Thierry Braillard : «Ne faut-il pas professionnaliser définitivement les arbitres ?»
Au lendemain des polémiques qui ont émaillé le match entre Lens et le PSG (1-3), suite aux décisions prises par Monsieur Rainville, vendredi soir au Stade de France, le secrétaire d’État chargé aux Sports, Thierry Braillard, a posé la question suivante : «Ne faut-il pas professionnaliser définitivement les arbitres ?» «L’arbitrage français ne se porte pas bien, il n’y avait pas d’arbitre français à la Coupe du monde d’ailleurs, a-t-il d'abord rappelé ce samedi sur I-Télé.
Au lendemain des polémiques qui ont émaillé le match entre Lens et le PSG (1-3), suite aux décisions prises par Monsieur Rainville, vendredi soir au Stade de France, le secrétaire d’État chargé aux Sports, Thierry Braillard, a posé la question suivante : «Ne faut-il pas professionnaliser définitivement les arbitres ?» «L’arbitrage français ne se porte pas bien, il n’y avait pas d’arbitre français à la Coupe du monde d’ailleurs, a-t-il d'abord rappelé ce samedi sur I-Télé.
Je vois que l’année dernière il y a eu des problèmes, que cette année il y a des problèmes, a-t-il ajouté, sans pour autant citer un homme en particulier. Le statut de l’arbitre est une question que les instances du football vont devoir se poser.»
Source : L'EQUIPE
Note de la Rédaction : Encore une déclaration à l'emporte-pièce d'un politique, qui loin de gérer en prévoyant l'avenir, s'appuie sur un fait d'actualité pour ramener sa "fraise". Si Monsieur BRAILLARD croit que l'arbitrage professionnel va régler tous les problèmes.... il est très loin du compte. A-t-il seulement étudié le dossier ? Croit-il que cette solution n'a pas déjà été mille fois jetée sur le tapis comme le remède miracle... Encore beaucoup de bruit pour rien !! Et encore un nouveau Secrétaire d’État qui parle sans connaître son sujet.
Ce n'est pas ne payant plus les arbitres, ni en rendant leur statut professionnel, que l'on empêchera les arbitres de commettre des erreurs, car pendant un match, ils sont seuls face à eux-même et seuls à prendre la décision finale. Et ça, ce n'est pas près de changer, contrairement à la valse des ministres qui changent tous les cinq ans ... voir moins.