Publié le 13/01/2015 - THÉO MOSETTICH : « IL FAUT PERSÉVÉRER »
De peu en échec lors du dernier concours « Jeune Arbitre de la Fédération », Théo Mosettich (20 ans), Jeune Arbitre Ligue du club de Dracénie (Var), veut persévérer et gravir à terme les différents échelons de l'arbitrage. Il évoque ses débuts de carrière et ses ambitions.
Quel a été votre parcours dans le football et dans l'arbitrage en particulier ?
J'ai tout d'abord été joueur au Gazelec Football Club de Nîmes et me suis rapidement orienté vers l'arbitrage et j'ai vraiment découvert cette fonction lors des Journées de l'Arbitrage organisées un peu partout chaque année en France qui permettent de s'initier et de diriger de petits matches de jeunes. J'ai donc pris le sifflet à Nîmes à cette occasion et j'y ai trouvé du plaisir. Ensuite, j'ai passé mes examens et j'ai eu la chance d'avoir été formé par Claude Bouillet, ancien arbitre international, cadre technique régional en arbitrage de la Ligue du Languedoc-Roussillon.
En quoi consistait la Journée ?
Il n'y avait pas de théorie mais de la pratique. J'ai commencé par diriger un match de jeunes pendant une vingtaine de minutes et j'y ai pris du plaisir.
A quel niveau avez-vous commencé ?
Cela a commencé part des plateaux de jeunes et des matches de Benjamins. De 2007 à 2008, j'étais dans le Gard avant d'aller dans le Var, suite à la mutation professionnelle de mes parents. J'ai commencé par être stagiaire avant de passer trois années en Espoirs. J'ai ensuite tenté le niveau Ligue. Malheureusement, j'ai manqué l'examen à deux reprises à l'écrit mais j'ai persévéré et c'est passé à la troisième fois. A force de travailler, je me suis amélioré à l'écrit et j'ai tenté l'examen de Jeune Arbitre Fédéral.
Avez-vous un modèle dans l'arbitrage ?
Non, je n'ai pas de modèle particulier mais je me réfère souvent à Howard Webb, l'arbitre international anglais. J'aime bien sa personnalité et son style d'arbitrage. Il a une autorité naturelle.
Quel est votre objectif ?
J'espère aller le plus loin possible. En JAF, on peut arbitrer en U17 et en U19 Nationaux. Après, on peut passer Fédéral 4 pour le CFA2 et CFA puis il y a la filière complète des Fédéraux 3, 2 et 1 pour évoluer dans l'élite. Je souhaite, en tout cas, rester arbitre central même s'il m'arrive d'être assistant.
Que vous apporte l'arbitrage ?
J'apprécie l'arbitrage qui me donne une rigueur et une discipline de travail. Cela s'est ressenti ensuite sur le déroulé de mes études. Je pense avoir acquis une rigueur personnelle. L'arbitrage est aussi un sport avec deux à trois entraînements physiques (courses, fractionnés, étirements, musculation) par semaine mais surtout une passion. Il y a également les rencontres que l'on peut faire dans le milieu du football. Lorsque je suis au centre, je me retrouve avec des assistants différents à chaque match et c'est intéressant de se faire de nouvelles connaissances.
De peu en échec lors du dernier concours « Jeune Arbitre de la Fédération », Théo Mosettich (20 ans), Jeune Arbitre Ligue du club de Dracénie (Var), veut persévérer et gravir à terme les différents échelons de l'arbitrage. Il évoque ses débuts de carrière et ses ambitions.
Quel a été votre parcours dans le football et dans l'arbitrage en particulier ?
J'ai tout d'abord été joueur au Gazelec Football Club de Nîmes et me suis rapidement orienté vers l'arbitrage et j'ai vraiment découvert cette fonction lors des Journées de l'Arbitrage organisées un peu partout chaque année en France qui permettent de s'initier et de diriger de petits matches de jeunes. J'ai donc pris le sifflet à Nîmes à cette occasion et j'y ai trouvé du plaisir. Ensuite, j'ai passé mes examens et j'ai eu la chance d'avoir été formé par Claude Bouillet, ancien arbitre international, cadre technique régional en arbitrage de la Ligue du Languedoc-Roussillon.
En quoi consistait la Journée ?
Il n'y avait pas de théorie mais de la pratique. J'ai commencé par diriger un match de jeunes pendant une vingtaine de minutes et j'y ai pris du plaisir.
A quel niveau avez-vous commencé ?
Cela a commencé part des plateaux de jeunes et des matches de Benjamins. De 2007 à 2008, j'étais dans le Gard avant d'aller dans le Var, suite à la mutation professionnelle de mes parents. J'ai commencé par être stagiaire avant de passer trois années en Espoirs. J'ai ensuite tenté le niveau Ligue. Malheureusement, j'ai manqué l'examen à deux reprises à l'écrit mais j'ai persévéré et c'est passé à la troisième fois. A force de travailler, je me suis amélioré à l'écrit et j'ai tenté l'examen de Jeune Arbitre Fédéral.
Avez-vous un modèle dans l'arbitrage ?
Non, je n'ai pas de modèle particulier mais je me réfère souvent à Howard Webb, l'arbitre international anglais. J'aime bien sa personnalité et son style d'arbitrage. Il a une autorité naturelle.
Quel est votre objectif ?
J'espère aller le plus loin possible. En JAF, on peut arbitrer en U17 et en U19 Nationaux. Après, on peut passer Fédéral 4 pour le CFA2 et CFA puis il y a la filière complète des Fédéraux 3, 2 et 1 pour évoluer dans l'élite. Je souhaite, en tout cas, rester arbitre central même s'il m'arrive d'être assistant.
Que vous apporte l'arbitrage ?
J'apprécie l'arbitrage qui me donne une rigueur et une discipline de travail. Cela s'est ressenti ensuite sur le déroulé de mes études. Je pense avoir acquis une rigueur personnelle. L'arbitrage est aussi un sport avec deux à trois entraînements physiques (courses, fractionnés, étirements, musculation) par semaine mais surtout une passion. Il y a également les rencontres que l'on peut faire dans le milieu du football. Lorsque je suis au centre, je me retrouve avec des assistants différents à chaque match et c'est intéressant de se faire de nouvelles connaissances.
Source : LIGUE DE MÉDITERRANÉE
NOTE DE LA RÉDACTION : Nous ne connaissons pas personnellement ce jeune arbitre, mais en voilà un qui a tout compris à la philosophie de notre sport... bravo à lui !!
NOTE DE LA RÉDACTION : Nous ne connaissons pas personnellement ce jeune arbitre, mais en voilà un qui a tout compris à la philosophie de notre sport... bravo à lui !!
