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mercredi, août 24, 2016
jeudi, janvier 08, 2015
BELGIQUE - PRO LEAGUE : 5 arbitres à partir de la saison 2015-2016...
Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans ACTUALITÉS, ARBITRAGE, ARBITRAGE A CINQ, ARBITRE, BELGIQUE, FOOTBALL, JUPILER PRO LEAGUE
Publié le 08/01/2015 - Nouveauté en Pro League la saison prochaine: des arbitres derrière le but..
La Pro League a décidé d’utiliser deux arbitres supplémentaires, placés derrière chaque but, lors des compétitions belges, et ce dès la prochaine saison 2015-2016.
«Nous en avions déjà discuté lors de notre dernière assemblée générale, en décembre, et la décision est maintenant effective», a expliqué le directeur général de la Pro League Ludwig Sneyers. «Nous voulons donner au corps arbitral tous les moyens possibles pour l’aider dans son travail. L’objectif est notamment d’éviter des buts ou des coups de coins fantômes, comme nous avons pu le voir durant la première partie de saison. Et nous sommes persuadés que ces situations n’auraient pu se produire avec la présence d’un arbitre supplémentaire derrière le but.»
Lors de la prochaine saison, un 5e et un 6e arbitre seront présents lors de chacune rencontre. «Jusqu’à présent le 4e arbitre était un arbitre, ce sera désormais un assistant qui occupera cette fonction», a détaillé Frank De Bleeckere, manager de la commission «Talent and Elite Referee» à l’Union belge de football. «La raison est simple, si l’un des assistants se blesse, il est remplacé par le 4e arbitre. Et un arbitre à part entière est moins familiarisé, par définition, avec l’usage du drapeau».
Les 5e et 6e assistants devraient d’ailleurs être des fonctions occupées par des arbitres. Chaque corps arbitral pour une rencontre serait ainsi composée de trois arbitres et de trois assistants».
La Pro League a décidé d’utiliser deux arbitres supplémentaires, placés derrière chaque but, lors des compétitions belges, et ce dès la prochaine saison 2015-2016.
«Nous en avions déjà discuté lors de notre dernière assemblée générale, en décembre, et la décision est maintenant effective», a expliqué le directeur général de la Pro League Ludwig Sneyers. «Nous voulons donner au corps arbitral tous les moyens possibles pour l’aider dans son travail. L’objectif est notamment d’éviter des buts ou des coups de coins fantômes, comme nous avons pu le voir durant la première partie de saison. Et nous sommes persuadés que ces situations n’auraient pu se produire avec la présence d’un arbitre supplémentaire derrière le but.»
Lors de la prochaine saison, un 5e et un 6e arbitre seront présents lors de chacune rencontre. «Jusqu’à présent le 4e arbitre était un arbitre, ce sera désormais un assistant qui occupera cette fonction», a détaillé Frank De Bleeckere, manager de la commission «Talent and Elite Referee» à l’Union belge de football. «La raison est simple, si l’un des assistants se blesse, il est remplacé par le 4e arbitre. Et un arbitre à part entière est moins familiarisé, par définition, avec l’usage du drapeau».
Les 5e et 6e assistants devraient d’ailleurs être des fonctions occupées par des arbitres. Chaque corps arbitral pour une rencontre serait ainsi composée de trois arbitres et de trois assistants».
Source : L'AVENIR
vendredi, décembre 05, 2014
TUNISIE : L'arbitrage à cinq testé pour deux rencontres de championnat
Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans ACTUALITÉS, ARBITRAGE A CINQ, ARBITRES, FOOTBALL, TUNISIE
Publié le 05/12/2014 - D'après Jamel Baraket, président de la commission des désignations auprès de la direction nationale d'arbitrage relevant de la FTF, la formule d'arbitrage à cinq sera appliquée pour la première fois de l'histoire de notre championnat à l'occasion de la 12e journée de Ligue 1. Il a ajouté que l'arbitrage à cinq sera autorisé dans deux rencontres seulement, à savoir le Clasico entre l'EST et le CSS et le derby gabésien entre l'ASG et le SG.
Jamel Baraket a indiqué que cette formule sera appliquée pour résoudre les problèmes des erreurs d'arbitrages commises notamment dans la surface de réparation et que les deux arbitres additionnels devront aider l'arbitre principal à prendre la bonne décision dans les situations litigieuses.
Il a ajouté que les staffs qui vont diriger les deux rencontres concernées ont participé à une séance d'application pour comprendre les principes de la nouvelle formule d'arbitrage à 5.
Par ailleurs, Jamel Baraket a exclu la possibilité d'adopter cette formule dans tous les matches de Ligue 1 en indiquant que la DNA ne dispose pas du nombre suffisant d'arbitres pour désigner cinq par match. Selon lui, si tout va bien, l'arbitrage à 5 sera appliqué dans tous les matches du championnat dans 7 ou 8 ans.
Jamel Baraket a indiqué que cette formule sera appliquée pour résoudre les problèmes des erreurs d'arbitrages commises notamment dans la surface de réparation et que les deux arbitres additionnels devront aider l'arbitre principal à prendre la bonne décision dans les situations litigieuses.
Il a ajouté que les staffs qui vont diriger les deux rencontres concernées ont participé à une séance d'application pour comprendre les principes de la nouvelle formule d'arbitrage à 5.
Par ailleurs, Jamel Baraket a exclu la possibilité d'adopter cette formule dans tous les matches de Ligue 1 en indiquant que la DNA ne dispose pas du nombre suffisant d'arbitres pour désigner cinq par match. Selon lui, si tout va bien, l'arbitrage à 5 sera appliqué dans tous les matches du championnat dans 7 ou 8 ans.
Source : MOSAÏQUE.FM
vendredi, novembre 28, 2014
UEFA - EUROPA LEAGUE : Denis BALBIR... le même son de cloche !!
Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans ACTUALITÉS, ARBITRAGE, ARBITRAGE A CINQ, DENIS BALBIR, EUROPA LEAGUE, FOOTBALL, UEFA
Publié le 28/11/2014 : A l’image de Christophe Galtier, Denis Balbir, qui a commenté la rencontre ASSE – Qarabag hier soir sur W9, n’a pas du tout apprécié l’arbitrage très contestable de Monsieur Jakobson, qui a lourdement pénalisé les Verts. Dans son blog sur Yahoo, Denis Balbir ne se prive pas de dire ce qu’il pense de la prestation de l’arbitre, hier soir.
« Un ancien arbitre de Ligue 1 me présente l’arbitre Islandais du match ASSE – Qarabag. Monsieur Jakobson a 45 ans. Il officie, me dit-il, pour la dernière fois au niveau international et a un très bon souvenir de la ville et du club, où il fut très bien accueilli en 2008, dirigeant un match sans histoire face à Tel Aviv, jour où les Verts savaient gagner, ce qui fut le cas, grâce à un doublé de Bafé Gomis… Quelques minutes plus tard, j’ai repensé à la bonhommie de cet arbitre qui paraissait si tranquille et sûr de lui dans un match qui l’était tout autant et qu’il a faussé, délibérément ou non.
Un tir de Qarabag, certes magnifique, mais un ballon emmené de la main avant la belle conclusion (lob sur Ruffier), un but refusé à tort au néerlandais Ricky, qui n’a pas besoin de cela tant il reste une énigme comme finisseur, même si on ne peut douter de ses qualités footballistiques, mais que de déchet tout de même dans la zone de vérité offensive, là où les Verts sont mauvais, de plus privés de Erding et du jeune espoir Saint-Maximin.
Oui, même si on en viendra aux lacunes de l’équipe, l’arbitrage, à 5 pourtant, a été en dessous de tout. Penaltys oubliés, mains baladeuses non sanctionnées dans des secteurs où cela peut tout changer, un vrai chapelet d’erreurs qui donc a fait de cette soirée une soirée de la honte. »
« Un ancien arbitre de Ligue 1 me présente l’arbitre Islandais du match ASSE – Qarabag. Monsieur Jakobson a 45 ans. Il officie, me dit-il, pour la dernière fois au niveau international et a un très bon souvenir de la ville et du club, où il fut très bien accueilli en 2008, dirigeant un match sans histoire face à Tel Aviv, jour où les Verts savaient gagner, ce qui fut le cas, grâce à un doublé de Bafé Gomis… Quelques minutes plus tard, j’ai repensé à la bonhommie de cet arbitre qui paraissait si tranquille et sûr de lui dans un match qui l’était tout autant et qu’il a faussé, délibérément ou non.
Un tir de Qarabag, certes magnifique, mais un ballon emmené de la main avant la belle conclusion (lob sur Ruffier), un but refusé à tort au néerlandais Ricky, qui n’a pas besoin de cela tant il reste une énigme comme finisseur, même si on ne peut douter de ses qualités footballistiques, mais que de déchet tout de même dans la zone de vérité offensive, là où les Verts sont mauvais, de plus privés de Erding et du jeune espoir Saint-Maximin.
Oui, même si on en viendra aux lacunes de l’équipe, l’arbitrage, à 5 pourtant, a été en dessous de tout. Penaltys oubliés, mains baladeuses non sanctionnées dans des secteurs où cela peut tout changer, un vrai chapelet d’erreurs qui donc a fait de cette soirée une soirée de la honte. »
Source : BUT
Note de la Rédaction : Trop facile, oui vraiment trop facile de mettre tout sur le dos de l'arbitre ! et l'accuser de tous les maux !! Et qu'est ce que c'est que cette réflexion :"... qui l’était tout autant et qu’il a faussé, délibérément ou non." Monsieur BALBIR insinuerait-il que l'arbitre était corrompu ? Comme chacun a le droit de dire ce qu'il veut sur tout et n'importe qui, sans connaître les fondements de notre passion qu'est l'arbitrage, nous dirons simplement à Monsieur BALBIR, que si le spectre de l'élimination en EUROPA LEAGUE s'avance pour Saint-Etienne, ce n'est pas uniquement à cause de Monsieur JAKOBSEN, mais qu'il faudrait aussi se pencher sur la réelle motivation des verts à jouer à fond une coupe européenne, sans à chaque fois remettre le couvert sur des problèmes d'arbitrage qui sont inhérents au football, et que l'arbitrage à 5 est sensé, sans pour autant complètement les effacer, les diminuer.
UEFA - EUROPA LEAGUE : Ca sert à quoi l’arbitrage à cinq ?
Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans ARBITRAGE, ARBITRAGE A CINQ, ARBITRAGE VIDÉO, ARBITRE, FOOTBALL, UEFA
Publié le 28/11/2014 : Un penalty heureux accordé à Guingamp puis un autre plus évident refusé, un but entaché d’une main évidente du joueur de Qarabag, Nadirov, pourtant validé, un but refusé aux Verts... Une nouvelle fois, l’arbitrage a fait parler jeudi à l’occasion de la 5e journée de la Ligue Europa. Et Michel Platini de continuer à refuser d’entendre parler de vidéo…
Il était chafouin, Christophe Galtier, à l’issue du match nul, le cinquième de rang dans la compétition, concédé par ses Verts, face à Qarabag jeudi (1-1). Et il avait de quoi, tant l’arbitrage de la rencontre a été inconséquent. On passe sur les innombrables hors-jeux signalés par un arbitre assistant que, dans un autre temps moins politiquement correct, on aurait volontiers qualifié de chef de gare pour sa propension à toujours lever son drapeau (l’un d’entre eux, conclu par une «Madjer» de Van Wolfswinkel, ne se justifiait pas), mais que dire du but accordé à l’attaquant Vügar Nadirov, entaché d’une main que tout le monde a vu… sauf les arbitres ?
Sur une longue ouverture venue de l’arrière, l’intéressé échappe certes à l’arrière garde stéphanoise, Loïc Perrin en tête, mais il est manifeste qu’il s’emmène le ballon du bras droit, sous les yeux de l’Islandais M. Jakobsson qui, les images l’attestent, est particulièrement bien placé pour voir la faute. Et quand bien même il aurait malencontreusement fermé les yeux au moment de la main coupable, il avait un assistant sur sa droite, et un arbitre de surface en face de lui, pour lui signaler que Nadirov s’était aidé du bras pour s’emmener le ballon vers le but de Ruffier. Mené 0-1, Saint-Etienne a certes rapidement égalisé, mais n’est ensuite pas parvenu à prendre trois points qui lui auraient permis d’avoir le destin entre ses pieds avant la dernière journée (Qarabag sera qualifié s’il bat l’Inter Milan qui, déjà assuré de la première place, se déplacera en roue libre sur ce match).
Un replay de 10 secondes aurait suffi...
De quoi encore une fois se demander à quoi sert l’arbitrage à cinq qui, d’après Michel Platini, le président de l’UEFA, constitue une meilleure solution que l’arbitrage vidéo. Pourtant sur cette action, un simple replay de dix secondes aurait suffi à voir ce que six yeux n’ont pas remarqué et cela n’aurait pas coupé pour autant la partie. Même chose pour le hors-jeu litigieux de Van Wolfswinkel. Mais également, à Guingamp, sous les yeux de… Michel Platini, où le Russe M. Eskov a sifflé un penalty et brandi un carton rouge contre la Fiorentina pour une faute vraiment pas évidente de Basanta sur Marveaux. Là encore, il y avait, en plus du central, deux arbitres bien placés pour juger la situation, aucun n’a osé contredire M. Eskov.
Cette décision aura au moins permis d’entretenir le suspense puisque Guingamp est alors revenu à 1-2, mais elle aura encore souligné les carences d’un système à cinq arbitres dont on peut douter de l’efficacité. D’autant qu’en seconde période, une main italienne dans la surface n’a pas été sifflée, alors qu’elle semblait plus évidente que la faute de Basanta. Le débat sur l’arbitrage vidéo ne date pas d’hier, mais ces deux exemples sont une nouvelle illustration de la nécessité de le remettre régulièrement sur le tapis…
Il était chafouin, Christophe Galtier, à l’issue du match nul, le cinquième de rang dans la compétition, concédé par ses Verts, face à Qarabag jeudi (1-1). Et il avait de quoi, tant l’arbitrage de la rencontre a été inconséquent. On passe sur les innombrables hors-jeux signalés par un arbitre assistant que, dans un autre temps moins politiquement correct, on aurait volontiers qualifié de chef de gare pour sa propension à toujours lever son drapeau (l’un d’entre eux, conclu par une «Madjer» de Van Wolfswinkel, ne se justifiait pas), mais que dire du but accordé à l’attaquant Vügar Nadirov, entaché d’une main que tout le monde a vu… sauf les arbitres ?
Sur une longue ouverture venue de l’arrière, l’intéressé échappe certes à l’arrière garde stéphanoise, Loïc Perrin en tête, mais il est manifeste qu’il s’emmène le ballon du bras droit, sous les yeux de l’Islandais M. Jakobsson qui, les images l’attestent, est particulièrement bien placé pour voir la faute. Et quand bien même il aurait malencontreusement fermé les yeux au moment de la main coupable, il avait un assistant sur sa droite, et un arbitre de surface en face de lui, pour lui signaler que Nadirov s’était aidé du bras pour s’emmener le ballon vers le but de Ruffier. Mené 0-1, Saint-Etienne a certes rapidement égalisé, mais n’est ensuite pas parvenu à prendre trois points qui lui auraient permis d’avoir le destin entre ses pieds avant la dernière journée (Qarabag sera qualifié s’il bat l’Inter Milan qui, déjà assuré de la première place, se déplacera en roue libre sur ce match).
Un replay de 10 secondes aurait suffi...
De quoi encore une fois se demander à quoi sert l’arbitrage à cinq qui, d’après Michel Platini, le président de l’UEFA, constitue une meilleure solution que l’arbitrage vidéo. Pourtant sur cette action, un simple replay de dix secondes aurait suffi à voir ce que six yeux n’ont pas remarqué et cela n’aurait pas coupé pour autant la partie. Même chose pour le hors-jeu litigieux de Van Wolfswinkel. Mais également, à Guingamp, sous les yeux de… Michel Platini, où le Russe M. Eskov a sifflé un penalty et brandi un carton rouge contre la Fiorentina pour une faute vraiment pas évidente de Basanta sur Marveaux. Là encore, il y avait, en plus du central, deux arbitres bien placés pour juger la situation, aucun n’a osé contredire M. Eskov.
Cette décision aura au moins permis d’entretenir le suspense puisque Guingamp est alors revenu à 1-2, mais elle aura encore souligné les carences d’un système à cinq arbitres dont on peut douter de l’efficacité. D’autant qu’en seconde période, une main italienne dans la surface n’a pas été sifflée, alors qu’elle semblait plus évidente que la faute de Basanta. Le débat sur l’arbitrage vidéo ne date pas d’hier, mais ces deux exemples sont une nouvelle illustration de la nécessité de le remettre régulièrement sur le tapis…
Source : Football.fr
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