samedi, mai 11, 2019
dimanche, juin 19, 2016
UEFA EURO 2016 : Les maillots PUMA ... des maillots qui déchirent !!...
Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans ARBITRE, ÉQUIPEMENTIER, EURO 2016, FOOTBALL, MAILLOTS, PUMA, SOLIDITÉ, SUISSE
jeudi, avril 14, 2016
FFHB - HUMMEL : Les nouveaux maillots 2016/2017 sont arrivés....
Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans 2016/2017, FFHB, HANDBALL, HUMMEL, MAILLOTS, TENUE
jeudi, juillet 23, 2015
FFF-DTA - Dossier ENNJIMI/LANNOY : De lourdes suspensions requises...
Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans ARBITRE, CFA, DISCIPLINE, DTA, FFF, FOOTBALL, LIGUE 1, MAILLOTS, Pascal GARIBIAN, Saïd ENNJIMI, Stéphane LANNOY
Le 24 avril dernier, un incident éclate dans les couloirs du Stade Vélodrome entre Saïd Ennjimi et un membre de l’OM qui devait remettre des maillots dédicacés à l’arbitre, pour une œuvre caritative, à l’issue de la défaite du club phocéen face à Lorient (3-5).
Vincent Labrune avait ensuite invité le sifflet à dîner avec ses assistants dans un salon de l’enceinte marseillaise, et M. Ennjimi avait notamment évoqué avec le président olympien certaines décisions arbitrales qui avaient beaucoup fait débat lors des matches de l’OM, et aurait également critiqué Bernard Layec, le patron de l’arbitrage français, rapporte le Parisien.
Six mois de suspension pour manquement à la déontologie et huit mois pour le devoir de réserve ont été requis le 8 juillet par la commission fédérale des arbitres (CFA) contre l’arbitre, qui s’était épanché dans la presse suite à sa suspension à titre conservatoire, expliquant notamment que "Pascal Garibian fait régner la terreur" et qu’il était victime d’une "chasse à l’homme", toujours dans les colonnes du quotidien francilien.
Pourtant président du syndicat des arbitres, Stéphane Lannoy, qui avait défendu son collègue et critiqué lui aussi Garibian, pourrait lui écoper de six mois de suspension pour manquement à son devoir de réserve. Des propositions qui seront étudiées à l’occasion d’une réunion extraordinaire du comité exécutif de la FFF le 30 juillet.
Source : SPORTS.fr
mardi, juillet 21, 2015
FFF-DTA - Dossier ENNJIMI/LANNOY : Décision le 30 juillet....
Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans ARBITRE, CFA, DISCIPLINE, DTA, FFF, FOOTBALL, LIGUE 1, MAILLOTS, Pascal GARIBIAN, Saïd ENNJIMI, Stéphane LANNOY
LIGUE 1 - La Fédération française de football (FFF) prendra une décision sur les arbitres Saïd Ennjimi et Stéphane Lannoy le 30 juillet après les polémiques qu'ils ont déclenchées en fin de saison dernière, a-t-on appris mardi de source proche du dossier
Saïd Ennjimi avait défrayé la chronique en marge du match Marseille-Lorient du 24 avril dernier. Il s'était emporté contre un membre de l'encadrement de l'OM après avoir réclamé des maillots dédicacés dans un but caritatif, ce qui avait été interprété comme une conduite incorrecte et un manque de déontologie. "Un comité exécutif extraordinaire (de la FFF) examinera le 30 juillet les dossiers Lannoy et Ennjimi", selon une source proche du dossier. La gamme des sanctions prévues par le règlement va du simple avertissement à la radiation.
Suspendu, l'arbitre s'est ensuite plaint dans les médias du traitement qui lui était réservé en parlant de "chasse à l'homme" et en accusant Pascal Garibian, le directeur technique de l'arbitrage (DTA), de faire "régner la terreur".
Stéphane Lannoy, seul arbitre central français présent au Mondial-2010 et à l'Euro-2012, avait lui aussi mis en cause le DTA et dénoncé la "gestion autocratique" de la Commission fédérale des arbitres (CFA) de la Fédération.
mercredi, mai 27, 2015
LIGUE 1 : Interview exclusive de Saïd ENNJIMI et Stéphane LANNOY
Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans ARBITRAGE, ARBITRE, CFA, DTA, FOOTBALL, INTERVIEW, LIGUE 1, MAILLOTS, Pierre MENES, SAFE
Source : CANAL+
vendredi, mai 22, 2015
CFA / DTA : ENNJIMI / GARIBIAN... un divorce consommé ?...
Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans CFA, DIVORCE, DTA, FFF, FOOTBALL, INTERVIEW, MAILLOTS, OLYMPIQUE DE MARSEILLE, Pascal GARIBIAN, Saïd ENNJIMI
À trois ans de la « retraite », l'arbitre ne supporte plus le fonctionnement de l'arbitrage français, qui marche beaucoup « sur la peur ». Après son passage devant la commission fédérale des arbitres (CFA), Saïd Ennjimi devra encore attendre une réunion de la CFA pour connaître la durée exacte de sa suspension (elle peut être de 3 mois), pour le moment toujours active. Ses deux assistants, ainsi que le quatrième arbitre, eux, ont été « blanchis » et donc leur suspension levée. Ennjimi, lui, s'interroge vraiment sur la suite de sa carrière d'arbitre. « Je me vois mal repartir comme ça l'an prochain avec les mêmes dirigeants à la tête de l'arbitrage français. »
Que vous reproche-t-on, au juste ?
Sur un rapport de Claude Tellène, superviseur du match OM-Lorient, il m'est reproché « un comportement irrespectueux et incompatible avec la fonction d'arbitre », vis-à-vis des dirigeants locaux ainsi que « des manquements à la déontologie et au devoir de réserve », sans en préciser la nature ni détailler les faits. Suite à ce rapport, Pascal Garibian, le directeur technique de l'arbitrage, a écrit au président de la Commission fédérale des arbitres, Eric Borghini, et je suis suspendu à titre conservatoire, depuis le 7 mai alors que je n'ai jamais pu me défendre.
Vous contestez cette version ?
Oui.
Quelle est la vôtre, alors ?
Lors de ce match, j'avais demandé au délégué marseillais peu de temps avant la rencontre, Claude Medam, de récupérer un jeu de six maillots dédicacés afin de les offrir à des œuvres caritatives du Limousin. Ces six maillots, je m'engageais à les payer. À la fin du match, monsieur Medam nous retrouve dans le vestiaire en me ramenant le sac de maillots. Je lui pose la question de savoir s'il a pu les faire dédicacer, compte tenu de la défaite de Marseille et il me répond : « Tu ne crois quand même pas qu'ils vont signer, ils n'ont pas la tête à ça » et me jette le sac de maillots sur mon sac d'une manière assez dédaigneuse et très en colère, certainement en raison de la défaite de son équipe. Voyant cette attitude, je prends le sac de maillot et lui indique que s'il le prend sur ce ton, il est préférable qu'il reprenne les maillots ainsi que la facture. Le kiné de l'OM frappe à ce moment dans le vestiaire pour nous proposer, très gentiment, un massage d'après-match alors que celui-ci n'y est tenu en rien. Je lui dis à ce moment : « Je ne veux voir personne pour l'instant » d'un ton ferme et, je le reconnais, sous la colère de l'attitude plus que déplaisante de monsieur Medam.
Ça s'arrête là ?
À la suite de ces incompréhensions, nous recevons Claude Tellène, observateur du match qui nous indique qu'il a ressenti un peu de tension dans les couloirs et nous demande quelles en sont les raisons. Nous lui expliquons la situation et nous répond qu'il n'y a rien de grave. Et ça s'arrête là. D'ailleurs, des délégués présents le soir du match le confirment.
À ce moment, vous décidez de quitter le stade Vélodrome pour ne pas envenimer la situation, c'est ça ?
J'envoie un texto à monsieur Labrune car le corps arbitral était ensuite invité dans les salons de l'OM pour un dîner. Je lui dis que je ne vais pas rester pour ne pas envenimer la situation et que nous nous apprêtons à prendre un taxi pour notre hôtel. Labrune, très intelligemment, arrive à ramener le calme et l'incident est clos. Tout le monde est donc convié au dîner. Le corps arbitral et tous les membres de la délégation d'arbitrage.
« Quelle légitimité a Pascal Garibian sur la scène internationale ? Aucune. Il ne faut pas s'étonner aujourd'hui de notre absence dans les compétitions internationales. » Saïd Ennjimi
C'est durant ce dîner que vous auriez franchi votre devoir de réserve...
Durant ce repas s'engagent des conversations à bâtons rompues pendant plus de trois heures. Tout le monde n'est pas autour d'une table, c'est un buffet, les gens se déplacent. À un moment, Vincent Labrune me demande s'il y avait penalty à Bordeaux par exemple, je lui dis oui, etc. C'est bon enfant et il n'y a aucun problème, puisque certains membres de la commission juridique de la LFP, présents à ce dîner, l'attestent. Il n'y a rien eu de particulier durant ce repas. Aucun manquement à mon devoir de réserve ou autre. Le lendemain du match, j'ai reçu un appel téléphonique de Claude Tellène qui m'explique que Louis Vassalucci est son ami et qu'il serait de bon ton que je puisse lui envoyer, ainsi qu'à Claude Medam, un petit mot afin de leur faire part de mes regrets sur cet incident. Malgré le fait que les torts étaient clairement partagés sur cette fin de soirée, mais souhaitant apaiser une tension inutile que je pensais déjà close, j'ai envoyé un SMS, dès le lendemain, soit le 25 avril, aux deux personnes afin de leur faire part de mes regrets. Je n'ai eu aucun retour.
Et plus aucune nouvelle jusqu'au 7 mai ?
Aucune. Ce n'est que le 7 mai que j'ai reçu un SMS de Vassalucci m'indiquant qu'il venait de rentrer de l'étranger et que l'incident était clos depuis la réception de mon message. Le même jour, je suis averti par Pascal Garibian que je suis suspendu à titre conservatoire sur un rapport de Claude Tellène. Un rapport à charge dans lequel je n'ai jamais été entendu et basé sur des propos rapportés.
Ce rapport, que dit-il ?
On me reproche une attitude irrespectueuse envers les dirigeants locaux, et notamment un « dégage » au kiné marseillais. Or, j'ai reçu par écrit la version de Stéphane Ré, le kiné, elle diffère complètement puisqu'il confirme ma version du simple « Je ne veux voir personne pour l'instant ». On mentionne également le fameux repas au cours duquel la ligne déontologique aurait été franchie. Or, j'ai des documents écrits qui prouvent que tout ce qui m'est reproché ne tient pas. D'ailleurs, messieurs Medam et Vassalluci m'ont confirmé par écrit qu'il n'avaient pas « été témoins de propos désobligeants envers la Direction de l'arbitrage de la part du corps arbitral officiant ce soir-là ». Tout ce qui m'est reproché ne tient pas. Ce n'est pas le fond que je remets en cause – puisque le ton est monté, c'est vrai -, c'est la forme puisque je n'ai jamais été entendu avant ma suspension et il n'y a donc aucune version contradictoire.
C'est un point que vous contestez fermement d'ailleurs...
Il est clairement exposé dans les statuts de l'arbitrage qu'un arbitre ne peut être sanctionné qu'après avoir été invité à présenter sa défense ou avoir été entendu par l'instance compétente pour prononcer la sanction. Ça n'a jamais été le cas me concernant. Ni pour mes collègues du soir du match. Il y a une volonté manifeste de faire un exemple, même si ça doit être fait avec des méthodes de barbouzes.
Qu'en est-il aujourd'hui ?
Depuis le 7 mai, je suis suspendu à titre conservatoire. On m'avait laissé entendre que la finale de la Coupe de France serait pour moi. Ce n'est plus le cas. Pascal Garibian, qui est un procédurier, ne m'a jamais entendu et s'est basé sur les versions orales de deux personnes. Garibian rapporte des propos, je rapporte des faits. J'ai essayé de joindre plusieurs fois Garibian, il n'a jamais daigné me parler, préférant botter en touche, car « une procédure est en cours ». Ce monsieur est quand même commandant de police et il se base sur un rapport avec seulement deux versions de personnes de l'OM, sans m'entendre.
L'OM semble aussi étonné que vous de la tournure des événements, visiblement...
Vincent Labrune est attristé par la tournure de cette affaire et m'a apporté son soutien, puisque l'OM et tous ses dirigeants n'ont rien à reprocher au corps arbitral ce soir-là et ne se sentent pas concernés par cette histoire. Mes trois collègues du match contre Lorient sont également suspendus alors que leurs noms ne sont jamais mentionnés dans le rapport. Ce sont des dégâts collatéraux. Depuis plusieurs mois, un courant négatif existe au sein de l'arbitrage français. Il y a peu, lors du congrès de l'UNAF (Union nationale des arbitres français), le président de la CFA, Eric Borghini, a été hué. Il y a un vrai mépris de la Fédération pour les arbitres de la base et ça se ressent au quotidien.
Cette histoire arrive à la fin d'une saison compliquée pour l'arbitrage français.
On n'a jamais été aussi nul que cette année. À un moment, quand on voit comment sont méprisés certains arbitres, dont moi, comment voulez-vous que les hommes ne tremblent pas. Cela a également des répercussions sur les arbitres amateurs. Il n'y a plus aucune sérénité dans l'arbitrage français. Cette chasse à l'homme, car je le vis comme ça, ne permet pas de faire peser sur l'arbitrage français actuel un climat propice à l'épanouissement. Sur la scène internationale, quelle légitimité a Pascal Garibian ? Aucune. Il ne faut pas s'étonner aujourd'hui de l'absence de nos arbitres dans les compétitions internationales.
jeudi, mai 21, 2015
FFF / CFA : La suspension de Saïd ENNJIMI prolongée...
Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans ARBITRE, CFA, DISCIPLINE, FFF, FOOTBALL, LIGUE 1, MAILLOTS, Saïd ENNJIMI
Quant à Ennjimi, il doit attendre une prochaine réunion de la CFA pour en savoir plus sur son sort. Sa suspension est donc toujours active. Il lui est reproché un manquement grave à la déontologie pour avoir réclamé des maillots de l’OM dédicaces, avec facture, pour en faire don à des associations caritatives, en marge de la rencontre Marseille - Lorient (3-5), le 24 avril.
Ennjimi parle de «chasse à l'homme»
FFF / CFA : Le dossier Saïd ENNJIMI est vide... mais que s'est-il passé ?
Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans ARBITRE, CFA, DISCIPLINE, FFF, FOOTBALL, LIGUE 1, MAILLOTS, Saïd ENNJIMI
Saïd Ennjimi, l'arbitre international de L1, s'est retrouvé au centre d'une polémique dont il se serait bien passé. Il est passé, hier, devant la Commission Fédérale des Arbitre à Paris pour être entendu et jugé. Au vu des éléments et sans s'appesantir sur une forme contestable, on ne voit pas comment le Limougeaud pourrait être sanctionné quant au fond car en l'espèce, le dossier est vide.
L'ACCUSATION – Saïd Ennjimi était convoqué par la CFA pour avoir eu « un comportement irrespectueux et incompatible avec la fonction d'arbitre envers notamment des membres du club recevant. » Les événements se sont déroulés à l'issue du match de L1 du 24 avril dernier entre Marseille et Lorient (3-5) dirigé par l'arbitre limougeaud. La convocation qu'il a reçue fait état d'un « comportement d'une particulière gravité, qui constitue à lui seul un manquement grave à la déontologie et au devoir d'exemplarité des arbitres. »
DES MAILLOTS EN QUESTION – Au coeur de cette affaire, six maillots de l'OM que l'arbitre limougeaud s'apprêtait à payer mais qu'il a refusé de prendre parce qu'ils n'étaient pas dédicacés par les joueurs. C'est à partir de cet épisode que l'affaire va prendre une dimension assez inattendue.
QUE S'EST-IL PASSÉ ? – Des maillots pour les arbitres, c'est une pratique courante. Il y a effectivement eu de la tension au moment où Saïd Ennjimi a refusé de prendre les maillots. Cependant, Vincent Labrune, le président de l'OM, absent au moment des faits, est intervenu après coup auprès de Saïd Ennjimi : « Monsieur Ennjimi, on n'en parle plus. Nous perdons 5-3 et je vous félicite pour la qualité de votre arbitrage », a-t-il dit. Le président de l'OM a ensuite invité l'arbitre et ses assistants, ainsi que les délégués, à venir boire un verre. La soirée s'est déroulée devant plusieurs témoins dans une ambiance détendue et conviviale. Saïd Ennjimi s'est excusé auprès de Vincent Labrune et il a envoyé un SMS d'excuse à Louis Vassallucci, coordinateur sportif de l'OM, le lendemain dimanche. L'affaire aurait pu – et dû ? – en rester là.
LE RAPPORT DE CLAUDE TELLÈNE – Tout s'emballe à partir d'un rapport en date du 27 avril rédigé par Claude Tellène, observateur de la Commission Fédérale des Arbitres. M. Tellène était présent d'abord pour noter la prestation de Saïd Ennjimi lors de ce match remporté au Vélodrome par Lorient 5-3. Un rapport dithyrambique conclu par une appréciation générale qui veut tout dire : « M. Ennjimi, très concentré sur son sujet, a su dominer cette rencontre piégeuse par son sens de la psychologie, son approche disciplinaire et sa maîtrise technique. Prestation d'ensemble d'un incontestable haut niveau. » Et pourtant, c'est ce même Claude Tellène qui va mettre le feu aux poudres trois jours après la rencontre… Selon son rapport, MM. Vassallucci et Medam, le deuxième étant un dirigeant chargé de l'accueil des arbitres, auraient été « rembarrés » par Saïd Ennjimi et « blessés par son arrogance ». De plus, le kiné de l'OM, mis à disposition des arbitres par le club, aurait été « refoulé sèchement » par Ennjimi « en des termes irrespectueux ». Enfin, il est également précisé que lors de la soirée les échanges entre les arbitres et les dirigeants olympiens auraient « largement écorné la déontologie arbitrale. »
UN DOSSIER VIDE – Les pièces du dossier auxquelles nous avons eu accès sont très loin de confirmer le rapport de Claude Tellène. Par rapport à l'incident des maillots, qu'il y ait eu tension voire crispation, cela ne fait aucun doute. Il apparaît que l'intervention de Vincent Labrune est venue mettre un terme à ce moment délicat et la soirée qui a suivi est décrite comme s'étant déroulée dans une excellente ambiance.
« Rocambolesque »
Vincent Labrune va également dans le sens d'un dossier vide à propos d'un problème dont personne ne lui a fait état le soir du match. Il précise que les trois salariés du club impliqués ont « chacun rédigé un courrier à M. Ennjimi attestant du fait qu'il n'y avait eu aucun incident ». « Je ne comprends pas les tenants et les aboutissants de cette histoire », explique Labrune, histoire qu'il qualifie de « rocambolesque. » Concernant les propos écornant la déontologie de l'arbitrage, Louis Vassallucci reconnaît que ni lui ni M. Medam n'ont été témoins de propos désobligeants envers la direction de l'arbitrage par le corps arbitral. Le kiné de l'OM contredit totalement, les propos rapportés dans le rapport de Claude Tellène : « À aucun moment je ne me suis senti, ni dis insulté. » Enfin, les rapports des délégués, sans nier qu'il y ait eu de la tension avec l'histoire des maillots, font surtout état de la soirée qui a suivi et de la détente générale de tous les acteurs.
POURQUOI ? – La question reste de savoir pourquoi Saïd Ennjimi s'est retrouvé au centre de cette affaire ? Le témoignage de Vincent Labrune apporte un indice quand il précise que l'OM ne doit pas être « un dommage collatéral de règlements de comptes personnels ». Le président de l'OM met le doigt sur la crispation qui existe entre le corps arbitral professionnel français et sa direction à la tête de laquelle se trouve Pascal Garibian, le Directeur Technique de l'Arbitrage.
mercredi, mai 20, 2015
FFF - CFA : Saïd ENNJIMI convoqué cet après-midi à la FFF ...
Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans ARBITRE, CFA, DISCIPLINE, FFF, FOOTBALL, LIGUE 1, MAILLOTS, Saïd ENNJIMI
Saïd Ennjimi, ses deux assistants (Cédric Schurra et Christophe Mouysset) ainsi que le quatrième arbitre (Hakim Ben El-Hadj) sont attendus à la Fédération française de football (FFF), ce mercredi après-midi. Le premier cité devra s’expliquer sur l’affaire des maillots qui avait suivi la défaite de l’OM face à Lorient (5-3) le 24 avril dernier.
mercredi, mai 13, 2015
CFA : Saïd ENNJIMI suspendu pour une histoire de maillots..... quel gâchis !!
Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans ACTUALITÉS, ARBITRE, CFA, MAILLOTS, OLYMPIQUE DE MARSEILLE, Saïd ENNJIMI, SUSPENSION
Les faits remontent au 24 avril lors du match de Ligue 1 Marseille - Lorient (3-5). Comme il est de coutume, Saïd Ennjimi s'est vu remettre un maillot de l'OM par les dirigeants phocéens.
Le Limougeaud en voulait six de plus pour les offrir, semble-t-il, à des oeuvres caritatives. Il aurait promis de régler la facture. Mais l'arbitre voulait aussi qu'ils soient dédicacés par les joueurs marseillais.
Battus par les bretons, les Olympiens, qui venaient de perdre leurs derniers espoirs de titre, ont refusé. Cela n'aurait pas plus à Saïd Ennjimi, qui aurait vivement montré son mécontentement dans les travées du Vélodrome, nécessitant l'intervention du président de l'OM, Vincent Labrune, pour calmer le jeu.
Le psychodrame n'a pas échappé à Claude Tellène, le superviseur chargé de noter la prestation des arbitres, qui l'a mentionné dans son rapport. Alertée par la Direction technique de l'arbitrage, la Commission fédérale de l'arbitrage a invité Saïd Ennjimi à venir s'expliquer le 20 mai.
Comme souvent dans le microcosme de l'arbitrage, cette histoire a viré au psychodrame et compromet la fin de saison, voire la fin de carrière, de Saïd Ennjimi, 42 ans, dont les prestations ont été saluées cette saison. Il était pressenti pour diriger la finale de la Coupe de France entre Auxerre et le PSG, le 30 mai.
samedi, avril 25, 2015
FFHB - HUMMEL : La collection 2015 / 2016 pour les arbitres
Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans ACTUALITÉS, ARBITRE, COLLECTION, FFHB, HUMMEL, MAILLOTS, SAISON 2015/2016
NOTA du 27/04/2015 : Il semblerait qu'au regard de la présentation officielle ayant eu lieu lors des Finales de Coupe de France, la CCA/FFHB et HUMMEL aient choisi une couleur moins courante que le Bleu ciel (comme sur la prséentation ci-dessous). Le vert/bleu est désormais la couleur pour la nouvelle collection.