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samedi, novembre 29, 2014

AFFAIRE BRANDAO : GALTIER - Un avis de "HORS-LA-LOI"

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , ,

Publié le 29/11/2014 : «Quand je vois le nombre de délinquants dans notre pays qui ont des casiers judiciaires de deux ou trois pages sans jamais avoir mis les pieds dans une prison, j’ai la sensation qu’un président de tribunal a voulu se payer un joueur, qu’il s’est fait plaisir puisque l’on va parler de lui énormément.

C’est une aberration», a déclaré Galtier dans la nuit de jeudi à vendredi après le match d’Europa League contre Qarabagh (1-1).

«J’ai déjà donné mon point de vue sur le geste de Brandao. Quand il y a eu sanction financière et sportive, il faut que cela s’arrête là. C’est bon. La justice c’est la justice. C’est pitoyable et vraiment pas beau pour notre pays», a conclu Galtier.

Source : LE PROGRES

NOTE DE LA RÉDACTION : Qu'est ce qui ne va pas chez Christophe GALTIER... Pourquoi se met-il ainsi sur le devant de la scène, en prenant une position contraire à la loi et la justice. Les faits reprochés à BRANDAO sont assez grave pour faire l'objet d'une condamnation, à partir du moment où le PSG a porté plainte. Qu'est-ce qui ne tourne pas rond chez Christophe GALTIER pour qu'il en oublie que le football et les faits qui sont commis dans une enceinte sportive, avant, pendant et après un match sont passibles de poursuites judiciaires. Et heureusement, car les stades ne sont pas des lieux de "NON-DROIT", où l'on peut faire tout et n'importe quoi, sous prétexte que l'on est joueur professionnel. Décidément, que de déclarations 'hors-sujet" ces derniers temps, il est temps que la trêve arrive....




vendredi, novembre 28, 2014

UNAF - Le Président de l'UNAF réagit à l'affaire BRANDAO...

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , ,

Publié le 28/11/2014 : BRANDAO…..VOUS AVEZ DIT AFFAIRE….

Dans l'affaire Brandao, la justice vient de donner son verdict. Le "décalage" avec les sanctions infligées aux agresseurs d'arbitre, pourtant "chargés de mission de service public" par une loi (la loi Lamour) ne pouvait que faire réagir notre Président Bernard Saules.

Le joueur  Brandao vient d’être condamné à un mois de prison ferme et de 20.000 € d’amende pour avoir donné « un coup de boule » à Thiago Motta, après la rencontre PSG – Bastia du 16 août 2014. Il faut rappeler que la commission de discipline de la LFP l’avait condamné à 6 mois de suspension.

La justice a frappé, fortement en l’espèce, d’autant plus et c’est à souligner qu’il n’y avait aucune partie civile constituée. Les joueurs de football, en outre, ne bénéficient pas de la « mission de service public » conférée par la Loi Lamour aux arbitres notamment, pour ce qui concerne le domaine du football. Le côté médiatique et médiatisé de l’agression par Brandao et les images passées en boucle sur toutes les chaînes de télévision ont fait leur effet.

Si cette sanction fait reculer la violence sur les terrains de football, nous ne pouvons que nous en réjouir, le football professionnel ayant été suffisamment stigmatisé pour ne pas donner une bonne image au football amateur.

Il reste à espérer que nombre de juges en France aient entendu ou lu ce jugement quand ils en viendront à juger des agresseurs d’arbitre. Nombre de nos adhérents agressés par des joueurs ou dirigeants clairement identifiés n’ont vu leurs agresseurs que  simplement rappelés à la loi ou à des sanctions avec sursis pour des blessures bien plus graves que celle subie par Thiago Motta…

Il est aussi à signaler que certains juges considèrent que la sanction sportive est déjà une peine…. Ils feront bien de s’inspirer de leur collègue  Président du tribunal de Paris, M. Yves Madre.

En outre, nos victimes sont « protégées » par la loi Lamour qui devrait générer des sanctions bien plus fortes pour leurs agresseurs.

L’UNAF, par l’intermédiaire de ses avocats, saura faire savoir ce jugement aux confrères de Me Madre dans de prochaines affaires. 

Il paraît que tous les citoyens sont égaux devant la loi… Certains plus que d’autres aurait dit Coluche !

Source : UNAF




jeudi, novembre 27, 2014

AFFAIRE BRANDAO : 1 mois de prison ferme et 20.000 € d'amende...

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , ,


Publié le 27/11/2014 : Décision choc dans l'"affaire Brandao".

Alors que le procureur avait requis dans la matinée 8 mois de prison avec sursis à son encontre pour le coup de tête que celui-ci avait asséné à Thiago Motta le 16 août dernier, le Brésilien a finalement été condamné à un mois de prison ferme ainsi que 20.000 euros d'amende, a-t-on appris jeudi après-midi. Le président du tribunal correctionnel de Paris a néanmoins laissé entendre que le joueur de 34 ans pourrait bénéficier d'un aménagement de peine et ne pas séjourner en prison. L'avocat du joueur, Me Olivier Martin, a déjà annoncé qu'il ne ferait vraisemblablement pas appel.

Lors de l'audience, la présidente du tribunal a insisté sur le caractère prémédité de son geste, parlant d'un «comportement qui est pensé, qui est calculé». Son avocat avait quant à lui plaidé un «acte irraisonné» et une «impulsion subite». La présidente a aussi fait part de son agacement face à l'absence du joueur, qui ne s'est pas présenté à l'audience car il se faisait opérer au même moment. Un timing jugé inopportun par la représentante du ministère public.

Brandao avait déjà écopé de six mois de suspension des terrains pour son geste. Dimanche dernier, il avait publiquement présenté des excuses pour son geste, qu'il affirmait regretter au micro de Canal+. Il avait en revanche nié avoir prémédité son agression sur Thiago Motta, alors que les caméras de télévision l'avaient clairement filmé en train d'attendre l'Italien à la fin de la rencontre pour lui asséner un coup de tête. Le joueur et son club, le PSG, n'avaient toutefois pas porté plainte, ce qui n'avait pas empêché la police d'ouvrir une enquête.

Source : L’ÉQUIPE






samedi, novembre 22, 2014

LFP : Sanction confirmée en appel pour BRANDAO, et Tribunal en vue...

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , ,

La commission d'appel de la FFF a confirmé la sanction de six mois ferme de suspension à l'encontre de Brandao pour son coup de tête sur Thiago Motta après la rencontre PSG-Bastia disputé le 16 août dernier. L’attaquant brésilien restera par conséquent écarté des terrains jusqu’à mi-février. Il comparaîtra, en outre, le 27 novembre devant le tribunal correctionnel de Paris pour violence commise dans une enceinte sportive avec préméditation ayant causé une ITT.

Une mauvaise nouvelle n’arrivant jamais seule, Brandao s’est blessé cette semaine à l’entraînement. Touché à un tendon du quadriceps de la cuisse droite, il ne pourra pas s’entraîner avant  trois mois. Il devrait subir des examens en début de semaine prochaine pour décider ou non d'une opération.

Source : L’ÉQUIPE






vendredi, août 22, 2014

BRANDAO : Garde à vue et Tribunal Correctionnel...

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , ,


Déjà menacé par une sanction disciplinaire, l'attaquant bastiais Brandão n'a pas fini de payer son agression : il sera aussi jugé par un tribunal correctionnel pour son coup de tête contre le joueur parisien Thiago Motta, lors d'un procès pour violences volontaires. Moins d'une semaine après son geste, le joueur brésilien de 34 ans a été placé en garde à vue vendredi par la police judiciaire parisienne. À l'issue de cette audition, le parquet de Paris a décidé de le convoquer au tribunal, où il comparaîtra pour violences volontaires avec préméditation commises dans une enceinte sportive et ayant causé sept jours d'incapacité temporaire totale de travail (ITT), a déclaré à l'AFP une source judiciaire. Le procès a été fixé au 3 novembre, a précisé son avocat Olivier Martin.

"L'audition et le renvoi sont la suite logique de la procédure", a voulu relativiser l'avocat. Mais Brandão "conteste avec la plus grande fermeté avoir prémédité son geste", a-t-il ajouté, en estimant aussi que "la durée de l'ITT retenue devra être discutée". Le caractère prémédité ou non du geste de Brandão a son importance, car il s'agit d'une circonstance aggravante qui permet de punir ces faits d'une peine de prison et non d'une simple amende. De plus, le fait que l'agression ait eu lieu dans une enceinte sportive ouvre la voie à une peine complémentaire d'interdiction de se rendre dans une manifestation sportive. Cette peine peut aller jusqu'à cinq ans.


Jeu rugueux
L'agression du Brésilien, samedi soir après la rencontre entre le PSG et Bastia, a été unanimement condamnée, d'autant qu'elle a été filmée par les caméras du Parc des princes et que les images ont tourné en boucle sur les écrans depuis. À la fin du match, dans le couloir qui mène aux vestiaires, on y voit Brandão faire les cent pas, saluer l'entraîneur parisien Laurent Blanc, puis asséner son coup de tête au milieu de terrain italien, avant de prendre la fuite alors que Thiago Motta a le nez en sang. Le club parisien avait indiqué que son joueur, réputé provocateur, souffrait d'une "fracture du nez non déplacée", et l'on a vu Thiago Motta reprendre l'entraînement cette semaine.

L'instance disciplinaire de la Ligue de football professionnel (LFP) s'est saisie du dossier et a déjà prononcé une suspension à titre conservatoire du joueur jusqu'au 18 septembre, jour où il sera entendu. Après cette procédure, la sanction sportive sera prononcée. "Il regrette son geste et attendra le 18 septembre pour donner ses explications", a déclaré jeudi Me Martin, à la sortie de l'instance disciplinaire de la LFP, où il accompagnait le joueur.

Depuis les faits, Brandão n'a pas repris l'entraînement avec son club, et son entraîneur, Claude Makelele, avait indiqué qu'il ne l'alignerait pas contre Toulouse samedi prochain, quelle que soit la décision de la commission de discipline. Réputé pour son jeu rugueux, Brandão avait déjà écopé sous le maillot de Saint-Étienne de quatre matches de suspension ferme (réduits à trois en appel) pour un coup de coude, sur le terrain, infligé à un autre joueur du PSG, Yohan Cabaye. En 2010, sous les couleurs de l'Olympique de Marseille, un autre coup de coude lui avait valu trois matches ferme de suspension.

Source : AFP