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dimanche, octobre 22, 2017

LFP / FFF - LIGUE 2 - NÎMES / BREST : Les mensonges de Jean-Marc FURLAN au sujet de l'arbitrage de Karim ABED... Lamentable !!

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , , , , , , ,


Publié le 22/10/2017 - Décidément les habitudes ne changent pas, et les conférences de Presse des Clubs ne servent après-match qu'à (quand on a perdu évidemment), se trouver des excuses bidons, rassurer son public et ses supporters, et bien sûr le clou de la causerie : incriminer l'arbitrage et les arbitres sur qui reposent bien entendu la défaite 😡 par des pseudos théorie du complot et des accusations mensongères.

dimanche, novembre 23, 2014

LIGUE 2 - CAEN / NIMES : Le rapport du délégué dévoilé....

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , , ,


Le rapport du délégué chargé du match Caen-Nîmes (1-1) de Ligue 2 disputé le 13 mai et qui se trouve au centre de l’affaire de matches truqués présumés comportait bien des anomalies.

En deux parties, le rapport consigne la livraison de cartons de vin par les dirigeants nîmois devant les vestiaires des joueurs du Stade Malherbe de Caen selon Le Parisien qui s’est procuré le document. Le scénario du match est également détaillé: "Au cours du repas d'après-match, l'arbitre remplaçant a relaté que les deux bancs de touche avaient demandé à leurs joueurs d'arrêter le pressing au-delà de la ligne médiane."

Le délégué révèle aussi qu’à partir de la 70e minute, "dès qu’une équipe possède le ballon, celui-ci circule dans les pieds des joueurs sans qu’aucune attaque véritable ne se produise". A la suite de ce rapport, la LFP a saisi le service central des jeux et des courses. Une enquête a finalement été ouverte par la commission de discipline de la ligue.

Source : SPORTS.FR




jeudi, novembre 20, 2014

LIGUE 2 - NÎMES OLYMPIQUE : Serge KASPARIAN passe aux aveux...

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , ,

L'homme par qui le nouveau scandale du football français est arrivé est passé aux aveux. Serge Kasparian, 59 ans, principal actionnaire du Nîmes Olympique, a fini par craquer au cours de ses auditions dans les locaux des enquêteurs du service central des courses et jeux (SCCJ) à Nanterre (Hauts-de-Seine). Selon nos informations, l'homme a reconnu son implication dans les matchs truqués concernant au moins trois rencontres de Ligue 2 au cours de la saison 2013-2014.

Cet ancien brasseur et responsable du cercle de jeu Cadet, à Paris, aurait également indiqué avoir été régulièrement informé des « approches » opérées pour le compte du Nîmes Olympique par plusieurs intermédiaires auprès de dirigeants, entraîneurs et membres des staffs du Stade Malherbe de Caen (Calvados), du Dijon Football (Côte-d'Or) et du Cercle athlétique (CA) Bastiais (Haute-Corse).

Dall'Oglio, l'entraîneur de Dijon, remis en liberté

En revanche, dès le début de sa garde à vue, mardi matin, Jean-Marc Conrad, le président du Nîmes Olympique, a, lui, fait valoir son droit au silence. De son côté, Jean-François Fortin, le président du SM Caen, a nié en bloc les faits reprochés, tout comme Michel Moulin, éphémère conseiller sportif du PSG en 2008 et proche de Serge Kasparian. Ces quatre suspects devraient être présentés ce matin aux juges d'instruction Hervé Robert et Serge Tournaire, en vue de leur mise en examen pour « corruption active et passive de personnes dans le cadre de manifestations sportives ».

Deux autres personnes, interpellées mardi matin -- Franck Toutoundjian, président d'un club de foot amateur à Issy-les-Moulineaux (Hauts-de-Seine), et Kaddour Mokeddel, surnommé Pilou, responsable de la sécurité pour le compte du SM Caen --, devraient également être déférées devant la justice. Olivier Dall'Oglio, l'entraîneur de Dijon, également placé en garde à vue dans le cadre de cette vaste affaire de corruption présumée, a été remis en liberté, hier soir.

Utiliser les Crocos comme vitrine médiatique

Toujours selon nos informations, Serge Kasparian, également appelé Sarkis, aurait décidé de prendre le contrôle du club des Crocodiles de Nîmes afin de pouvoir disposer d'une vitrine médiatique. Les « manœuvres » mises en place afin de maintenir ce club en Ligue 2, mais qui végétait à l'avant-dernière place au moment de sa reprise par le duo Conrad-Kasparian, seraient liées à d'importants intérêts financiers. « En se maintenant en Ligue 2, le club de Nîmes a pu disposer de subventions et de droits télé qu'il n'aurait pas pu conserver en cas de descente en National », note une source proche de l'affaire.

Au fil de leurs investigations, les policiers de la Direction centrale de la police judiciaire (DCPJ) ont pu obtenir des éléments précis sur la nature des « échanges » entre les différents protagonistes de ce dossier. Ainsi, Serge Kasparian contacte, au mois de mai, avant le match contre le Stade lavallois, un de ses fils, Anthony, afin de savoir s'il connaît l'attaquant du club, Christian Bekamenga.

« C'est le seul qui est dangereux ce soir », estime alors l'actionnaire principal du Nîmes Olympique, avant d'ajouter : « Si on lui fait miroiter quelque chose, on va voir. » Le match se terminera finalement par une victoire des Crocodiles par 2 buts à 1. Mais les policiers n'ont pas pu établir si le joueur cité par Sarkis avait été ou non « approché ».

Source : LE PARISIEN