Publié le 28/03/2015 - Afin de développer l’arbitrage en Malaisie, le président de la Fédération malaisienne de football (FAM) Son Altesse Royale le Prince Abdullah, également membre de la Commission du Football de la FIFA, a organisé un séminaire national pour les meilleurs arbitres et arbitres assistants dans sa ville, Kuantan.
Cet événement a réuni 21 arbitres et 28 arbitres assistants de la FAM. L’objectif de ce stage était d’améliorer la préparation et la formation des hommes en noir et, plus généralement, de développer l’arbitrage en Malaisie.
Les participants ont suivi des sessions théoriques sur tableau noir, avant de mettre en pratique les notions évoquées en classe sur le terrain. Une grande variété de sujets ont ainsi été abordés, comme la lecture du jeu, le placement, le hors-jeu ou encore le travail en équipe. Responsable du département de l’Arbitrage de la FIFA, Massimo Busacca a insisté sur l’importance de prendre les bonnes décisions pour protéger l’intégrité physique des joueurs. Il a également souligné la nécessité de faire les bons choix dans les situations critiques, rappelant au passage qu’il fallait un bon angle de vue pour évaluer les incidents dans la surface de réparation. Les arbitres ont visionné des images de la Coupe du Monde de la FIFA, Brésil 2014™ pour débattre de cas particuliers. Ils ont ensuite reçu des conseils pour interpréter correctement ces actions et donner le plus de cohérence et d’uniformité possible à leurs décisions.
Cet événement a réuni 21 arbitres et 28 arbitres assistants de la FAM. L’objectif de ce stage était d’améliorer la préparation et la formation des hommes en noir et, plus généralement, de développer l’arbitrage en Malaisie.
Les participants ont suivi des sessions théoriques sur tableau noir, avant de mettre en pratique les notions évoquées en classe sur le terrain. Une grande variété de sujets ont ainsi été abordés, comme la lecture du jeu, le placement, le hors-jeu ou encore le travail en équipe. Responsable du département de l’Arbitrage de la FIFA, Massimo Busacca a insisté sur l’importance de prendre les bonnes décisions pour protéger l’intégrité physique des joueurs. Il a également souligné la nécessité de faire les bons choix dans les situations critiques, rappelant au passage qu’il fallait un bon angle de vue pour évaluer les incidents dans la surface de réparation. Les arbitres ont visionné des images de la Coupe du Monde de la FIFA, Brésil 2014™ pour débattre de cas particuliers. Ils ont ensuite reçu des conseils pour interpréter correctement ces actions et donner le plus de cohérence et d’uniformité possible à leurs décisions.
Les invités ont également passé une série d’examens physiques, comme des sprints sur 40 mètres et le test fractionné de haute intensité. Des ateliers pratiques sur le terrain leur ont permis de travailler sur des situations concrètes, avec le concours de joueurs locaux.
Les footballeurs ont réalisé une série d’exercices conçus pour simuler des actions de jeu. Les arbitres et leurs assistants ont ainsi pu recevoir des appréciations en direct sur leur lecture du jeu, leurs déplacements, leur placement, leurs angles de vue et leurs décisions. Les instructeurs sont intervenus immédiatement, afin d’améliorer les performances.
« J’ai été impressionné par leur volonté d’apprendre et leur application », a déclaré Massimo Busacca, responsable du département de l’Arbitrage de la FIFA. « Ils ne voulaient plus quitter le terrain ! Leur modestie et leur détermination à montrer de quoi ils sont capables m’ont impressionné. J’ai vraiment apprécié leur simplicité. »
Le département de l’Arbitrage de la FIFA dresse donc un bilan très positif de l’expérience réalisée en Malaisie à la mi-mars. Cet événement marque incontestablement le début d’une nouvelle ère pour l’arbitrage malaisien. À l’issue des débats, Son Altesse Royale le Prince Abdullah, président de la Fédération malaisienne de football et membre de la Commission du Football de la FIFA, s’est dit encore plus au fait du rôle de l’arbitre. Il envisage donc d’accorder un statut semi-professionnel à certains d’entre eux, afin de leur permettre de poursuivre leur progression.
« Ce séminaire est une expérience utile pour un pays qui souhaite développer son niveau de jeu et d’arbitrage », note Massimo Busacca. « Nos hôtes étaient très honorés de l’intérêt que la FIFA leur a porté. De notre côté, nous avons été stupéfaits par les progrès réalisés en l’espace de quelques jours. »
Les footballeurs ont réalisé une série d’exercices conçus pour simuler des actions de jeu. Les arbitres et leurs assistants ont ainsi pu recevoir des appréciations en direct sur leur lecture du jeu, leurs déplacements, leur placement, leurs angles de vue et leurs décisions. Les instructeurs sont intervenus immédiatement, afin d’améliorer les performances.
« J’ai été impressionné par leur volonté d’apprendre et leur application », a déclaré Massimo Busacca, responsable du département de l’Arbitrage de la FIFA. « Ils ne voulaient plus quitter le terrain ! Leur modestie et leur détermination à montrer de quoi ils sont capables m’ont impressionné. J’ai vraiment apprécié leur simplicité. »
Le département de l’Arbitrage de la FIFA dresse donc un bilan très positif de l’expérience réalisée en Malaisie à la mi-mars. Cet événement marque incontestablement le début d’une nouvelle ère pour l’arbitrage malaisien. À l’issue des débats, Son Altesse Royale le Prince Abdullah, président de la Fédération malaisienne de football et membre de la Commission du Football de la FIFA, s’est dit encore plus au fait du rôle de l’arbitre. Il envisage donc d’accorder un statut semi-professionnel à certains d’entre eux, afin de leur permettre de poursuivre leur progression.
« Ce séminaire est une expérience utile pour un pays qui souhaite développer son niveau de jeu et d’arbitrage », note Massimo Busacca. « Nos hôtes étaient très honorés de l’intérêt que la FIFA leur a porté. De notre côté, nous avons été stupéfaits par les progrès réalisés en l’espace de quelques jours. »
Source : FIFA