Publié le 06/07/2015 - Qui dit grand tournoi de football dit grands ambassadeurs du football. La Paris World Cup aura la chance d’accueillir Djamel Haimoudi la semaine du tournoi, qui aura pour rôle de parrainer ses arbitres. Cet ancien arbitre international (il a pris sa retraite l’an dernier) a notamment officié des matches de la Coupe du Monde au Brésil en 2014. Nous avons eu la chance de nous entretenir avec celui qui a officié le Brésil – Pays-Bas (petite finale) de cette dernière.
Paris World Cup : Quel a été votre parcours en tant qu’arbitre ?
Djamel Haimoudi : Mon parcours d’arbitre a commencé il y a 27 ans, et comme arbitre international il y a 13 ans. Au cours des dernières années, j’ai remporté de nombreux prix comme celui de meilleur arbitre de l’année qui été décerné par la CAF en 2012 et 2013. Je reste humble tout en étant fier de mon parcours. J’ai toujours aimé l’arbitrage et établir une notoriété nationale et internationale. J’ai ensuite été retenu parmi les meilleurs arbitres mondiaux pour la Coupe du Monde de Brésil 2014. Un moment franchement fantastique pour tout arbitre ambitieux, qui aspire à se distinguer et à se faire respecter dans le milieu. D’autant plus que ce n’est pas toujours facile !
PWC : Il y a un an jour pour jour, vous étiez sur les terrains brésiliens en train d’arbitrer des matches de la Coupe du Monde. Dans une dizaine de jours, vous participerez à la Paris World Cup, la Coupe du Monde des jeunes. Comment en êtes-vous arrivés là ?
DH : Un ami français, Roland William qui est également arbitre, avec qui je suis en contact depuis 4 ans, m’a parlé de ce tournoi. Je suis très heureux de participer à ce grand évènement.
Quel est votre état d’esprit avant le début de la Paris World Cup ? Le même qu’avant le début de la Coupe du Monde il y a un an ?
Non, ce n’est pas la même chose. La Coupe du Monde des « grands », ça a été le résultat de longues années de travail et de sacrifices. Mais c’est avec grand plaisir que je vais participer à la réussite de la Paris World Cup.
Vous avez une grande expérience en tant qu’arbitre international. Aurez-vous un rôle auprès des arbitres de la Paris World Cup ? Allez-vous leur donner des conseils ?
Oui je serai à leur disposition durant ce tournoi. Qu’ils profitent de l’expérience, théorique et pratique. Mon conseil sera de donner une bonne image pour contribuer a la réussite du tournoi mais aussi de prendre du plaisir en arbitrant, en vivant l’émotion.
Qu’est ce que vous a apporté votre métier ?
Il m’a beaucoup apporté sur le plan relationnel et sur l’arbitrage en général.
Il y aura de multiples nationalités à la Paris World Cup. Est-ce vraiment une difficulté pour les arbitres de ne pas parler la même langue que les joueurs ou le football est un langage universel ?
Non, pas de grandes difficulté puisque l’arbitre ne fait qu’appliquer les lois du jeu. Il n’est pas obligé de beaucoup parler. Il faut utiliser les termes justes pour faire régner l’ordre. Dans l’ensemble, le plus important dans la manière d’arbitre est de savoir comment appliquer les lois du jeu.
Quel a été le plus grand moment de votre carrière d’arbitre ?
Je pense qu’il n ya pas mieux qu’une telle fin de carrière, avec à la clé 4 matches de Coupe du Monde, dont la petite finale Pays-Bas – Brésil.
Vous avez arbitré des matches mettant en scène de grands champions comme Thiago Silva, Arjen Robben, Eden Hazard, Luis Suarez ou encore Andres Iniesta. Comment se sent-on dans ces matches là ?
Arbitrer de tels joueurs avec un tel niveau, c’est un exploit. Ce sont des joueurs professionnels respectueux, et donc forcément un immense plaisir.
Avez-vous une philosophie dans votre manière d’arbitrer ?
Oui, je travaille toujours sur le plan physique et technique. J’essaye de lire l’intention des joueurs pour bien anticiper, mais aussi de gérer les caractères de chacun.
Pour finir, avez-vous un message à faire passer aux participants de la Paris World Cup ?
Prenez du plaisir, donnez le meilleur de vous pour contribuer a la réussite de la Paris World Cup !
Paris World Cup : Quel a été votre parcours en tant qu’arbitre ?
Djamel Haimoudi : Mon parcours d’arbitre a commencé il y a 27 ans, et comme arbitre international il y a 13 ans. Au cours des dernières années, j’ai remporté de nombreux prix comme celui de meilleur arbitre de l’année qui été décerné par la CAF en 2012 et 2013. Je reste humble tout en étant fier de mon parcours. J’ai toujours aimé l’arbitrage et établir une notoriété nationale et internationale. J’ai ensuite été retenu parmi les meilleurs arbitres mondiaux pour la Coupe du Monde de Brésil 2014. Un moment franchement fantastique pour tout arbitre ambitieux, qui aspire à se distinguer et à se faire respecter dans le milieu. D’autant plus que ce n’est pas toujours facile !
PWC : Il y a un an jour pour jour, vous étiez sur les terrains brésiliens en train d’arbitrer des matches de la Coupe du Monde. Dans une dizaine de jours, vous participerez à la Paris World Cup, la Coupe du Monde des jeunes. Comment en êtes-vous arrivés là ?
DH : Un ami français, Roland William qui est également arbitre, avec qui je suis en contact depuis 4 ans, m’a parlé de ce tournoi. Je suis très heureux de participer à ce grand évènement.
Quel est votre état d’esprit avant le début de la Paris World Cup ? Le même qu’avant le début de la Coupe du Monde il y a un an ?
Non, ce n’est pas la même chose. La Coupe du Monde des « grands », ça a été le résultat de longues années de travail et de sacrifices. Mais c’est avec grand plaisir que je vais participer à la réussite de la Paris World Cup.
Vous avez une grande expérience en tant qu’arbitre international. Aurez-vous un rôle auprès des arbitres de la Paris World Cup ? Allez-vous leur donner des conseils ?
Oui je serai à leur disposition durant ce tournoi. Qu’ils profitent de l’expérience, théorique et pratique. Mon conseil sera de donner une bonne image pour contribuer a la réussite du tournoi mais aussi de prendre du plaisir en arbitrant, en vivant l’émotion.
Qu’est ce que vous a apporté votre métier ?
Il m’a beaucoup apporté sur le plan relationnel et sur l’arbitrage en général.
Il y aura de multiples nationalités à la Paris World Cup. Est-ce vraiment une difficulté pour les arbitres de ne pas parler la même langue que les joueurs ou le football est un langage universel ?
Non, pas de grandes difficulté puisque l’arbitre ne fait qu’appliquer les lois du jeu. Il n’est pas obligé de beaucoup parler. Il faut utiliser les termes justes pour faire régner l’ordre. Dans l’ensemble, le plus important dans la manière d’arbitre est de savoir comment appliquer les lois du jeu.
Quel a été le plus grand moment de votre carrière d’arbitre ?
Je pense qu’il n ya pas mieux qu’une telle fin de carrière, avec à la clé 4 matches de Coupe du Monde, dont la petite finale Pays-Bas – Brésil.
Vous avez arbitré des matches mettant en scène de grands champions comme Thiago Silva, Arjen Robben, Eden Hazard, Luis Suarez ou encore Andres Iniesta. Comment se sent-on dans ces matches là ?
Arbitrer de tels joueurs avec un tel niveau, c’est un exploit. Ce sont des joueurs professionnels respectueux, et donc forcément un immense plaisir.
Avez-vous une philosophie dans votre manière d’arbitrer ?
Oui, je travaille toujours sur le plan physique et technique. J’essaye de lire l’intention des joueurs pour bien anticiper, mais aussi de gérer les caractères de chacun.
Pour finir, avez-vous un message à faire passer aux participants de la Paris World Cup ?
Prenez du plaisir, donnez le meilleur de vous pour contribuer a la réussite de la Paris World Cup !
Source : http://www.parisworldcup.com/fr