mercredi, octobre 15, 2014

La nouvelle mode au Rugby : l'Arbitrage Bashing.... mais que fait la LNR ?

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , ,

Qui est le meilleur tacleur d'arbitre ?

Il n'y a pas si longtemps, le rugby pouvait se targuer d'être un sport à part où le respect de l'arbitre, enseigné dès le plus jeune âge, faisait partie de ses valeurs fortes. Or, depuis quelques années, la remise en cause des décisions arbitrales n'est plus l'apanage des supporters. Nombre de joueurs et surtout d'entraîneurs semblent en effet avoir oublié ce qu'ils ont appris à l'école de rugby. Après chaque rencontre, et même pendant, les critiques fusent. En football, on appelle cela de « l'arbitrage bashing », et il tend à se rependre dans le rugby et ce, en dépit des nouvelles mesures de la LNR. Laquelle n'a jusqu'à présent pas vraiment sévi.

Au final, c'est l'image du rugby qui est écorchée. Les enjeux sportifs et financiers ont tellement pris le dessus sur l'humain, que l'on oublie souvent à quel point il est difficile de recruter des arbitres. Lesquels, et il faut le rappeler, sont avant tout humains. À l'instar des joueurs, ils peuvent commettre des erreurs. Mais est-ce une raison pour les tacler semaine après semaine ? Certains comme Laurent Labit, co-entraîneur du Racing-Métro, ne s'en privent pas, et ce, en dépit des risques de suspension. Suite à la défaite de son équipe dans le derby de la capitale face au Stade Français ce samedi (23-19), l'entraîneur des arrières Ciel et Blanc n'a pas mâché ses mots envers Jacob Van Heerden, l'arbitre sud-africain du match : « Il s'est bien promené cet après-midi aussi, sauf qu'on était là pour faire un match de rugby de haut niveau, avec deux équipes qui voulaient jouer. Malheureusement, il manquait un ingrédient qui est primordial aujourd'hui dans notre sport. Et ça s'est terminé comme tout le monde l'a vu, c'est-à-dire une parodie, un hold-up. » Il a d'ailleurs été convoqué devant la Commission de discipline et des règlements en sa séance du 5 novembre 2014.


Si l'on peut comprendre la déception d'un entraîneur après une défaite, certains trouvent également à redire alors que leur équipe a gagné. C'est le cas d'Olivier Azam, entraîneur du LOU, via le Midi Olympique. Lyon a en effet eu des difficultés à battre Bayonne (24-19), et pour ce dernier, c'est en partie à cause de l'arbitre argentin de la rencontre, M. Pastrana. « Quand un droitier pousse en travers sans être sanctionné, que voulez-vous faire. » Avec humour, il en est même venu à regretter les arbitres français, pourtant souvent égratignés. « Je ne me plaindrai plus de l'arbitrage français. Il est d'un très bon niveau, il travaille très bien. Il devrait même aller donner des conseils en Argentine. »

Du côté de Dax (14e de Pro D2) et de son entraîneur Richard Dourthe, on a beaucoup moins envie de rigoler. L'ancien international évoque « de l'injustice » alors que ses ouailles ne sont pas récompensées comme elles auraient dû l'être compte tenu de leurs efforts face à Biarritz à Aguilera (24-17). Via Rugbyrama, il en appelle à une certaine logique dans les sanctions : « Quand nous sommes en supériorité numérique sur le terrain notamment en mêlée et que l'on pénalise mon équipe pour une faute. Quel est notre intérêt d'amener la mêlée en bas alors que nous avons de multiples choix de jeu par la suite ? » Des décisions qui selon lui ont un impact énorme quand on connaît l'importance de chaque point engrangé à la maison mais surtout à l'extérieur dans ce championnat.

Mais il n'y a pas qu'en Top 14 et en Pro D2 que l'on remet en cause les décisions arbitrales. Un cran en-dessous, on a parfois du mal à digérer certains coups de sifflet, surtout quand on perd à la maison comme Tricastin face à Aubenas (16-26) lors de la 3e journée de Fédérale 1. « On n'est jamais très objectifs quand on réagit à chaud. Mais je pense que l'équipe qui a envoyé le plus de jeu aujourd'hui n'a pas été récompensée, commentait Ludovic Zanini, talonneur du RC Tricastin via Mistral TV. On ne peut pas être arbitrés par des gens comme ça. Ce monsieur s'est bien régalé cet après-midi, il est venu, il a bien mangé avec ses copains et ils nous l'ont bien mis. »

Face à ce type de propos, la LNR a pour le moment choisi de n'appliquer que des sanctions allégées. Plutôt virulent contre l'arbitrage il y a quelques semaines suite à la cinquième défaite de son équipe face à Byaonne, Guy Novès, entraîneur du Stade Toulousain, n'a en effet écopé que d'un match de suspension. Idem pour Fabien Galthié, son homologue du MHR. Quant à Gonzalo Quesada (Stade Français), il n'a seulement reçu qu'un avertissement. Dans d'autres pays, comme ici Afrique du Sud, on n'hésite pas sévir comme en témoigne ce carton rouge adressé au talonneur de Griquas Rayno Barnes lors d'une rencontre de Currie Cup face aux Blue Bulls après une critique vertable de l'arbitre central.



Source : LE RUGBYNISTERE

Le Rapid de Bucarest s'en tire plutôt bien.. et tant pis pour la déontologie !!

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , ,

 
La Fédération roumaine de football (FRF) a réduit les sanctions prononcées contre le Rapid Bucarest après un incident à l'encontre d'un joueur brésilien évoluant dans un autre club, a-t-on appris mercredi de source officielle.

La commission d'appel de la FRF a admis le recours du Rapid, supprimant l'interdiction imposée la semaine dernière au Rapid de disputer dans son stade les deux prochains matchs à domicile. Elle a également réduit l'amende que le Rapid devait acquitter, de 22.500 lei (5.100 euros) à 10.500 lei (2.300 euros), selon un communiqué de la Ligue professionnelle de football.

Début octobre, à la fin du match contre Concordia Chiajna (0-0), un des supporteurs de Rapid a jeté une peau de banane en direction de Carlos Wellington, qui en a aussitôt fait état auprès de l'arbitre. L'attaquant a raconté avoir également été visé par des chants racistes durant la rencontre et s'en être plaint auprès de l'arbitre, ce qui lui a valu un avertissement.

Source : EUROSPORT






La Ligue d'Auvergne réunit les arbitres, les entraineurs et les capitaines de DH...

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , , ,

Arbitres, entraîneurs et capitaines évoluant en Honneur ont passé une matinée ensemble, en fin de semaine dernière. Histoire de mieux se connaître pour mieux cohabiter sur les terrains.

«Je ne pensais pas que les arbitres étaient aussi sympas. » Cette boutade, lancée par Alex Demarchi, entraîneur en titre de Volvic, traduit bien l'ambiance qui a régné, samedi dernier, dans les locaux de la Ligue où étaient réunis entraîneurs, capitaines et arbitres officiant en Honneur pour une matinée de rencontre et d'échanges. Une première en Auvergne.

« À l'image de ce qui se pratique déjà en L1 et L2, la Fédération a souhaité étendre cette initiative au niveau régional. D'abord en DH. On essaiera de l'étendre aux autres divisions dans l'avenir », explique le président de la Ligue, Vincent Nolorgues.

« Le but recherché est que ces trois familles, appelées à se côtoyer tous les week-ends sur les terrains, apprennent à mieux se connaître, dans un autre cadre, moins formel. Et ce afin d'apaiser les relations », précise Vincent Genébrier, CTR d'arbitrage à la Ligue.

Visiblement, le but recherché a été atteint. « Je suis venu avec des a priori, voire des réticences, confie Eymeric Darbelet, coach de Moulins. Mais, finalement, c'est positif. Et même si on ne résoudra pas tous les problèmes d'un seul coup, cela permet à chacun d'exposer ses problématiques. »

Même satisfaction du côté des joueurs. « Certes, depuis le temps on se connaît bien, explique Florian Odoul, capitaine de Saint-Flour. Mais c'est toujours enrichissant de se parler. On a pu le faire au calme, sans le stress ni les tensions éventuelles liées au match. »

L'arbitre François Sanvoisin était sur la même longueur d'onde. « Le plus important, c'est d'échanger. »


Pratiquement après avoir pris connaissance de quelques données chiffrées, les participants se sont séparés en trois groupes de travail. Chacun a brossé le portrait de l'arbitre, de l'entraîneur et du capitaine idéal. Tous souhaitaient que pareille réunion soient reconduite dans l'avenir, en demandant cependant qu'elle soit programmée plus tôt dans la saison.

« On peut aussi envisager d'autres formules, comme envoyer un arbitre dans chaque club lors d'un entraînement », avance Sébastien Mrozek, président de la commission régionale des arbitres.

Alors que les arbitres avaient répondu en masse à l'invitation (19 sur 24), seuls cinq entraîneurs et trois capitaines des quatorze clubs étaient présents. Ce que tout le monde déplorait. « Faut-il rendre cette réunion obligatoire ? Pas sûr. Je serais plus enclin à récompenser les clubs participants et à faire en sorte qu'ils ressentent tous, à terme, l'utilité de cette rencontre », conclut Vincent Nolorgues.

Source : LA MONTAGNE






UEFA : Le match SERBIE/ALBANIE sous haute tension a été arrêté par l'arbitre...

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , ,

L'image affligeante donnée par la Serbie et l’Albanie, mardi soir à l’occasion d’un match des qualifications de l’Euro 2016, devrait engendrer de très lourdes sanctions.

Redoutée par tous depuis le tirage au sort des groupes de qualifications de l’Euro 2016, l’opposition entre la Serbie et l’Albanie a malheureusement tenu toutes ses promesses. Une bagarre générale, des scènes de guérilla urbaine au bord du terrain, des joueurs quittant au pas de course la pelouse et un match interrompu... Avec en bonus l’intrusion d’un drone (!), au-dessus du Stadion FK Partizan, auquel était accroché un drapeau représentant une carte de la «Grande Albanie», un projet nationaliste dont le but serait de réunir au sein d'un même état les communautés albanaises d'Albanie, du Kosovo, du Monténégro, de Macédoine, de la Grèce et du sud de la Serbie. Le geste de rage du défenseur serbe Stefan Mitrovic, sautant pour arracher ledit drapeau, a galvanisé les pseudo-supporters, «validant» les scènes d’émeutes qui s’en sont suivies.


Le nationalisme exacerbé dans cette région de l’Europe, avec au cœur du problème la situation du Kosovo, ex-province serbe peuplée en majorité d'Albanais, et qui a proclamé unilatéralement son indépendance en février 2008, avait contraint les autorités à interdire formellement tout déplacement de supporters adverses pour ce match. Heureusement, serait-on tenté de dire, auquel cas la situation aurait pu être dramatique.

«Le gouvernement serbe assume la responsabilité pour la sécurité, la vie et la santé des footballeurs et de la délégation albanaise», a précisé via communiqué la Serbie, alors que le ministre de l'Intérieur albanais, Saimir Tahiri, est de suite monté au créneau. Mais le plus absurde est peut-être encore à venir. Ce mercredi matin, la télévision d'État serbe (RTS) rapporte qu’Olsi Rama, le frère du Premier ministre albanais Edi Rama, a été interpellé en marge du match. En cause une possible implication concrète dans l’organisation des incidents puisque Rama aurait dirigé lui-même, depuis la loge officielle du stade, à l'aide d'une télécommande, le drone en question qui a tout déclenché !




Source : LE FIGARO






Zoom sur : Ahmed AIT BARI, nouvel arbitre auvergnat de PRO B

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , ,

Il y avait déjà Paul Antiphon, en Pro A pour la 12 e année. L’Auvergne compte désormais un arbitre en Pro B. Avec l’entrée dans l’élite du passionné et perfectionniste Ahmed Aït Bari

Joueur ou arbitre. Opposition abstraite chez Ahmed Aït Bari. Un simple regard dans le rétroviseur rappelle que le basketteur n'a pas choisi un chemin au détriment de l'autre. « J'ai fait mes débuts d'arbitre à 14 ans en minimes, au BC Lempdes, pour rendre service car j'aimais trop jouer. Je suis d'ailleurs toujours joueur malgré la place prise par l'arbitrage. »

Une place croissante avec sa montée patiente dans les niveaux, huit ans de département et région, un en NM3, quatre en NM2 avant sept en NM1. Et, depuis le coup d'envoi de cette saison, l'entrée en Pro B. « Être resté longtemps dans les précédents niveaux, avec l'expérience que j'y ai engrangée, m'aide aujourd'hui », insiste l'arbitre de haut niveau. « Car plus on a de vécu, plus on a de maîtrise sur le terrain, plus on est serein. »

Surtout qu'à cette connaissance, l'homme de 35 ans en rajoute deux autres, celle de joueur - au BBCA en RM1 - et d'entraîneur - les U17 de l'IE Beaumont-Cournon en NF1. Le top ! « Cela permet de rester en contact avec le basket, sinon on est en décalage. C'est ce qui crée d'ailleurs le fossé actuel entre arbitres et joueurs. »

Cette implication, cette recherche personnelle d'un passionné qui dissèque vidéos et matches à la télé, paye ses fruits. Au bout d'une accélération du temps, d'un intense enchaînement du 22 avril dernier, et la finale du challenge round Toulouse-Lyon, à la finale de la Coupe d'Algérie, le 7 juin à Alger avec deux arbitres de Pro A, Di Fallah et Amrani. « Le 30 juin, j'ai reçu un appel du président du HNO, Paul Merliot. Il m'a dit : "J'ai une bonne nouvelle, tu accèdes à la Pro B". Moi, j'étais super content, j'attendais ça depuis longtemps. J'ai savouré et je continue de savourer. »
Prochain rêve,
la Pro A

Le plaisir, en effet, pour le bosseur impénitent éduqué vieille école. Premier match à Souffelweyersheim, le 20 septembre. « J'avais de l'appréhension, mais j'ai arbitré avec un ami, Freddy Lepercq. » Et premières impressions : « La différence avec la N1, c'est la vitesse d'exécution, la dimension athlétique des joueurs et les nombreux contacts à gérer. Mais le jeu est plus clair. En fait, il faut être plus présent, c'est surtout de la gestion humaine… et puis, j'ai dû réviser mon anglais. »

Aix-Maurienne - Fos, Toulon - Angers. Et une longue série à venir pour l'éducateur sportif. « La Pro B, c'est plus de temps, plus de sacrifices et de travail, et les absences le week-end. Mais c'est la cour des grands, la sphère professionnelle. J'espère y rester et, un jour, atteindre un autre rêve, monter en Pro A. »

Source : LA MONTAGNE






mardi, octobre 14, 2014

FUTSAL - DIVISION 1 - DESIGNATIONS ARBITRES - JOURNEE 6 [25/10/2014]

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , ,







La désignation des Arbitres pour la 6ème journée de D1 FUTSAL du 25/10/2014 est connue, Vous pouvez en prendre connaissance en cliquant sur le lien ci-après...

FFF/LFP - LIGUE 2 - DESIGNATIONS ARBITRES - Journée 12 [24-25-27/10/2014]

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , ,


LIGUE 2 - DÉSIGNATIONS ARBITRES - Journée 12
du 24-25 et 27 octobre 2014

CLIQUEZ-ICI

Les désignations de la 12ème journée de LIGUE 2 sont connues, vous pouvez en prendre connaissance
en cliquant sur le lien ci-après

Michael GARCIA appelle Sepp BLATTER à plus de transparence...

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Michael Garcia veut rendre public son rapport et appelle à plus de transparence.

Joseph « Sepp » Blatter, l’inébranlable président suisse de la Fédération internationale du football (Fifa), qu’il dirige depuis juin 1998, a été sévèrement « taclé ». Mais, rares seront ceux à vouloir infliger un carton jaune à son auteur, le coprésident de la commission d’éthique de... la Fifa et patron de son pôle enquêtes, l’avocat états-unien Michael Garcia.

Devenu célèbre pour avoir mené les investigations relatives aux conditions d’attribution des éditions 2018 et 2022 de la Coupe du monde, respectivement à la Russie et au Qatar, Michael Garcia a non seulement déploré hier, à nouveau, la non publication de son rapport, remis en septembre à la commission d’éthique de la Fifa, mais a appelé à une « plus grande transparence » de l’organisation, considérant qu’il s’agit là de la « prochaine étape naturelle » en vue d’une éthique effective... Intervenant lors d’une manifestation organisée à Londres par l’Association du barreau américain, Michael Garcia a de surcroît ajouté que le « deuxième élément », à ses yeux « vital », est de mettre en œuvre la réforme au sommet même de la Fifa. « Ce qui est nécessaire est un leadership qui envoie un message que les règles s’appliquent à chacun ; un leadership qui veut comprendre et apprendre de chaque erreur [...]  », a-t-il notamment déclaré.

Au passage, Michael Garcia a mis en exergue « l’avancée » faite par le Comité Internationale Olympique. Cette sortie, pour le moins musclée, du patron des enquêteurs de la Fifa intervient alors que Joseph Blatter est depuis peu, à soixante-dix-huit ans, candidat officiel à un cinquième mandat. L’élection, qui aura lieu en mai 2015, semble jouer d’avance faute d’opposition. En dépit de nombreux soutiens, Michel Platini, le président de la Fédération européenne, l’UEFA, a préféré ne pas mettre ses crampons pour jouer contre lui.

Source : LES ECHOS


FFF - LIGUE 1 - DÉSIGNATIONS ARBITRES - JOURNÉE 11 - 24-25-26 OCTOBRE 2014

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , ,

FFF - DÉSIGNATIONS ARBITRES - LIGUE 1 - Journée 11 - 24-25-26 octobre 2014 - La désignation des Arbitres pour la 11ème journée de LIGUE 1 est connue. Vous pouvez en prendre connaissance en cliquant sur le lien ci-après.

  LIGUE 1 - DÉSIGNATIONS ARBITRES - Journée 11
des 24-25 & 26 octobre 2014

La "NORME ARBITRE STANDARD" évolue vers l'apaisement....ENFIN !!

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , ,

Le Standard fait confiance au corps arbitral pour l'avenir

A l'issue du match perdu par le Standard au FC Bruges (3-0), Roland Duchâtelet s'en était pris à l'arbitre Luc Wouters. L'idée avait même été émise de le récuser. Le Standard a finalement décidé "de tourner la page et fait confiance au corps arbitral pour l'avenir".
Et aussi

 06/10: Roland Duchâtelet s'en prend à l'arbitrage (voir notre article CLIQUEZ-ICI)

"Nous allons essayer d'analyser objectivement quelles sont les fautes commises par les arbitres en notre faveur et notre défaveur. Sur cette base, nous révoquerons les arbitres qui ont tendance à siffler contre nous. C'est aussi simple que cela", avait confié Roland Duchâtelet à l'issue du dernier FC Bruges-Standard.

Aujourd'hui, le club liégeois ne parle plus de récuser certains arbitres et le discours est à l'apaisement.

"Le club préfère tourner la page et ne pas relancer le débat sur l'arbitrage. Le club fait confiance au corps arbitral pour l'avenir et veut se concentrer sur le football" nous a ainsi confirmé Pierre Locht, le Team Manager-Press Officer du Standard.


Source : RTBF




Bras de fer entre les élus du District de la Vienne et la CDA

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , ,

Changement de secrétaire contesté, le président mécontent : le torchon brûle entre la commission départementale d’arbitrage et les élus du district.

Henri Palluau n'est plus le secrétaire de la CDA. Depuis lundi dernier, l'ancien président durant douze ans, à la CDA depuis 1985, est remplacé par David Plainchamp, par ailleurs élu du comité directeur. Hier soir, ce dernier devait valider le nouveau champ d'action du Jardrais. Voilà le nœud du problème qui secoue la sphère arbitrale.

 " Philippe Guilbault sème la zizanie "
« J'ai quitté la réunion de lundi dernier, commente le président départemental des arbitres, Laurent Lerouge (43 ans), parce que je suis en désaccord avec l'éviction d'Henri Palluau. Il a mon soutien et toute ma confiance. » Depuis, l'ancien « sifflet » de ligue observe de loin, menaçant de démissionner. Que reproche-t-on à Henri Palluau exactement ? « Une parole malheureuse envers un arbitre au mois de mai, rapporte Jean-Louis Olivier l'un des membres influents de la CDA. Il ne devait pas être écarté pour ça. Cette décision est injuste, car Henri travaille beaucoup. » Laurent Lerouge ajoute : « Le comité directeur s'est abrité derrière quatre courriers de clubs (5 en réalité), sur 240 arbitres recensés la saison dernière, pour remercier Henri Palluau. J'attends les PV de la CDA et du comité directeur pour me déterminer. »

Le cas Henri Palluau divise les arbitres du 86, mais une majorité, semble-t-il, soutient l'ancien secrétaire. « Certains arbitres manœuvrent dans l'ombre parce qu'ils veulent le pouvoir, poursuit Jean-Louis Olivier (68 printemps) 28 ans d'arbitrage derrière lui et 18 saisons à la CDA au service des arbitres comme il se définit. Ces gens-là sont soutenus par l'UNAF 86 et le président du district Philippe Guilbault qui s'y connaît pour semer la zizanie. Il avait déjà procédé ainsi avec les éducateurs il y a deux ans. »

A ce stade de l'affaire, Henri Palluau a décidé de ne rien décider : « Ma position ? J'attends de voir les événements. Mais je trouve le procédé dramatique. On ne sait pas reconnaître le travail des bénévoles. Enfin, la commission d'arbitrage est souveraine pour nommer son président et son secrétaire. Le comité directeur du district a juste le pouvoir de valider ou pas le président. » Depuis deux ans et demi, Laurent Lerouge avait trouvé avec Henri Palluau un secrétaire légitime et précieux.

droit de réponse
Mis en cause dans la gestion de l'affaire Palluau, Philippe Guilbault, président du District, donne sa version des faits. « Je suis habitué à ce que ça retombe sur moi. Mais c'est le Comité directeur qui a pris la décision, validé par un vote. Une partie des arbitres a fait remonter l'information que le bureau a étudiée au mois d'août. Si on ne faisait rien, alors à quoi sert-on ? Que disent ces arbitres ? Que le comportement d'Henri Palluau n'est plus compatible avec sa fonction qui consiste à désigner les arbitres chaque week-end. Il est parfois impulsif, je l'avais déjà rappelé à l'ordre. Mais ce n'est pas si grave, d'ailleurs je lui ai demandé de rester à la CDA en qualité de formateur. Je regrette par ailleurs que Laurent Lerouge n'ait pas participé à la réunion de rentrée des arbitres vendredi (une centaine présente), au cours de laquelle David Plainchamp a été applaudi. »

Source : La Nouvelle République




COUPE DE LA LIGUE - DESIGNATIONS ARBITRES - 1/16ème de finale

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , ,

FFF - DÉSIGNATIONS ARBITRES - COUPE DE LA LIGUE - 1/16ème - 28 & 29 octobre 2014 - La désignation des Arbitres pour les 1/16ème de finale de la COUPE DE LA LIGUE est connue. Vous pouvez en prendre connaissance en cliquant sur le lien ci-après.

  COUPE DE LA LIGUE - DÉSIGNATIONS ARBITRES - 1/16ème de Finale
du 28 & 29 octobre 2014

lundi, octobre 13, 2014

9 jaunes, 3 rouges, Match arrêté... Graves violences en Ligue de Picardie...

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , ,

Cinq joueurs de l’équipe de Folembray – Coucy-le-Château ont été blessés dans des affrontements qui ont éclaté à la fin de la rencontre les opposant au Réveil nogentais.

Alors que les instances départementales et régionales du football luttent sans relâche contre la violence, de nouveaux incidents très graves se sont produits dimanche, à Nogent-l’Artaud, au cours de la rencontre opposant le Réveil nogentais au FC Trois-Châteaux (l’équipe de Folembray et Coucy-le-Château). Cinq personnes ont été blessées, sept ont porté plainte.

Durant le match, l’arbitre -- par ailleurs fils du président de la ligue de Picardie -- a distribué 12 cartons (trois rouges, neuf jaunes) : « On entrait dans les arrêts de jeu, raconte Nicolas Gendre, lorsque j’accorde un penalty, transformé par Nogent qui menait alors 2-1. Sur l’engagement, je siffle un coup franc en faveur de Trois-Chateaux qui égalise. C’est alors qu’un joueur Nogentais vient se plaindre de propos racistes et d’un crachat reçu par un adversaire. Il est tellement virulent avec moi, comme d’ailleurs leur gardien de but menaçant, que je les exclus. Dans la confusion, j’arrête la rencontre. C’est alors que des éléments perturbateurs se jettent sur les visiteurs pour les ruer de coups à la tête, dans le dos, sur toutes les parties du corps. La scène est horrible, des spectateurs entrent sur la pelouse, les victimes sont en sang. »

Cinq des joueurs les plus sérieusement pris à partie seront évacués par les sapeurs-pompiers vers l’hôpital de Château-Thierry. À l’arrivée des gendarmes, les éléments perturbateurs, rentrés aux vestiaires.

5 victimes à déplorer dans l'équipe de 3 châteaux

Le plus touché des joueurs a dix jours d’ITT, un autre cinq. L’entraîneur de Trois-Châteaux a eu deux dents cassées dans la bagarre.

« En 17 ans de carrière, je n’avais jamais assisté à de tels actes. J’ai eu peur que quelqu’un perde la vie, ajoute l’arbitre. La nuit suivante, je n’ai dormi que deux heures, je croyais rêver. »

Le président du club nogentais est également choqué par l’attitude de ses joueurs : « Je ne cautionne pas la façon ignoble et démesurée avec laquelle mes licenciés ont agi. Il va d’ailleurs y avoir des sanctions internes dans l’urgence. Je ne cautionne pas davantage les propos racistes et le crachat d’un joueur de Folembray sur l’un de mes joueurs. Si l’arbitre avait fait son boulot, ça n’aurait pas dégénéré », estime Christophe Stephan. Une version contestée par Nicolas Gendre qui assure n’avoir rien vu d’illégal pour punir un footballeur du FC Trois-Châteaux.

Cette affaire va être suivie de très près par le président du district Aisne de football. « J’ai avisé dès aujourd’hui (hier, NDLR) le procureur de la République de Soissons et le sous-préfet de Château-Thierry. La gendarmerie de Charly-sur- Marne mène l’enquête. Le district va se constituer partie civile. Je réunis dès mercredi soir la commission de discipline en séance extraordinaire afin de prendre les mesures qui s’imposent mais aussi la commission de sécurité pour savoir comment faire pour encore autoriser des rencontres sur cette pelouse classée dangereuse », explique Pascal Poidevin.

Dimanche prochain, le club de Trois-Châteaux, le temps de panser ses plaies, sera au repos. Les matches des équipes seniors ont été remis par ligue et district.

Source : L'AISNE NOUVELLE




Les arbitres ariègeois en formation continue d'octobre à mai...

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , ,

Ils se réunissent chaque premier vendredi du mois, d'octobre à mai. Vendredi 3, les arbitres ariégeois ont rendez-vous au comité départemental, à Foix, pour leur grande rentrée. La quasi-totalité des 34 arbitres du «secteur de l'Ariège» sont là. «C'est d'ailleurs obligatoire» insiste Jean-Marc Dedieu. Selon la charte, chaque club ariégeois est obligé de posséder, selon le niveau de son équipe première, un ou plusieurs arbitre(s) formé(s). Autour de la table, deux Andorrans, une féminine venue de Lézat et un tout jeune arbitre de Saint-Girons. Deux séances de formation sont d'ailleurs spécifiquement prévues pour les «nouveaux.» Les sourires sont de mise. L'arbitrage ariégeois se porte bien. Ancien arbitre lui-même, Richard Senssac, président du comité départemental, accueille ceux qui auront en charge la direction des matches. «Vous êtes ici chez vous. Profitez-en, vous avez la chance d'être un grand groupe. On a connu une période de plus grande disette. À vous de progresser dans la hiérarchie.» Aujourd'hui, la répartition des arbitres ariégeois se définit comme suit : 9 stagiaires, 16 territoriaux, 4 fédéraux et 5 en formation. À une certaine époque, l'Ariège a eu jusqu'à 10 arbitres fédéraux. C'était avant. Aujourd'hui, arbitrer est tout sauf anodin. «On est en formation continue» poursuit Frédérick Dedieu. Une «remise à niveau» indispensable tant la règle évolue chaque année.

«Ne partez pas d'ici avec des doutes»

Corentin Meler et Pierre Massat sont à la manœuvre. Les règles, ils les connaissent par cœur et dispensent «la bonne parle de la FFR.» Avec comme fil conducteur la sécurité des joueurs. Une véritable obsession. Frédérick Dedieu insiste : «Vous avez l'obligation, toute l'année, d'aller voir les premières lignes dans les vestiaires pour leur expliquer le protocole. C'est obligatoire par rapport aux assurances si, malheureusement, il y a des blessés.» Déjà sensibilisés aux «nouvelles règles et directives» lors d'un stage à Ondes (Haute Garonne), les arbitres ariégeois sont «cuisinés» dans la bonne humeur. Le débat s'engage. Jean-Luc Rebollal (arbitre de touche en Top 14) est attentif : «La marque, en mêlée, vous la faites comment ? Parallèle ou perpendiculaire ?» Un leitmotiv, l'unité. «Il faut absolument une unité de cohérence entre toute le monde.» «On doit être solidaires et que tous les clubs s'y retrouvent». La vidéo d'un joueur «pris en l'air» offre l'exemple parfait pour une unité d'analyse. «La sécurité du joueur est la priorité.» Carton jaune ou blanc ? Faute ou pas ? Tout ou presque est passé en revue. En détail souvent. Frédérick Dedieu enfonce le clou quand il parle de la formation des jeunes joueurs (M12-M14) dans les clubs. «Ne partez pas d'ici avec des doutes.» Il en faut le moins possible. Aux arbitres de «bûcher» au maximum le fascicule FFR. Début novembre, ils seront une nouveau fois «passés au crible.»

Source : LA DÉPÊCHE




RIDICULE : Il tire sur son propre maillot pour obtenir un Coup-franc !!

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , ,


On sait que certains footballeurs ont la jambe légère quand il s'agit de tromper l'arbitre et obtenir un bon coup-franc. Les Brésiliens sont assez bons à ce petit - et malsain - jeu-là. Mais Damiao, le joueur de Santos, est un champion hors catégorie.

Bon, à ce niveau-là, autant en rire. On sait que, dans un football moderne, très tactique, très fermé, un bon coup-franc peut parfois débloquer une situation.

Certains joueurs sont ainsi passés maîtres dans l'art de la simulation. On connaît les plongeons désespérés des Robben ou Ronaldo, on a déjà vu des dizaines de grands garçons s'écrouler et se rouler par terre à la moindre touchette...

Mais Leandro Damiao, attaquant brésilien du club de Santos pourrait leur donner des leçons à tous. En tous cas en matière de créativité.

Dimanche, lors du match qui opposait son équipe à Criciuma, il a tenté l'intentable: tirer grossièrement son propre maillot pour tromper l'arbitre. En vain, fort heureusement.

Il aura au moins eu le mérite de faire sourire les commentateurs de la télévision brésilienne! Pas plus. Santos a fini par perdre 3-0.


Source : ARCINFO