Affichage des articles dont le libellé est DÉCLARATION. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est DÉCLARATION. Afficher tous les articles
samedi, février 11, 2017
jeudi, janvier 15, 2015
FFF/LFP - AC AJACCIO : Alain ORSONI menace la FFF du tribunal administratif !!
Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans AC AJACCIO, ACTUALITÉS, Alain ORSONI, ARBITRAGE, ARBITRES, DÉCLARATION, ÉTHIQUE, SUSPENSION
Publié le 15/01/2015 - Alain Orsoni : "Je n'accepte pas la décision de la commission d'éthique de la FFF !"
Dans une lettre postée sur le site de club de l’ACA le 14 janvier (http://www.ac-ajaccio.com/) Alain Orsoni président du club, s’étonne de la sanction prise à son encontre par commission d’éthique de la FFF pour l’avis qu’il avait publiquement émis sur l’arbitrage douteux du match qui opposait l’ACA à Angers. Interdit pour 4 matches, le président refuse cette sanction qui pour lui va à l’encontre de la liberté d’expression et se dit prêt, par principe, à saisir le tribunal administratif.
Au soir du match opposant l'AC Aiaccio à Angers, j'ai eu l'outrecuidance de déclarer que l'arbitrage avait été incroyablement mauvais. Deux penaltys oubliés par M. l'arbitre et un résultat, à mon sens faussé, par l'incompétence de ce même arbitre ! (NDLR : l'arbitre était Alexandre PERREAU NIEL)
Dans une lettre postée sur le site de club de l’ACA le 14 janvier (http://www.ac-ajaccio.com/) Alain Orsoni président du club, s’étonne de la sanction prise à son encontre par commission d’éthique de la FFF pour l’avis qu’il avait publiquement émis sur l’arbitrage douteux du match qui opposait l’ACA à Angers. Interdit pour 4 matches, le président refuse cette sanction qui pour lui va à l’encontre de la liberté d’expression et se dit prêt, par principe, à saisir le tribunal administratif.
Au soir du match opposant l'AC Aiaccio à Angers, j'ai eu l'outrecuidance de déclarer que l'arbitrage avait été incroyablement mauvais. Deux penaltys oubliés par M. l'arbitre et un résultat, à mon sens faussé, par l'incompétence de ce même arbitre ! (NDLR : l'arbitre était Alexandre PERREAU NIEL)
J'exprimais là mon opinion, ce qui me vaut une interdiction de 4 matchs par la commission d'éthique de la FFF.
Je tiens à préciser que notre club se fait un devoir de respecter les arbitres et de les accueillir dans le respect de l'hospitalité corse. Je pense pouvoir affirmer que ces derniers ne s'en plaignent pas et nous remercient de notre accueil.
Je respecte d'ailleurs également les membres de cette commission de l'éthique bien que j'ignore sur quels critères, en vertu de quelles compétences particulières lesdits membres sont choisis...
"Je n'accepte pas la décision de la commission qui prétend m'interdire pour quatre matchs"
Pour autant, mon éthique personnelle voue un attachement sans exclusive à la liberté d'expression ! Thème hélas à l'ordre du jour pour les raisons que l'on sait. C'est pourquoi, je persiste et je signe, l'arbitrage ce soir-là a été, à mon sens, très mauvais. J'ai d'ailleurs regretté qu'en Corse, contrairement à ce qui se fait partout ailleurs en France, il n'y ait jamais d'observateurs mandatés pour superviser l'arbitrage !
En conséquence, étant entendu que mes propos peuvent ne pas avoir été appréciés mais qu'ils n'ont été en aucun cas injurieux ou diffamatoires, je répète que l'arbitrage ce soir-là a été très, très, très mauvais. Je n'accepte pas la décision de la commission qui prétend m'interdire pour quatre matchs (m'interdire de quoi d'ailleurs, cela n'est pas précisé).
"Déterminé à poursuivre l'action jusque devant les tribunaux administratifs"
Je considère être dans mon bon droit en exprimant une opinion, certains propos critiquant l'arbitrage de tel ou tel match ont été, me semble-t-il, exprimé par d'autres sans que l'on ait jugé utile de saisir les spécialistes de l'éthique...
Au nom de la liberté d'expression, je refuse cette sanction, je n'en tiendrais nullement compte, j'en fais appel et je suis déterminé à poursuivre l'action jusque devant les tribunaux administratifs si cela est nécessaire. J'en fais une question de principe !
Bien respectueusement, et avec toute ma détermination.
Alain Orsoni, Président de l'AC Ajaccio
Source : CORSENETINFOS
LFP - MONACO / GUINGAMP : GOURVENNEC n'accable pas Nicolas RAINVILLE...
Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans ARBITRE, AS MONACO, COUPE DE LA LIGUE, DÉCLARATION, GUINGAMP, Jocelyn GOURVENNEC, LFP, NICOLAS RAINVILLE
Publié le 15/01/2015 - Privé de demi-finale de Coupe de la Ligue mercredi après sa défaite à Monaco (2-0), Guingamp aurait pu s'estimer lésé par l'arbitrage de M. Rainville, mais l'entraîneur breton, Jocelyn Gourvennec, a préféré ne pas jeter de l'huile sur le feu.
Battu sur le terrain de Monaco (2-0), mercredi en huitièmes de finale de la Coupe de la Ligue, Guingamp aurait pu espérer mieux, comme le souligne son entraîneur Jocelyn Gourvennec sur le site du club costarmoricain.
"Des regrets ? Oui car on a eu beaucoup d’occasions. Monaco aussi. C’était un match très bizarre. Le constat, c’est qu’on est déçus car éliminés et seule la qualification compte. C’était un vrai match de Coupe. On s’est retrouvés menés contre le cours du jeu car on a eu les occasions avant. A dix, on n’a pas été entamés, on a contraint Monaco à défendre. On a été très performants à dix, dans l’état d’esprit et l’organisation. On peut regretter un manque d’adresse, mais il y a eu un poteau, une barre."
Malgré un arbitrage pas forcément favorable de la part de M. Rainville, qui a expulsé plutôt sévèrement Christophe Mandanne (36e) et peut-être oublié un penalty en faveur de Claudio Beauvue (64e), le technicien de 42 ans n'a pas voulu entretenir la polémique: "L’expulsion ? D’où je suis, c’est très sévère. On me dit qu’il y a une agression caractérisée de Carvalho, juste avant. Si c’est ça, l’arbitre fera un rapport, je n’en doute pas. Il y a peut-être aussi un penalty sur Claudio (Beauvue) mais je ne veux pas dire tout et n’importe quoi. Chacun jugera." Une réaction prudente et mesurée qui met en exergue le fair-play du coach breton.
Battu sur le terrain de Monaco (2-0), mercredi en huitièmes de finale de la Coupe de la Ligue, Guingamp aurait pu espérer mieux, comme le souligne son entraîneur Jocelyn Gourvennec sur le site du club costarmoricain.
"Des regrets ? Oui car on a eu beaucoup d’occasions. Monaco aussi. C’était un match très bizarre. Le constat, c’est qu’on est déçus car éliminés et seule la qualification compte. C’était un vrai match de Coupe. On s’est retrouvés menés contre le cours du jeu car on a eu les occasions avant. A dix, on n’a pas été entamés, on a contraint Monaco à défendre. On a été très performants à dix, dans l’état d’esprit et l’organisation. On peut regretter un manque d’adresse, mais il y a eu un poteau, une barre."
Malgré un arbitrage pas forcément favorable de la part de M. Rainville, qui a expulsé plutôt sévèrement Christophe Mandanne (36e) et peut-être oublié un penalty en faveur de Claudio Beauvue (64e), le technicien de 42 ans n'a pas voulu entretenir la polémique: "L’expulsion ? D’où je suis, c’est très sévère. On me dit qu’il y a une agression caractérisée de Carvalho, juste avant. Si c’est ça, l’arbitre fera un rapport, je n’en doute pas. Il y a peut-être aussi un penalty sur Claudio (Beauvue) mais je ne veux pas dire tout et n’importe quoi. Chacun jugera." Une réaction prudente et mesurée qui met en exergue le fair-play du coach breton.
Source : SPORTS.fr
lundi, décembre 15, 2014
LIGUE 1 - Le président d'EVIAN TG : "Je crois que l'arbitrage y est pour quelque chose"
Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans DÉCLARATION, EVIAN THONON GAILLARD, FOOTBALL, LIGUE 1, STADE DE REIMS
Dans les travées du stade Auguste-Delaune, la colère haut-savoyarde n’est jamais vraiment redescendue. S’estimant lésés, les hommes de Pascal Dupraz ont pointé du doigt l’arbitrage, une semaine après le penalty accordé à l’OL pour une main inexistante. « De toute façon, nous, on ne dit jamais rien », pestait Sorlin, le capitaine. Alors, avant de remonter dans le bus, le président Joël Lopez est monté au créneau.
Joël, quel est votre sentiment après cette défaite ?
«On ressent une grosse déception et une grosse frustration. Il y a des décisions arbitrales qui nous sont défavorables. Le deuxième but est entaché d’une faute. A priori, on a aussi le droit de tacler à hauteur du genou (en référence à la faute de Signorino sur Nsikulu, NDLR) et n’être sanctionné que d’un carton jaune. On ne méritait pas de perdre, ni de finir à dix. L’arbitre aurait pu faire preuve de psychologie. C’est une accumulation de faits de jeu et de décisions qui actuellement nous sont défavorables. Sur nos deux derniers matches, on prend zéro point et je crois que l’arbitrage y est pour quelque chose. »
Estimez-vous qu’il y a une volonté de nuire au club ?
« Non, je ne crois pas. Je ne vois pas les choses comme ça, il ne faut pas devenir parano mais ce qui est évident, c’est qu’on est mal arbitré. C’est sur des petits détails comme ça qu’on perd des matches. C’est très pénalisant. »
Est-il plus facile de siffler contre l’ETG ?
« J’essaie de rester assez objectif et lucide. Les arbitres assistants ont été catastrophiques, ils ne prennent pas les bonnes décisions. Ils sont à quatre-cinq mètres de l’action. Le tacle sur Nsikulu, ça vaut un carton rouge et le match est différent. Ce sont des petites décisions comme ça qui ne vont pas dans notre sens. C’était Chapron contre l’OL (2-3), là c’était l’arbitre qui nous a arbitrés à Toulouse où il avait manifestement oublié un penalty en notre faveur. L’arbitre est… de qualité moyenne pour rester gentil. »
Craignez-vous des suspensions pour Cédric Barbosa ou Olivier Sorlin, très remontés à l’issue du match ?
« Non, je pense que ça suffit. On a des joueurs qui se comportent bien, qui ont de l’expérience. S’ils ont contesté de façon virulente sur la fin de match, c’est qu’il y avait vraiment un sentiment d’injustice. Encore une fois, sur le match qu’on a réalisé, avec tous les efforts consentis, on ne méritait pas de perdre. »
Joël, quel est votre sentiment après cette défaite ?
«On ressent une grosse déception et une grosse frustration. Il y a des décisions arbitrales qui nous sont défavorables. Le deuxième but est entaché d’une faute. A priori, on a aussi le droit de tacler à hauteur du genou (en référence à la faute de Signorino sur Nsikulu, NDLR) et n’être sanctionné que d’un carton jaune. On ne méritait pas de perdre, ni de finir à dix. L’arbitre aurait pu faire preuve de psychologie. C’est une accumulation de faits de jeu et de décisions qui actuellement nous sont défavorables. Sur nos deux derniers matches, on prend zéro point et je crois que l’arbitrage y est pour quelque chose. »
Estimez-vous qu’il y a une volonté de nuire au club ?
« Non, je ne crois pas. Je ne vois pas les choses comme ça, il ne faut pas devenir parano mais ce qui est évident, c’est qu’on est mal arbitré. C’est sur des petits détails comme ça qu’on perd des matches. C’est très pénalisant. »
Est-il plus facile de siffler contre l’ETG ?
« J’essaie de rester assez objectif et lucide. Les arbitres assistants ont été catastrophiques, ils ne prennent pas les bonnes décisions. Ils sont à quatre-cinq mètres de l’action. Le tacle sur Nsikulu, ça vaut un carton rouge et le match est différent. Ce sont des petites décisions comme ça qui ne vont pas dans notre sens. C’était Chapron contre l’OL (2-3), là c’était l’arbitre qui nous a arbitrés à Toulouse où il avait manifestement oublié un penalty en notre faveur. L’arbitre est… de qualité moyenne pour rester gentil. »
Craignez-vous des suspensions pour Cédric Barbosa ou Olivier Sorlin, très remontés à l’issue du match ?
« Non, je pense que ça suffit. On a des joueurs qui se comportent bien, qui ont de l’expérience. S’ils ont contesté de façon virulente sur la fin de match, c’est qu’il y avait vraiment un sentiment d’injustice. Encore une fois, sur le match qu’on a réalisé, avec tous les efforts consentis, on ne méritait pas de perdre. »
Source : LE DAUPHINÉ LIBÉRÉ
NOTE DE LA RÉDACTION : Nous espérons tout de même que la Commission de Discipline de la LFP convoquera et sanctionnera le joueur Cédric BARBOSA, car on ne peut pas traiter impunément les arbitres "d'enculés" devant la Presse et s'en tiré les mains blanches, comme si rien ne s'était passé.
Inscription à :
Articles (Atom)