Publié le 19/06/2016 - Depuis le début de la compétition, à part l'Espagne vendredi, rares sont les équipes qui ont impressionné. Les arbitres, eux, restent discrets. Un bon signe.
C'est l'histoire des trains qui arrivent à l'heure et dont personne ne parle jamais. Depuis le début de l'Euro 2016, rares ont été les directeurs de jeu à faire des erreurs majeures et à peser sur le résultat d'une partie. Il est évident qu'un hors-jeu par-ci ou qu'une faute par-là ont pu échapper aux arbitres. Mais pour l'instant, on parle très peu de cette dimension du jeu. C'est toujours un bon signe quand il s'agit de ceux que l'on appelait il y a plus de vingt ans les "hommes en noir".
C'est l'histoire des trains qui arrivent à l'heure et dont personne ne parle jamais. Depuis le début de l'Euro 2016, rares ont été les directeurs de jeu à faire des erreurs majeures et à peser sur le résultat d'une partie. Il est évident qu'un hors-jeu par-ci ou qu'une faute par-là ont pu échapper aux arbitres. Mais pour l'instant, on parle très peu de cette dimension du jeu. C'est toujours un bon signe quand il s'agit de ceux que l'on appelait il y a plus de vingt ans les "hommes en noir".
Débriefons donc cette première "grosse" semaine de compétition, avec Damien Carrel. Cet ancien arbitre de Super League s'est retiré des terrains il y a quelques saisons et officie désormais quelques fois comme consultant sur l'antenne de la RTS. Il est sans doute le mieux placé pour parler de ses anciens collègues et trouvent, lui, qu'ils ne sont pas si bons que ça. Interview.
Un bon début d'Euro pour les arbitres, non?
Pas complètement... En fait, ....
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