mardi, décembre 09, 2014

LIGUE 1 - Pascal DUPRAZ : Fan des Arbitres-Assistants, mais pas des Arbitres centraux...

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , , ,

Publié le 09/12/2014 - L’entraîneur d’Evian-TG, Pascal Dupraz, était l’invité de Luis Attaque ce lundi au lendemain d’une défaite concédée à la dernière seconde face à Lyon à la suite d’un penalty litigieux accordé aux Lyonnais. L’occasion pour le technicien de l’ETG de faire de drôles de confidences sur l’arbitrage.

Pascal Dupraz, estimez-vous que les grands clubs sont avantagés par l’arbitrage ?

Clairement oui mais je vais dire plutôt que ce sont les petits clubs qui sont toujours désavantagés. Je ne suis pas en train de pleurer, c’est un constat. Sur le match d’hier (Evian-TG-Lyon, 2-3), on parle de cette main inexistante d’Adrien Thomasson à la 92e minute alors que le score est de 2-2, mais on oublie de parler de la 47e minute lorsque Sougou se prend une charge du gardien Anthony Lopes. Cela mérite pénalty et carton rouge. C’est ce qu’on nous explique. Je ne suis pas en colère car l’erreur est humaine. Mais ce qui fait débat selon moi, c’est que nous faisons partie des clubs qui recevons les arbitres en début de saison. Je trouve très louable cette initiative. On est là pour comprendre les règles et leurs applications. Au mois d’octobre, c’est M. Chapron (l’arbitre d’ETG-OL) qui est venu en personne avec M. Garibian (directeur technique de l’arbitrage). Et tout ce qu’il nous a expliqué, à mon staff et à mes joueurs, c’est l’inverse de ce qui s’est passé hier.

L’arbitrage ne s’est-il pourtant pas amélioré ces derniers temps ?

Je pense qu’il s’améliore. Surtout les assistants même si l’année dernière, on a battu le record d’Europe du hors-jeu non sifflé, de dix mètres contre Ajaccio. Très honnêtement, les assistants sont de qualité. Leur rôle est beaucoup plus compliqué que celui d’arbitre central. Le hors-jeu, ça va tellement vite. L’arbitrage gagnerait à ce qu’il y ait un peu plus d’ouverture. On devrait davantage se parler.

Est-ce qu’il y a un désir de tuer les petits clubs ?


C’est dans l’air du temps. On a l’impression qu’il y a une volonté sous-jacente d’un championnat franchisé dans lequel on est sûr de ne pas descendre, de faire le truc ensemble. Ça peut se comprendre. Mais quand on est partie prenante dans un petit club comme le nôtre, on est obligé d’être opposé à cette volonté-là.
Quand on vous catalogue chez les pleureurs, quelle est votre réaction ?

Je ne pense pas en être un. Je défends les intérêts du club. J’ai pleuré une fois, la saison dernière, quand on s’est maintenu à Sochaux, mais d’émotion. Je rêve secrètement de demander à mes joueurs de laisser passer un but à l’adversaire parce que le but qu’on aura marqué précédemment aurait été entaché d’une grosse faute. Mais est-ce que je le ferai ? Je vous réponds franchement, je n’en suis pas sûr. Mais peut-être que je le ferai…

Source : RMC SPORT




DISTRICT DE L'ESCAUT : Mort de Vincent DESFOSSEZ, joueur de VILLERS-EN-CAUCHIES

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , ,


Publié le 09/12/2014 - Un joueur de football décède lors d’un match à Villers-en-Cauchies

Un joueur de l’équipe B du club de football de Villers-en-Cauchies est décédé ce dimanche alors qu’il disputait un match contre Verchain-Maugré. Le défunt était affilié au club depuis une vingtaine d’années.

Le match se disputait depuis le milieu de l’après-midi. Les joueurs de l’équipe B de Villers-en-Cauchies etaient menés 4- 0 par ceux de l’équipe B de Verchain-Maugré. La première mi-temps s’était achevée dans la sueur pour le club qui recevait, Villers-en-Cauchies en l’occurrence.

La seconde période s’est achevée dans la peine et la douleur : hier, vers 16 h , l’un des joueurs de l’équipe locale s’est effondré sur le terrain. Les massages cardiaques des pompiers n’y ont rien fait, et Vincent Desfossez, un défenseur âgé de 42 ans, est décédé. « Le club est sous le choc, témoigne le président Maxime Degrace. Et il n’y a pas que le club, il y a aussi toute la commune. Vincent Desfossez était estimé par tout le village. » Il avait été conseiller municipal jusqu’en 2014.

Source : LA VOIX DU NORD




LIGUE DE PARIS ILE-DE-FRANCE : L'équipe d'EPINAY (PH) forfait pour 4 minutes ...

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , ,


Publié le 09/12/2014 - Epinay forfait pour 4 minutes !

PH (groupe D). Mal en point en championnat, le club de Seine-Saint-Denis a déclaré forfait, dimanche, en raison d'un oubli de licences et de maillots.

Engagé dans la lutte pour le maintien (10e du groupe D de PH après neuf journées), Epinay s'est un peu plus compliqué la tâche, dimanche après-midi. En effet, l'équipe de Seine-Saint-Denis a été contrainte de déclarer forfait à la JS Pontoisienne après avoir oublié... ses maillots et licences.

«Je les avais préparés... On est partis à la bourre (sic) et on les a oubliés dans le local des gardiens » raconte l'entraîneur d'Epinay, Paul Gomis qui ne s'en est aperçu qu'à son arrivée au stade vers 14 h 25. S'engage alors une véritable course contre la montre, car le règlement ne tolère que 15 minutes de retard après l'heure du coup d'envoi, soit 15 h 15.

Vers 14 h 25, l'entraîneur-adjoint d'Epinay s'engouffre dans sa voiture direction Epinay pour avaler les 23 kms qui séparent les deux villes. A son arrivée, vers 14 h 50, il trouve porte close. « Le gardien du stade était parti boire un verre à la buvette » peste Paul Gomis. Résultat, dix grosses minutes de perdues. C'est le coup de trop pour Epinay. Reparti « à 15 h 02 » raconte Gomis, son adjoint ne mettra que 17 minutes pour rallier Pontoise à 15 h 19. Quatre minutes de trop pour l'arbitre de la rencontre qui décide d'appliquer le règlement à la lettre et déclare Epinay, forfait. « Même à la Pontoisienne, ils voulaient jouer, enrage Paul Gomis. J'ai essayé de négocier mais l'arbitre n'a rien voulu savoir ». Même s'il n'a aucune chance d'aboutir, Epinay va tenter un ultime recours. « Je vais faire une évocation pour demander que le match soit rejoué, persiste le coach. Ça va juste me coûter un peu d'encre et de papier ». Et le point de la défaite... supprimé par le forfait. Le relégable en aurait bien eu besoin.

Source : LE PARISIEN




lundi, décembre 08, 2014

CHAMPIONS LEAGUE - UEFA - DÉSIGNATIONS ARBITRES - Journée du 10/12/2014

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , ,




DÉSIGNATIONS DES ARBITRES

Journée 6 - 10/12/2014


http://arbitrezvous.blogspot.fr/p/uefa-les-designations-arbitres_2.html



La désignation des Arbitres pour la 6ème journée de CHAMPIONS LEAGUE est 
connue.
Vous pouvez en prendre connaissance en cliquant sur le lien ci-après..................................................................................................................




LIGUE 1 - Bruno DERRIEN revient sur PSG / NANTES et EVIAN TG / LYON

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , ,


Publié le 08/12/2014 - Notre chroniqueur Bruno Derrien revient ce lundi après-midi sur deux matches de Ligue 1 qui ont fait beaucoup parler durant le week-end: PSG-Nantes (2-1) et ETG-Lyon (2-3).

"Pour PSG-Nantes, la question n'est pas de savoir si la faute de Verratti enraye ou non une action nette de but. La faute est grossière, c'est donc la nature de la faute qui mérite le carton rouge. Alors certains parlent de "dernier défenseur"… Non, non ! C'est une action très claire d'antijeu, on se désintéresse totalement du ballon.

Ensuite, sur le coup franc… Les arbitres ont été sensibilisés en début de saison par Garibian (Directeur technique de l'arbitrage, NDLR) sur la détection des fautes dans les zones sensibles et on leur a demandé de ne pas sanctionner les micro-fautes, de laisser vivre le jeu. Et on le constate, il y a moins de coups de sifflet. Par exemple, à la Coupe du monde, les arbitres étaient plus dans l'esprit. Là, en l'occurrence, il y a Rabiot qui fait une faute sur ce coup franc et puis il y a ce petit accrochage entre le Nantais (Oswaldo Vizcarrondo, NDLR) et Thiago Silva. Il (Benoît Bastien, NDLR) refuse le but (de Papy Djilobodji, NDLR). Moi je pense que c'est une micro-faute pour une macro-sanction.

    "Quand on siffle un penalty dans les arrêts de jeu, il faut qu'il soit vraiment extrêmement clair"
Bien sûr, cette onzième minute a probablement déstabilisé l'arbitre pour la suite de son match. D'ailleurs, on l'a vu, il a beaucoup été contesté, c'était compliqué. Il ne s'est pas rendu le match facile. Voilà ce que l'on peut dire sur Paris.

Pour ETG-Lyon, tout d'abord, à la 46e minute, il y a une sortie de Lopes: il prend le ballon et, à un moment donné, il s'en désintéresse totalement, il va vers l'attaquant et lui donne un gros coup d'épaule ! L'arbitre n'a pas sanctionné, mais c'était penalty et carton jaune, voire carton jaune orangé…

Ensuite, la main… À mon avis, si je me mets à la place de Tony Chapron, il a probablement dû être influencé par le mouvement du bras du défenseur d'Evian (Adrien Thomasson, NDLR). Il a cru que le joueur avait touché le ballon par ce mouvement du bras. Il n'y a pas de danger de but, on est sur le côté, à la 90e… Les arbitres ont été sensibilisés sur le fait que, quand on siffle un penalty dans les arrêts de jeu, il faut qu'il soit vraiment extrêmement clair, net, qu'il ne souffre d'aucune contestation. J'imagine que, au moment où il siffle, Tony Chapron n'a aucun doute. Mais bon, quand on prend une décision comme ça dans les arrêts de jeu, on doit avoir tous les paramètres nécessaires pour que ce soit clair et net.

Voici les outils donnés aux arbitres pour juger de l'intention d'une main et ainsi renforcer la lisibilité et la cohérence technique:
- Le joueur a-t-il touché intentionnellement le ballon ?
- Le ballon est allé à la main ou la main au ballon ?
- Le joueur a-t-il tenté d'éviter le ballon ?
- Le joueur pouvait-il éviter le ballon ?
- Distance/temps entre le départ et contact/bras
- La position des bras est-elle naturelle ?
- Le joueur a-t-il tenté d'augmenter sa surface de contact ?"

Source : SPORTS.FR




LIGUE 1 - Pascal DUPRAZ : la "petite cuisine" de l'arbitrage français...

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , ,

Publié le 08/12/2014 - Après la défaite de son équipe face à Lyon (2-3), hier, Pascal Dupraz, l'entraîneur d'Evian, a dénoncé la « petite cuisine » de l'arbitrage qui tend selon lui à favoriser certains clubs de L1. Dupraz, exclu pendant le match pour contestation, n'a pas digéré le penalty qui a coûté la victoire contre Lyon (3-2). « Tout est construit pour que le football se joue entre seize clubs comme les franchises de hockey sur glace aux Etats-unis. On fait notre petite cuisine tous ensemble sans place pour les petits clubs valeureux... Mais faites-nous confiance, on tentera de rester en Ligue 1 pour qu'on embête », a protesté l'entraîneur haut-savoyard. « J'en suis au quinzième ralenti, Adrien Thomasson prend le ballon de la poitrine mais rien que de le dire, on va me prouver le contraire », a-t-il pesté. « En septembre on est venu nous expliquer à grands coups d'images les décisions prises pour qu'on les comprenne, et parmi celles-ci il y avait des situations de penalty telles que celle-ci, et c'est le même arbitre, M. Chapron, qui était venu nous l'expliquer », a-t-il encore déploré.

Source : LE TELEGRAMME




dimanche, décembre 07, 2014

1000ème article : Réflexions : Est-ce cela que l'on veut en France ?

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , ,


Publié le 07/12/2014 : Un match au Brésil entre Figueirense et Internacional fut le théâtre d'un véritable chaos, samedi. Les joueurs de Figueirense ont poursuivi l'arbitre après le coup de sifflet final. L'Internacional venait d'inscrire le 2-1 victorieux mais ce n'est seulement ça qui a fait péter les plombs aux joueurs de Figueirense. L'arbitre du jour ayant brandi deux cartes rouges après avoir encaissé à la 87e minute. Les joueurs locaux ainsi que les supporters ont décidé de courir après Marielson Alves Silva pour lui signifer leur mécontentement, l'obligeant à s'enfuir et à se réfugier dans son vestiaire durant de longues minutes. 

Source : RTL.be


NOTE DE LA RÉDACTION :  Nous aurions aimé vous présenter un autre sujet comme 1000ème article, que cette scène lamentable de joueurs et supporters courant après l'arbitre à la fin d'une rencontre de football de 1ère division brésilienne.... Le Brésil "pays du football roi"....
Est-ce cela que l'on veut en France, pour les prochaines saisons, des arbitres pris à partie, des arbitres frappés, des arbitres meurtris dans leur chair. Car au fil de ses bientôt 6 mois d'existence, notre blog a répertorié et publié pour vous, les réactions, les déceptions, les insultes, les propos diffamatoires, les contre-vérités, les compliments (peu nombreux), les déclarations outrancières, les jugements à l'emporte-pièce, les actes de malveillance, les comptes-rendus de procès et les actes de violence, tout cela à l'égard des arbitres.
Bien sûr c'est notre plaisir de vous informer sur la vie de l'arbitrage en France et à l'étranger, mais nous avouons qu'en cette fin d'année 2014, nous sommes quelque peu fatigué d'entendre la même rengaine de la part des joueurs, des entraineurs, et c'est nouveau depuis aujourd'hui, de la part d'un Président de District.
Oui les arbitres sont des hommes, Oui les arbitres ne sont pas infaillibles, Oui les arbitres se trompent quelquefois, mais de grâce à la presse : "cessez vos diatribes et propos pamphlétaires".
Ce n'est pas en prenant comme seul point noir d'une rencontre le mauvais arbitrage de tel ou tel, que l'on fera avancer la famille du football. Et d'ailleurs il y-a t-il un bon ou un mauvais arbitre ? Il y a seulement un arbitre qui gère une partie avec les règles (établies pas l'I.B.), et avec ses qualités et défauts, son placement, sa sensibilité, son sens de la pédagogie et du dialogue. Tout comme un joueur ou un entraineur, il peut être plus ou moins dans un bon jour, mais donne son maximum sur le terrain.

Ce qui nous gêne également le plus à vrai dire, c'est que sur les réseaux sociaux, des "soit-disant" arbitres, sous prétexte qu'ils sont de telle ou telle région, supporter de tel ou tel club, se permettent des propos déplacés et insultants vis à vis de leurs collègues arbitres de Ligue 1 et 2. Quel modèle croyez-vous qu'ils donnent aux joueurs qu'ils arbitrent le samedi ou le dimanche. Quelle est leur façon de voir les choses ? Qui sont-ils ? Que cherchent-ils ? 
Pourquoi devient-on arbitre aujourd'hui : Par vocation, par obligation de remplir le quota des clubs, pour le chèque ? Il n'y a plus cette douce convivialité entre les arbitres.... Faire venir des personnes à l'arbitrage, qui n'ont pour une grande partie d'entre-elles, ni le désir de servir notre sport, ni la déontologie, ni le droit de réserve inhérent à la fonction, est une grave erreur. C'est vrai nous manquons d'arbitres dans certains coins de notre beau pays, mais peut-on pour cette seule raison, prendre n'importe qui, et surtout quelqu'un qui n'a pas vraiment envie d'arbitrer, avec tout ce que cela comporte comme "droit et devoir" ?

Nous vous avons livré notre manière de voir les choses. Nous se sommes pas non plus une référence reconnue en matière d'arbitrage, mais avec, pour l'un d'entre-nous presque 37 ans dans le monde de l'arbitrage, nous pensons avoir notre mot à dire sur le sujet..... c'est dit, mais après tout ce n'est que du football !!

Très bonne continuation à toutes et tous, et merci de votre fidélité et de vos encouragements.








DISTRICT DE LA CÔTE D'OPALE : Patrick QUENIART, un serviteur de l'Arbitrage

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , ,

Zoom, aujourd’hui, sur un fidèle serviteur de l’arbitrage, ce secteur ingrat du foot, avec le portrait de Patrick Quéniart, un homme de la Flandre venu s’établir sur la Côte d’Opale.
L’ex-directeur de jeu et actuel président de la commission d’éthique du DCO désigne et supervise inlassablement ses successeurs chaque semaine.

Il est l’une des « figures» arbitrales du District Côte d’Opale mais ce que l’on sait moins, c’est qu’il est né à Lille et a porté d’autres nombreuses casquettes.

Responsable du service social d’un cabinet comptable, Patrick Quéniart (45 ans) a contracté le virus du ballon rond dans « ses » Flandres avec les pupilles de l’US Wavrin puis au FC Fournes-en-Weppes (dont il sera le trésorier durant deux ans), des cadets aux seniors où il fit apprécier sa polyvalence (gardien, défenseur et milieu de terrain).

Le déclic se produit lorsqu’il dirige un match des poussins du club.

Dès l’âge de 18 ans

Ce dernier n’ayant pas d’arbitre, Patrick, conquis, passe l’examen à 18 ans et raccroche les crampons trois ans plus tard pour officier en District.

Sa vie professionnelle le conduit alors sur la Côte d’Opale où il est promu arbitre de Ligue en 1995 : « Mon premier match était à Labeuvrière mais celui qui m’a le plus marqué est La Gorgue-Lambersart. Un huissier était présent car la mairie avait posé un arrêté municipal mais la Ligue jugé le terrain praticable. »

Blessure rédhibitoire

Stoppé net par une blessure au genou, le gaillard, déjà observateur au District depuis 2002, se reconvertit un an secrétaire général de l’AS Etaples et devient, en 2007, celui de la Commission des Arbitres du DCO puis président de la commission d’éthique en 2011.

Multicartes

Après une parenthèse de président-délégué du FC Conti la saison passée (ex-arbitre elle-aussi, son épouse est la fille de la présidente du club), il poursuit sa mission d’observateur.

Mais comme beaucoup, il déplore l’évolution des mentalités : « Elles reflètent une société qui ne respecte plus l’autorité. Les arbitres sont bien plus décriés qu’à mon époque alors que la majorité des spectateurs ne connaissent pas les règles. Pour beaucoup de joueurs, le foot n’est plus une passion mais une source de revenus alors qu’auparavant, ils le considéraient davantage comme un jeu. Les arbitres doivent aussi se remettre en question lorsqu’ils font des erreurs. J’ai assumé les miennes pour rebondir et je ne regrette rien. J’ai gardé de beaux souvenirs (dont un LOSC-Hajduk Split au Touquet en qualité d’assistant) et j’espère encore continuer un moment. »

Vous avez dit sacerdoce ?




LIGUE 1 - EVIAN TG / LYON : "Tony Chapron est nul depuis des années"...

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , ,




Publié le 07/12/2014 : L’OL s’est imposé sur le fil (2-3) sur la pelouse d’Evian TG en fin de match, grâce à un penalty sifflé par l’arbitre Tony Chapron pour une main de Thomasson.

Membre de la Dream Team RMC Sport, Jean-Michel Larqué apprécie modérément les talents de l’homme en noir du jour. C’est peu de le dire… « Le penalty ? Je laisse l’inénarrable Tony Chapron prendre ses responsabilités. Quand il y a un problème, Tony Chapron n’est jamais très loin, a réagi Capt’ain Larqué. Son problème, c’est qu’il se trompe souvent. Il me fait pitié. Le problème, c’est qu’il est nul depuis des années. Il est nul depuis des années mais il arbitre toujours au plus haut niveau. Je ne sais pas moi, il doit avoir d’excellentes notes. »

Source : RMC SPORT

NOTE DE LA RÉDACTION : Membre de la "Dream Team de RMC SPORT", non mais ça nous fait doucement rigoler, que quelqu'un qui a autant de casseroles au fesses pour ces commentaires foireux et ses allusions ouvertement racistes, nous fasse la morale et nous expose vertement son avis sur quelqu'un qu'il ne connait pas. Il nous fait vraiment pitié le commentateur CLOWN de TF1; lui est nul depuis qu'il est entré dans le métier des médias et apparemment ça ne s'arrange pas avec l'âge. On ne le garde à la TV et à la Radio que par compassion pour les personnes séniles. Toujours du côté des Clubs et des pros, et surtout du "pognon", il nous a toujours fait rire, maintenant il nous ferait presque pleurer... de honte !!. A ce propos on se demande comment les béarnais ont pu élire une personne ayant aussi peu de retenue et qui mélange souvent les torchons et les serviettes, Président du District des Pyrénées-Atlantiques depuis 2006. Bel enseignement pour les arbitres de son District, il doivent se sentir soutenus !!




CHAMPIONS LEAGUE - UEFA - DÉSIGNATIONS ARBITRES - Journée du 09/12/2014

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , ,




DÉSIGNATIONS DES ARBITRES

Journée 6 - 09/12/2014


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La désignation des Arbitres pour la 6ème journée de CHAMPIONS LEAGUE est 
connue.
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LIGUE 1 - PSG/NANTES : Bruno DERRIEN enfonce un peu plus Benoit BASTIEN..

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , ,

Publié le 07/12/2014 - Benoît Bastien a les oreilles qui sifflent depuis la fin du match entre le Paris Saint-Germain et le FC Nantes car du côté des Canaris on estime que l’arbitre a clairement pesé dans le résultat final de cette rencontre. Et ils sont peu à prendre la défense de l’officiel. Répondant à l’Equipe, Bruno Derrien, ancien arbitre international et toujours très direct, affirme qu’effectivement Benoît Bastien a eu tout faux dans ses décisions lors de ce PSG-Nantes.

« La première action qui a fait débat lors de ce match est le carton jaune reçu à la 11e minute par Marco Verratti, pour un tacle dangereux sur Georges-Kevin Nkoudou. La nature de la faute elle-même méritait une autre sanction que celle décidée par Benoît Bastien, qui aurait donc dû exclure le joueur du PSG.

Sur le coup franc consécutif à cette action, l’arbitre a sanctionné une faute d’Oswaldo Vizcarrondo sur Thiago Silva. Les arbitres ont été sensibilisés en début de saison à la détection des duels, notamment dans les zones sensibles. On peut considérer qu’il s’agit d’une micro-faute pour une macro-sanction puisque celle-ci a annulé le but inscrit par Papy Djilobodji.

Enfin, la semelle de Djilobodji sur le bas du dos d’Adrien Rabiot dans la surface de réparation (54e) a également échappé à la vigilance de l’arbitre. Mais, sur l’ensemble de la rencontre, ce sont surtout les deux premières erreurs qui font débat », constate Bruno Derrien, qui estime que Benoît Bastien est passé au travers et plutôt en faveur du Paris Saint-Germain. L’erreur est cependant humaine…

Source : BUT




LIGUE 1 - PSG/NANTES : Pierre MENES parle d'un "Show Bastien"...

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , ,

Publié le 07/12/2014 - Pour beaucoup d’observateurs, les Nantais, battus (2-1) à Paris samedi, peuvent se sentir lésés par les décisions de l’arbitre Monsieur Bastien…

Pierre Ménès parle d’un «show Bastien» en défaveur des Canaris…

La journée avait commencé vendredi soir par un match parfaitement insipide au Stadium, uniquement sauvé par la merveilleuse ouverture du score de Berbatov. Pour le reste, cette équipe de Toulouse très inquiétante depuis des semaines et incapable de prendre le jeu à son compte, n’a jamais été en mesure d’inquiéter des Monégasques qui n’ont pas eu à forcer, ce qui devait bien les arranger à trois jours de leur finale européenne de mardi face au Zénith.

De finale européenne, il est sera aussi question pour le PSG, qui est devenu avant le coup d’envoi la dernière équipe invaincue d’Europe après la défaite de Chelsea à Newcastle en début d’après-midi. Paris qui a signé sa 1000e victoire en Ligue 1 avec un magnifique doublé d’Ibra. Ça, c’est pour la colonne « positif ». Dans la colonne « négatif » - car il y en a toujours une cette saison avec le PSG - il y a une nouvelle fois un début de match indigne d’une équipe de ce standing.

Alors c’est vrai que Blanc avait fait tourner la moitié de son équipe en prévision du match de mercredi à Barcelone. Mais une telle indigence ne pouvait pas rester impunie et Bedoya s’est chargé, d’une frappe limpide, d’ouvrir le score. Et puis derrière, on a eu droit au « show Bastien ». L’arbitre a commencé par ne pas expulser Verratti pour un tacle assez dangereux sur Nkoudou.

 Vingt minutes pour chauffer le talon…

Alors ma position, c’est qu’effectivement la faute volontaire peut valoir un simple carton jaune - mais jaune-orangé, quand même. Le problème c’est que le petit Italien lève le pied très haut. Et lors de PSG-Bordeaux, Poko avait pris un rouge direct pour une faute du même genre sur… Verratti. Toujours ce problème d’uniformité des décisions arbitrales. Mais monsieur Bastien ne va pas s’arrêter là.

Sur le coup-franc consécutif à la faute, il va refuser le but de Djilobodji pour une présumée faute de Vizcarrondo sur Thiago Silva. Alors sur ce cas, j’ai un peu revu ma position par rapport à ce que j’ai tweeté à chaud. Oh, il y a bien faute du défenseur vénézuélien sur le défenseur brésilien. Le problème, c’est qu’au départ de l’action il y a faute de Rabiot sur Vizcarrondo… Bref, après à peine un quart d’heure de jeu, Paris pouvait s’estimer heureux d’être toujours à 11 et de n’être mené que 1-0.

Après ça, c’est vrai que Nantes n’a plus cadré une frappe alors que Paris s’est créé un paquet d’occasions. Mais une nouvelle fois, il a fallu que Zlatan entre en scène pour que le PSG concrétise sa domination. C’est vrai qu’il lui faut 20 minutes pour chauffer son talon, mais une fois qu’il est chaud, c’est lui qui fait gagner le match au PSG. Il en est à 8 buts en 9 rencontres et à mon avis, sa longue absence est l’explication numéro 1 aux difficultés offensives parisiennes de l’automne.

Les outsiders souffrent

Maintenant, libre à chacun de poursuivre ce « PSG bashing » qui fait fureur en ce moment. Il faut donc croire que la seule équipe invaincue d’Europe est nulle et qu’elle est entraînéepar une pipe. C’est en tout cas le crédo - ou le créneau - de certains. Maintenant, c’est sûr que pour rester invaincu mercredi soir, il va falloir montrer autre chose. Mais n’est-ce pas ce qu’on disait déjà avant le match aller ?

Et puis en soirée, Saint-Etienne, Bordeaux et Rennes, soit les 4e, 5e et 6e du classement, étaient tous sur le pont. Deux sur trois l’ont emporté, mais très péniblement. Bastia a eu peu de réussite à Geoffroy-Guichard - témoin ce ballon qui heurte les deux poteaux - et Ruffier a eu pas mal de boulot. Les Verts sont quand même parvenus à s’en sortir et à signer leur troisième victoire consécutive grâce à un but de Ricky.

Bordeaux s’est salement fait malmener par Lorient - en étant notamment deux fois mené au score - mais s’est en est aussi sorti grâce à un super Diabaté et Rennes a joyeusement explosé à domicile face à Montpellier. Et ce qu’on constate lors de ces semaines à trois matchs, c’est que c’est dur pour tout le monde d’enchaîner et de faire tourner trois ou quatre joueurs. La preuve : mis à part Sainté, aucune équipe n’a pu engranger neuf points.

Source : Pierre MENES




samedi, décembre 06, 2014

LIGUE 1 - PSG/NANTES : Quand les journalistes arbitrent à notre place....

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , ,


Publié le 06/12/2014 - Match PSG-Nantes : y-a-t-il eu une erreur d'arbitrage ?

Ce dimanche, le PSG a affronté le FC Nantes en ouverture de la 17ème journée de Ligue 1. La rencontre s'est soldée par une victoire (2-1) des Parisiens sur les Nantais. Cependant, le match a été marqué par une polémique. En effet, un quart d'heure après le début de la rencontre, l'arbitre Benoît Bastien a refusé un but de Papy Djilobodji qui aurait pu donner l'avantage aux Canaris.

Benoît Bastien a-t-il mal arbitré le match PSG-FC Nantes ?

Pour Dominique Sévérac, la discussion sur le refus d'un but est un "sujet vieux comme le monde". Il juge que le cas de Papy Djilobodji est une erreur d'arbitrage comme on en voit tous les week-ends. Par ailleurs, le journaliste du Parisien ajoute que les fautes sifflées dans la surface de réparation sont presque toujours en faveur des défenseurs, surtout dans le désordre d'un coup franc.

    "Dans un coup franc, tous les joueurs se chicanent dans la surface de réparation. L'arbitre siffle plus en faveur des défenseurs que des attaquants."
    Dominique Sévérac, journaliste au Parisien

Ludovic Vandekerckhove, quant à lui, estime que la décision de Benoît Bastien l'insupporte. En effet, le journaliste RTL pense qu'il n'y a pas eu de faute lors du but de Papy Djilobodji. Selon lui, ce sont les erreurs d'arbitrage de ce genre qui amènent les gens à ne plus s'intéresser au football.

    Quand les matchs sont faussés de cette manière, on n'a plus envie de regarder le football.
    Ludovic Vandekerckhove, journaliste à RTL







Source : RTL

RUGBY - VIDÉO INSOLITE : Une joueuse et un arbitre font la course....

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Publié le 06/12/2014 - Lors de la première journée de l'étape de Dubaï du circuit mondial de rugby à sept, nous avons assisté à une scène plutôt cocasse : une course entre la Néo-Zélandaise, Sarah Goss, et l'arbitre de la rencontre, Rasta Rasivenghe. Tout cela en plein match alors que Goss allait marquer un essai en solitaire.



Source : RUGBYRAMA




LIGUE 1 - PSG/NANTES : Michel DER ZAKARIAN pour la deuxième couche ...

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , ,

Publié le 06/12/2014 - Le FC Nantes peut être déçu après cette défaite sur la pelouse du Paris Saint-Germain, plus par le scénario de la rencontre qui s’avère, au vu du score final, terriblement frustration. Ne pas avoir pu compter sur un deuxième but, refusé, et un rouge, non donné par l’arbitre, sur Marco Verratti, alors que les Nantais menaient a constitué un tournant inévitable.

Et Michel Der Zakarian, sur l’antenne de beIN SPORTS, n’a pas caché sa colère contre l’arbitrage. Une colère froide, certes, mais une colère quand même… « Des regrets ? Je ne sais pas si c’est des regrets… On mène 1-0, on met un joli but, et on en marque un deuxième mais je ne sais pas pourquoi l’arbitre siffle faute. S’il siffle faute là, il va devoir siffler des fautes à tous les matchs. Et pour Verratti c’est un carton rouge, c’est une faute délibérée. L’arbitre peut nous dire ce qu’il veut, qu’il n’était pas dernier défenseur, mais ça fait un deux contre un, et il ne découpe en deux. L’arbitre a fait deux erreurs. Il y aurait pu avoir 2-0 pour nous et à 2-0 ce n’était plus le même match… »

Source : BUT