mardi, février 02, 2021
vendredi, avril 27, 2018
LCI - Stéphane LANNOY : On en rêvait... LCI l'a fait !!
Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans ARBITRAGE, ARBITRE, CONSULTANT, COUPE DU MONDE, FOOTBALL, INFORMATION, LCI, RUSSIA 2018, RUSSIE 2018, Stéphane LANNOY, TÉLÉVISION
dimanche, février 26, 2017
FFF - CANAL+ SPORT : Tiens, le Championnat de D1 de FUTSAL à la télé !!
Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans CANAL+ SPORT, D1 FUTSAL, DIVISION 1, FFF, FUTSAL, HISTORIQUE, SPORTING PARIS, TÉLÉVISION, TOULON EF
vendredi, mai 08, 2015
CHILI : Un entraîneur s'empare du micro de la TV pour insulter l'arbitre
Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans ACTUALITÉS, ARBITRE, CARTON ROUGE, CHILI, ENTRAINEUR, INSULTES, TÉLÉVISION
mercredi, décembre 24, 2014
LIGUE 1 - BORDEAUX / LYON : L'avantage, le comble de la subtilité arbitrale...
Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans AVANTAGE, BORDEAUX, COMMENTATEURS, FFF, LFP, LIGUE 1, OLYMPIQUE LYONNAIS, Ruddy BUQUET, TÉLÉVISION
Faut-il se féliciter que Grégoire Margotton soit longuement revenu, à la mi-temps de Bordeaux-Lyon, sur la qualité de l’arbitrage de Ruddy Buquet? Pas forcément.
L’ouverture du score de Lacazette doit beaucoup à la passe superbe, de l’extérieur du gauche, de Fékir. Avant cela, une intervention puis une passe judicieuse de Gonalons avaient permis de trouver le jeune milieu offensif. Superbe action. Mais tout cela aurait n’être qu’un fantasme, si Ruddy Buquet n’avait pas fait preuve d’une "très grande intelligence", car voilà: il y avait faute sur Gonalons (un gros tampon de Sertic) et l'arbitre aurait pu siffler, mais il a laissé jouer.
Les commentateurs adorent ça. C’est, à leurs yeux, le comble de la subtilité arbitrale. Rendez-vous compte! L’arbitre voit faute, mais ne siffle pas. Et pourquoi ne siffle-t-il pas? Parce qu’il a également vu qu’il y avait un bon coup à jouer… Alors il a laissé l’avantage. Ainsi, Ruddy Buquet a bien mérité sa minute d’éloge à la mi-temps: il ne s’est d’ailleurs pas contenté de permettre à Lyon de marquer, il a approfondi la réflexion (touchant alors au génie) jusqu’à sanctionner Sertic, après le but, d’un carton jaune mérité. Grégoire Margotton était sincèrement ébahi, et semblait fier de faire sa part du travail dans la lourde tâche de rendre aux arbitres tout le mérite que nombre de ses confrères leur enlèvent systématiquement.
Éloge suspect
Il n’est pas certain qu’on puisse montrer, dans le commentaire footballistique, davantage de condescendance. La flatterie est trop systématique, trop enthousiaste, suspecte. Le contraste entre l’ampleur de l’éloge et la normalité de la décision de l’arbitre est vraiment dérangeant.
En revenant à la faute, l’arbitre ne fait rien d’autre que ce qu’il fait tout le temps: regarder et le jeu et les joueurs. Alors c’est vrai que ça se voit bien, dans ce cas, puisqu’il a explicitement et visiblement tenu compte des deux pour prendre sa décision – mais l’intensité de l’admiration questionne. Pourquoi cette pertinence-là intéresse-t-elle autant les commentateurs? C’est pourtant une décision assez confortable, presque facile à prendre – beaucoup plus simple à prendre que si la possibilité de laisser l’avantage et de revenir à la faute n’existait pas.
Si une faute n’était "sanctionnable" qu’immédiatement ou jamais, quel terrible cas de conscience! Là, les arbitres auraient beaucoup de mérite – le leur, celui qui est au cœur de l’arbitrage: celui d’interpréter et de faire un choix alors que d’autres seraient possibles. Mais c’est évidemment là qu’ils se feraient fracasser – parce que l’on jugerait, encore et encore, qu’ils n’ont pas pris la bonne décision.
Éloge manquant
Retour à la normale en seconde mi-temps: une faute bordelaise commise sur la ligne de la surface de réparation a donné lieu à un coup franc plutôt qu’à un penalty (qui pouvait confortablement être sifflé), et c’est redevenu la fête habituelle de l’arbitrage: approximations dans la mention des règles, multiplication des ralentis consacrés à décrier la décision prise, impatience insupportable – finalement Ruddy Buquet met le rouge approprié puisqu’il y a eu annihilation d'une action de but, mais on parle de "dernier défenseur", du penalty qu’il y avait en réalité...
En bref, là où l’arbitrage mériterait, de la part des commentateurs, respect (puisque c’est difficile) et précision (puisqu’il y a une règle à interpréter), il ne leur vient absolument pas à l’idée de le flatter (courage de la décision, sang-froid face aux protestations contradictoires des joueurs…). Et si ça ne vient pas à l’idée, c’est que l’arbitre n’est valorisé que lorsqu’il a pris ce qui semble être, du point de vue du ralenti ou du désir des commentateurs, la "bonne" décision.
Ce n’est pas son travail, sa psychologie ni ses efforts qui sont valorisés, c’est la conformité à "ce qu’il fallait faire". La condescendance s’explique alors facilement: laisser jouer puis revenir à la faute est la vertu préférée des commentateurs, non pas parce que c’est subtil ou courageux, mais parce que l’arbitre, dans ce cas, fait tout ce qu’il fallait faire et n’a pas eu à trancher, il a bien joué le rôle qu’on aimerait donner aux arbitres, il a fait plaisir à tout le monde. Cette valorisation est un alibi pour ne pas être accusé de critiquer systématiquement. Alibi d’autant plus facile à formuler que la règle est facile à retenir.
jeudi, octobre 09, 2014
Justice : Annulation des droits de diffusion du TOP14 par CANAL+
Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans ACTUALITÉS, JUSTICE, LNR, RUGBY, TÉLÉVISION, TOP14
Paul Goze, le président de la Ligue, a également tenu à s'exprimer. «La décision de l'Autorité et l'arrêt de la Cour d'appel changent le statut des droits du Top 14 dans le domaine du droit de la concurrence. C'est une position entièrement nouvelle, qui n'avait jamais été retenue par l'Autorité de la Concurrence lorsque la LNR a conclu l'accord avec Canal + en janvier 2014. Nous en prenons acte. Il faut désormais se tourner vers l'avenir. Le Top 14 est le championnat le plus attractif au monde et séduit un public de plus en plus large. Nous sommes donc tout à fait confiants, à la fois en terme de valorisation des droits et d'exposition du championnat, dans le résultat de la procédure de commercialisation que la LNR doit organiser pour les prochaines saisons».
jeudi, août 28, 2014
FUTSAL : Le Championnat de D1 bientôt à la Télé
Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans ACTUALITÉS, D1, FOOTBALL, FUTSAL, TÉLÉVISION
Il s'agit clairement d'un pas important dans le développement du futsal en France, d'autant qu'il n'est pas à exclure que dans le futur, ces diffusions se fassent via la télévision.
Les premières retransmissions planifiées sont les suivantes (sous réserve de modifications) :
Journée 1 (13/09/2014) : Paris Sporting Club - Béthune Futsal
Journée 2 (20/09/2014) : Garges Djibson - Cannes Bocca
Journée 3 (29/09/2014) : Bagneux Futsal - Paris Sporting Club
Journée 4 (11/10/2014) : Toulon tous Ensemble - Cannes Bocca
Journée 5 (18/10/2014) : Cannes Bocca - Paris Sporting Club
Journée 6 (25/10/2014) : Paris Sporting Club - Douai Gayant Futsal
Journée 7 (01/11/2014) : Kremlin Bicêtre United - Paris Sporting Club
Source : FUTSALCLUB
samedi, août 23, 2014
BEINSPORT : Le changement c'est pour quand ?
Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans ACTUALITÉS, BEINSPORT, LIGUE 1, LIGUE 2, TÉLÉVISION
Revenons plutôt sur les faits :
Match MONTPELLIER / METZ, 29ème minute, Antony GAUTIER siffle un Pénalty flagrant en faveur de Metz. Le Pénalty est tiré par LEJEUNE, lequel tire sur le poteau, le ballon revient sur lui, il contrôle et tire. A ce moment Antony GAUTIER siffle un CFI en faveur de MONTPELLIER à l'endroit où le joueur retouche le ballon.
Et bien que croyez vous que nos deux amis ont déclarés... "Et bien mon cher Patrice, le joueur se trouvait en position de HORS-JEU, c'est pour cela que Monsieur GAUTIER a sifflé...."
"Ignorantus, ignoranta, ignorantum".... Comment pourrait-il être HORS-JEU alors que la balle est devant lui ? Personne ne leur à dit qu'un joueur tirant un Coup de Pied de Réparation et tirant sur la barre, retouche deux fois le ballon puisque celui ci n'a pas été touché par un autre joueur, et que dans ce cas précis par la barre, qui est un corps neutre, il est pénalisable d'un CFI contre son équipe.
Si l'on pousse la logique de nos deux compères... adieu, les buts sur Coup de pied de Coin, où un joueur seul devant le gardien reprend et marque...
Je vous passe le nombre d'intervention durant ce MULTI-LIGUE 1, où Patrice FERRI distribue ses appréciations sur tel ou tel fait de jeu : "Avertissement sévère"... oui c'est sûr, pour un tacle par derrière !! ou encore c'était ROUGE DIRECT et pas deux fois le jaune !! Ben voyons !!
Comme la semaine passée, nous sommes surpris du manque de sérieux des commentaires sur l'arbitrage, où sur des actions chaudes seul quelqu'un qui a été arbitre peut ressentir les choses et les analyser pour les retranscrire intelligemment aux téléspectateurs.
Comme la semaine passée, nous disons à BEINSPORT : engagez un consultant arbitrage qui connaissent les aléas du terrain et pas un consultant "couteau-suisse" capable de parler avec autant d'aplomb de la grand-mère de Bernard Lama ou de la blessure à la cheville de Tartempion.
Comme la semaine passée, nous disons oui au football spectacle à la télé, mais certainement pas au détriment des arbitres et de l'arbitrage. Oui à Patrice FERRI pour ce qui concerne le jeu, la stratégie, mais certainement pas pour ce qui touche aux règles de notre Sport.
La Rédaction de ARBITREZ-VOUS
dimanche, août 17, 2014
FOOTBALL : BEINSPORT - Patrice FERRI est-il arbitre ?
Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans ACTUALITÉS, BEINSPORT, LIGUE 1, LIGUE 2, TÉLÉVISION
La rédaction d'ARBITREZ-VOUS