque rien dans une enceinte de L1. Même quand 50.000 personnes me crachent dessus... »
Recueilli par Laurent Bénéat - Source : CENTRE-PRESSE
Premier match au niveau national: à Rebeilleau au milieu des années 1980 (la réserve du Stade était alors en D4).
Une ambiance marquante en France: « Il y a en beaucoup. Mais quand le stade Bollaert à Lens chante les Corons et la Marseillaise avant les matchs, c'est exceptionnel. »
Une ambiance marquante à l'étranger: « Un match de préparation à l'Amrs Park de Cardiff entre l'Irlande et l'Uruguay. Inoubliable. »
L'équipe la plus difficile à diriger: « Celle qui se bat pour ne pas descendre. On ne peut s'empêcher de penser que de nos décisions dépendent le sort d'un staff, des joueurs et des dizaines de salariés administratifs. Au PSG, la pression est seulement médiatique. »
Votre équipe préférée en L1: « J'ai été supporter et je le serai encore après mon dernier coup de sifflet. Mais dans ma situation, je préfère rester discret (amusé). »
La peur sur un terrain: « Un match de DHR en Corrèze. Un balèze m'avait déchiré la chemisette... Je profite de l'occasion pour avoir une pensée pour mes collègues de ligue et de district, dont l'intégrité est parfois menacée. Moi, je ne risque rien dans une enceinte de L1. Même quand 50.000 personnes me crachent dessus... »
Recueilli par Laurent Bénéat - Source : CENTRE-PRESSE
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