Publié le 04/02/2016 - Retrouver la trace de Georges Ramos n’a pas été chose facile. Celui qui a tenu le sifflet durant 14 ans en 1ère Division coule une paisible retraite dans le Cantal. Rencontre.
Certains arbitres ont marqué de leur empreinte leur passage dans le football. Georges Ramos en fait partie. Lors d’un 13h Foot sur I-Télé présenté par Pascal Praud en fin d’année 2015, le journaliste sportif évoquait ces arbitres avec lesquels le dialogue était toujours possible. « C’est vrai qu’il y avait plus d’échanges avec les joueurs, entraîneurs, présidents et les journalistes. Pourquoi ? Parce qu’il y avait avant tout un respect mutuel entre nous » explique Georges Ramos.
Georges Ramos a pris le sifflet pour la première fois en 1979. Après une grave blessure au genou, cet ancien salarié de la mairie d’Aurillac a très vite compris qu’il ne ferait pas carrière en tant que footballeur. Lors d’un match corpo, l’arbitre ne se présente pas et Georges Ramos est sollicité pour diriger la rencontre. Le point de départ d’une belle et longue carrière.
Certains arbitres ont marqué de leur empreinte leur passage dans le football. Georges Ramos en fait partie. Lors d’un 13h Foot sur I-Télé présenté par Pascal Praud en fin d’année 2015, le journaliste sportif évoquait ces arbitres avec lesquels le dialogue était toujours possible. « C’est vrai qu’il y avait plus d’échanges avec les joueurs, entraîneurs, présidents et les journalistes. Pourquoi ? Parce qu’il y avait avant tout un respect mutuel entre nous » explique Georges Ramos.
Georges Ramos a pris le sifflet pour la première fois en 1979. Après une grave blessure au genou, cet ancien salarié de la mairie d’Aurillac a très vite compris qu’il ne ferait pas carrière en tant que footballeur. Lors d’un match corpo, l’arbitre ne se présente pas et Georges Ramos est sollicité pour diriger la rencontre. Le point de départ d’une belle et longue carrière.
« C’est la passion qui nous animait »
Promu arbitre de Ligue en 1974, Georges Ramos devra patienter 7 ans avant de découvrir les championnats nationaux puis les terrains du Monde en tant qu'arbitre international. Aujourd’hui, en l’espace de quelques saisons, un arbitre peut se retrouver plongé dans le grand bain des championnats professionnels. Ces promotions accélérées décidées par la DTA/CFA laisse perplexe l’ancien arbitre : « ce n’est pas avec six mois d’arbitrage en CFA que vous allez acquérir de l’expérience. » Par ailleurs, les arbitres veulent être augmentés et souhaitent devenir professionnels à temps plein. « A notre époque, on gagnait 750 francs par match. C’est la passion qui nous animait. L’arrivée massive de l’argent au début des années 2000 a divisé les arbitres »
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