Publié le 20/02/2016 - Son visage et sa longue silhouette sont familiers des amateurs de tennis de table quimpérois.
Depuis de longues années, Gérard Le Pape officie régulièrement en tant qu’arbitre lors des matches de championnat du Quimper Cornouaille Tennis de Table à la halle des sports d’Ergué-Armel.
Moins nombreux sont ceux qui connaissent l’incroyable carrière de ce juge-arbitre international, à la trajectoire remarquable. « J’ai débuté le tennis de table à l’âge 13-14 ans, comme joueur, à l’Amicale laïque de Plonéour-Lanvern », raconte celui qui, depuis maintenant 45 ans, est resté fidèle au club bigouden.
Ma plus grande émotion restera l’arbitrage de la finale du championnat du Monde à Paris en 2003. Au départ, personne n’aurait parié un euro sur moi pour la finale.
L’arbitrage, Gérard Le Pape y vient d’abord pour dépanner. « J’ai fait ça pour rendre service au départ. Puis j’ai passé tous les examens pour m’engager dans cette voie. »
En 1984, il devient logiquement arbitre départemental avant d’accéder au rang régional deux ans plus tard.
En 1990, il réussit les examens qui le propulsent arbitre national. Il lui faudra encore patienter huit ans pour devenir arbitre international, puis juge-arbitre national la même année.
Enfin, consécration suprême, il obtient, en 2003, le “blue-badge”, le grade le plus élevé dans la hiérarchie des arbitres. Il permet d’exercer dans le cadre des phases finales de compétitions telles que les championnats du monde ou les Jeux olympiques.
Depuis de longues années, Gérard Le Pape officie régulièrement en tant qu’arbitre lors des matches de championnat du Quimper Cornouaille Tennis de Table à la halle des sports d’Ergué-Armel.
Moins nombreux sont ceux qui connaissent l’incroyable carrière de ce juge-arbitre international, à la trajectoire remarquable. « J’ai débuté le tennis de table à l’âge 13-14 ans, comme joueur, à l’Amicale laïque de Plonéour-Lanvern », raconte celui qui, depuis maintenant 45 ans, est resté fidèle au club bigouden.
Ma plus grande émotion restera l’arbitrage de la finale du championnat du Monde à Paris en 2003. Au départ, personne n’aurait parié un euro sur moi pour la finale.
L’arbitrage, Gérard Le Pape y vient d’abord pour dépanner. « J’ai fait ça pour rendre service au départ. Puis j’ai passé tous les examens pour m’engager dans cette voie. »
En 1984, il devient logiquement arbitre départemental avant d’accéder au rang régional deux ans plus tard.
En 1990, il réussit les examens qui le propulsent arbitre national. Il lui faudra encore patienter huit ans pour devenir arbitre international, puis juge-arbitre national la même année.
Enfin, consécration suprême, il obtient, en 2003, le “blue-badge”, le grade le plus élevé dans la hiérarchie des arbitres. Il permet d’exercer dans le cadre des phases finales de compétitions telles que les championnats du monde ou les Jeux olympiques.
La consécration des JO...
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